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Le cellulaire serait finalement sans danger

La multiplication des téléphones cellulaires de cette décennie a fait naître des craintes quant au développement d’une tumeur cérébrale, en particulier chez les plus jeunes. On croyait de plus en plus qu’une grande utilisation d’un cellulaire augmentait ce risque.

La raison en est que le système nerveux des enfants est en développement et que leur circonférence crânienne est plus petite. Les plus jeunes seraient donc moins bien protégés des champs électromagnétiques.

Or, aucune étude n’avait jusqu’à présent réellement examiné le possible lien entre le téléphone cellulaire et l’apparition d’une tumeur au cerveau.

C’est maintenant chose faite, comme nous pouvons le lire dans la présente édition du Journal of The National Cancer Institute.

Des chercheurs du Swiss Tropical and Public Health Institute ont démontré que les enfants et adolescents qui utilisent un téléphone cellulaire ne sont pas plus à risque que les autres de souffrir d’un cancer du cerveau.

S’étant étalée de 2004 à 2008, cette étude a porté sur des sujets âgés de 7 à 19 ans. Les données médicales de 352 patients atteints d’un cancer du cerveau ont été comparées à celles de 646 sujets témoins.

Aucune association valable entre le cellulaire et la tumeur cérébrale n’a pu être établie.

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Moins de morts par la varicelle

Selon Pediatrics, le nombre de cas de mortalité liés au virus de la varicelle a chuté radicalement depuis que l’on vaccine les enfants. Depuis le début du programme de vaccination, en 1995, le nombre de morts aurait baissé de 97 % chez les enfants et les adolescents.

Les données sur le sujet, de 1990 à 2007, ont été analysées afin d’en arriver à ce constat. Par le fait même, on a remarqué que durant la période avant la vaccination, de trois à quatre millions de cas étaient diagnostiqués.

Chaque année, on comptait environ 105 morts dues à la varicelle; la moitié de celles-ci étaient d’enfants. Ces derniers comptaient aussi de 11 000 à 12 000 hospitalisations en raison de complications sévères.

On recommande finalement aux adultes de recevoir aussi le vaccin, car ces derniers courraient 20 fois plus de risques de mourir de la varicelle que les enfants. Pour la même période d’analyse, le nombre de décès chez les adultes de moins de 50 ans a chuté de 96 % à la suite du programme de vaccination.

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L’abus de médicaments mènerait aux drogues dures

Les parents devraient demeurer prudents quant aux médicaments qu’ils font prendre à leurs enfants. Selon une récente étude de l’École de santé publique de l’Université Drexel, des médicaments antidouleur prescrits en trop grande quantité présageraient le pire.

Leur abus pourrait en effet mener aux drogues dures par injection telle l’héroïne. On recommande donc une meilleure supervision des médicaments prescrits, particulièrement durant l’adolescence.

Selon les résultats parus dans l’International Journal of Drug Policy, l’accès à des médicaments sous prescription par un membre de la famille ou un ami constitue un élément clé de l’initiation aux drogues.

La conservation en lieu sûr des médicaments prescrits est donc de mise, surtout pour les opiacés. L’attitude des parents quant à la consommation de drogue ou d’alcool entre aussi en ligne de compte.

On souligne qu’il est plus difficile de faire une prévention efficace auprès des jeunes ayant grandi au sein d’une famille où la consommation de drogue était banalisée. Le même problème était rencontré lorsque des problèmes sociaux ou psychologiques y étaient vécus.

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Le cellulaire à la rescousse des parents

On peut lire dans Cyberpsychology, Behavior, and Social Networking que les parents auraient tout à gagner en munissant leur enfant d’un téléphone cellulaire. Il semble que leur relation pourrait en être bonifiée.

Un parent pourrait étendre son rôle par l’utilisation de cet outil technologique. Par exemple, la supervision des activités et des devoirs de son enfant ou de son adolescent serait augmentée par le téléphone, et ce, de manière non invasive.

De plus, il pourrait améliorer le respect de la discipline et permettre un soutien constant à l’enfant. On a aussi remarqué que les enfants un peu plus vieux avaient plus tendance à communiquer leurs sentiments (positifs et négatifs) à leurs parents par téléphone.

La résolution des conflits familiaux, la dynamique de la maison et même l’estime de soi pourraient être influencées par le téléphone. Il est donc clair que le cellulaire améliore la communication, donc la relation, entre l’enfant et ses parents.

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L’Internet pousserait les ados vers la drogue?

Selon une étude de la Queen’s University publiée dans le Journal of Preventive Medicine, les jeunes qui passent beaucoup de temps sur Internet auraient plus tendance à consommer des drogues et à avoir des relations sexuelles non protégées.

La différence serait grande entre ceux qui demeurent collés à leur ordinateur et les autres. On estime donc que les jeunes accros de l’Internet seraient 50 % plus enclins à adopter un comportement à risque.
 
La raison en serait que selon une théorie sociale cognitive, lorsque nous sommes témoins de personnes ayant un certain comportement, nous sommes poussés à en faire l’apprentissage, donc à le répéter.

Depuis quelques années, les adolescents passent de plus en plus de temps à l’ordinateur, soit plus de 4,5 heures par jour en moyenne. Ils se retrouvent donc très exposés à différents comportements transmis par la publicité, laquelle est devenue très présente sur Internet.

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Carences en vitamine D chez les jeunes obèses

Des chercheurs du Hasbro Children’s Hospital mettent en garde contre la carence en vitamine D dont souffrent la majorité des jeunes obèses. Selon eux, un traitement devrait être tenté afin de normaliser ces faibles taux.

Une déficience en vitamine D peut augmenter les risques de maladies comme le diabète, les problèmes cardiovasculaires et le cancer. De plus, un tel manque affecte le pouvoir des muscles, ce qui peut restreindre encore plus la capacité de ces jeunes à faire de l’activité physique.
 
Ce constat a été établi après que des analyses sanguines aient été effectuées auprès de 68 adolescents obèses et que l’impact d’une carence en vitamine D ait été évalué auprès de ces mêmes patients.

Les résultats complets de cette recherche dirigée par le Dr Zeev Harel, un pédiatre spécialiste du Hasbro Children’s Hospital, ont été publiés dernièrement dans le Journal of Adolescent Health.

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Les enfants atteints d’une MICI sont moins en forme

Une récente recherche de l’Université McMaster et de l’Hôpital pour enfants McMaster en Ontario nous apprend que les enfants et les adolescents qui vivent avec une maladie inflammatoire chronique intestinale (MICI) sont moins en forme que leurs pairs.

Précisément, les jeunes atteints d’une MICI accuseraient un rendement aérobique 25 % plus faible que les autres et leur performance musculaire serait 10 % plus basse, comme on peut le lire sur Medical News Today.
 
L’état physique durant l’enfance en dit pourtant bien long sur la santé future à l’âge adulte. Il est donc primordial que les enfants atteints aient une activité physique régulière, quelle qu’elle soit.

Les maladies inflammatoires chroniques intestinales les plus courantes sont la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse (ou rectocolite hémorragique).

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Des alcooliques de plus en plus jeunes

Bien que la prévention sur l’excès d’alcool soit très présente, notamment dans les médias, il semble que cela n’empêche pas les jeunes d’en consommer, et ce, à un âge de plus en plus jeune.

Nous pouvons en effet nous questionner sur l’alcoolisme dans nos sociétés après avoir pris connaissance de récentes données recueillies par la Santé publique britannique.
 
Selon les derniers chiffres, 13 enfants âgés de moins de 13 ans ont reçu des soins pour alcoolisme, de 2009 à 2010, au Royaume-Uni.
 
De plus, pour cette même période, 70 adolescents de 13 à 16 ans ont eux aussi reçu le même type de soins, tandis que 106 ont été déclarés alcooliques.
 
Mentionnons au passage qu’à la suite d’une enquête datant de 2009, les jeunes Britanniques ont été reconnus comme les plus grands consommateurs d’alcool de l’Union européenne.

Malgré tout, ces récentes statistiques nous font voir que l’alcool est encore aujourd’hui très accessible aux moins de 18 ans et que les problèmes de santé y étant reliés semblent de plus en plus importants.

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Moins du tiers des enfants se réveillent lors d’un feu

La plus vaste étude jusqu’ici à avoir porté sur la détection d’un feu domestique nous apprend que seulement un enfant sur trois se réveillera au son du détecteur.

En effet, la recherche publiée dans le journal Fire and Materials a porté sur un échantillon de 123 enfants issus de 79 familles. Les participants étaient âgés de 5 à 15 ans, pour un âge moyen de 8,82 ans, alors que 70 % étaient âgés de 5 à 10 ans.
 
Le groupe a été divisé en deux, car la mélatonine chute durant la puberté. Cette hormone est reconnue pour inciter au sommeil
 
Le détecteur de fumée de la maison devait être enclenché pendant 30 secondes, après que les enfants aient été endormis depuis 1 à 3 heures. Les résultats ont été alarmants : 78 % des participants ont continué à dormir malgré le son du détecteur.

Ces résultats ne sont en rien rassurants, car nous savons maintenant que plus de la moitié des enfants continueront à dormir si un incendie se déclenche dans leur maison en pleine nuit.

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Les troubles alimentaires des ados cachent autre chose

Les adolescents souffrent presque aussi souvent de troubles de l’alimentation que les adultes. La plupart d’entre eux ont au moins un autre problème psychiatrique, selon une étude parue dans Archives of General Psychiatry. Les jeunes qui vont chercher de l’aide n’en reçoivent donc pas pour leur problème de nutrition nécessairement.

Après avoir questionné 10 123 adolescents âgés de 13 à 18 ans, des chercheurs de l’Institut national de santé mentale à Bethesda, dans le Maryland, ont pu statuer quelques corrélations.

Par exemple, le taux de jeunes qui souffrent d’une maladie mentale coexistante à l’anorexie était de 55,2 %, contre 88 % quant à la boulimie. Les adolescents anorexiques ayant des pensées suicidaires représentaient 2,3 %, alors que 53 % des jeunes boulimiques en avaient.

Rappelons finalement que 0,5 % des adultes souffrent d’anorexie et que 1 % souffrent de boulimie, comparativement à 0,5 % et 3 % des adolescents.