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Grossesse durant l’adolescence : suivre l’exemple

Une étude basée sur des données de recensement a permis de statuer qu’une adolescente court plus de risques de vivre une grossesse à un âge mineur si sa sœur aînée a vécu cette même situation, lisons-nous dans The Guardian.

Menée par la Bristol University, cette analyse a porté sur 43 000 femmes. On a donc pu remarquer un effet de pair très important, et encore plus si les sœurs ont un faible écart d’âge.
 
Une fille sera ainsi deux fois plus enclines à vivre une grossesse à l’adolescence quand sa grande sœur a suivi le même chemin de vie avant elle. La fratrie comprendrait une forte question d’influence entre les membres d’une même famille.
 
Et cet effet incitatif est plus fort que celui de la durée de l’éducation, laquelle est pourtant connue pour diminuer les risques de tomber enceinte à l’âge mineur.
 
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La malnutrition des adolescentes les condamne à une vie de problèmes

La plupart des adolescentes risquent d’être malades plus tard, car elles évitent les aliments sains.
 
Selon le DailyMail, elles se condamnent à une vie remplie de problèmes de santé comme le cancer, les maladies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et le diabète, sans compter que plusieurs risquent d’être obèses.
 
La plupart mangent moins de trois portions de fruits et légumes par jour. Seulement une adolescente sur 13 mange les cinq portions recommandées.
 
De plus, elles évitent de manger de la viande, causant donc des carences en fer qui causent l’anémie et rendent l’organisme plus vulnérable aux infections.
 
L’image corporelle étant également une obsession pour certaines, ces dernières n’hésitent pas à sauter des repas dans le but de rester minces. Seulement, elles peuvent s’empiffrer avec du chocolat et des croustilles.
 
Il est important que les adolescentes adoptent un régime alimentaire équilibré si elles souhaitent éviter de nombreux problèmes.
 
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La carence en iode des adolescentes serait causée par une faible consommation de lait

Le lait a de nombreux bienfaits pour la santé. Malheureusement, il a aussi mauvaise presse, car certains croient qu’il est lié à une prise de poids, alors qu’il n’en est rien.
 
Cette fausse croyance a eu comme impact de diminuer considérablement la consommation de lait, surtout chez les adolescentes qui souhaitent ressembler à leurs idoles sveltes. Ainsi, cela provoque des carences en iode chez les jeunes filles, selon ce que croient des chercheurs qui se sont penchés sur la question.
 
Dans les dix dernières années, la consommation annuelle de lait est passée de 96 litres à 82 litres par personne, rapporte le Daily Mail.
 
Pourtant, le lait n’est pas seulement pour les enfants. Il est riche en nutriments et vitamines et il apporte notamment le calcium qui renforce les os. Un verre de lait de 200 ml comporte environ 134 calories, ce qui est nettement moins qu’une barre de chocolat.
De plus, il existe une panoplie de laits enrichis, biologiques et même de soya pour ceux qui seraient intolérants au lactose. Il faut toutefois éviter de consommer le lait cru, car n’ayant pas été pasteurisé, il est plus susceptible de contenir des bactéries nuisibles pour la santé.
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Effets sournois de la télévision

Des chercheurs de l’École de médecine de Harvard se sont penchés sur l’effet néfaste que peut avoir la télévision sur les jeunes filles.

Après avoir suivi des adolescentes de Fiji, ils ont remarqué que le taux de troubles alimentaires était tout aussi élevé même si grand nombre d’entre elles n’avaient même pas de téléviseur à la maison.

C’est que l’influence déjà vécue par leurs amies se transposerait à elles, apprend-on sur ScienceDaily.

Les chercheurs ont donc conclu que l’influence de pairs qui consomment beaucoup de télévision est encore plus grande que si une personne l’écoute elle-même.

En fait, selon ladite étude, les jeunes filles qui souffraient de troubles alimentaires étaient liées à 60 % à des copines qui regardaient beaucoup la télévision.

Ce taux était indépendant du fait que les jeunes filles visées écoutent elles-mêmes la télévision ou non.

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Les filles, à l’école plus tôt pour contrer l’obésité?

Selon une étude récemment parue dans le Journal of Adolescent Health, on aurait tout intérêt à faire entrer les filles à l’école dès que possible.

C’est que ces mêmes enfants auraient tendance à ne pas souffrir d’obésité à l’adolescence, selon une analyse de données portant sur près de 6 000 filles et réalisée par des chercheurs de l’École de médecine de l’Université de Rochester.

Un tel lien n’a pas été remarqué chez les garçons. Ce fut pourtant le cas chez les filles, lesquelles souffraient plus de surpoids une fois adolescentes si elles avaient commencé l’école plus tard.

Une explication possible serait que les filles qui entrent à l’école à un plus jeune âge se retrouveraient avec des copines plus vieilles qu’elles. Ces dernières auraient une influence sur leur poids, ayant des préoccupations quant à leur silhouette et leur apparence.

De plus, ces mêmes fillettes seraient exposées plus tôt aux différents préceptes de la bonne alimentation et aux différents programmes de mise en forme offerts.

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Une grossesse après une réduction de poids

Les adolescentes qui subissent une opération de réduction de poids exposent leur futur enfant à des dangers, nous apprend BabyCenter.

En effet, les bébés dont la mère a vécu une telle intervention auraient plus de chances de naître avec des malformations au cerveau et à la colonne vertébrale.

L’étude a été présentée récemment à l’Association américaine de pédiatrie. Diana Farmer, chef des chirurgies infantiles au Benioff Children’s Hospital de l’Université de la Californie à San Francisco, en a expliqué les détails.

C’est que ce type d’opération limite la quantité de nourriture que peut ingérer une personne. Cela faisant, elle peut se retrouver plus facilement avec une carence en vitamine B9, l’acide folique.

Cette vitamine joue un très grand rôle dans la prévention de la spina-bifida et d’autres maladies liées au tube neural. Seulement 14 % des adolescents qui subissent une réduction de poids reçoivent des suppléments en acide folique.

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Association entre la mononucléose et la fatigue chronique

Selon le Dr Ben Z. Katz et ses collègues, de la faculté de médecine de l’Université Northwestern à Chicago, les adolescents qui ont souffert d’une mononucléose sont plus à risque d’être candidats au syndrome de fatigue chronique.

Les chercheurs ont observé 301 jeunes aux prises avec l’infection, dont 24 % n’étaient pas totalement remis six mois après le diagnostic de mononucléose.

Un an plus tard, encore 7 % des patients éprouvaient encore des symptômes de fatigue chronique. Le taux baissait à 4 % deux ans après le premier diagnostic, ce qui représente 20 fois plus de cas que dans la population adolescente en général.

Selon le Dr Katz, il faut maintenant se pencher sur les différences de pronostic entre les adolescents.

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Des muscles grâce à la vitamine D

Une récente étude menée auprès de 99 jeunes filles de 12 à 14 ans a démontré que celles qui souffraient d’une carence en vitamine D avaient de moins bons résultats aux tests évaluant leur force musculaire, comme le saut en hauteur.

Pour l’auteure principale de cette recherche, la Dre Kate Ward, de l’Université de Manchester en Angleterre, la vitamine D favorise la contraction musculaire.

« Nous savions qu’une carence en vitamine D pouvait affaiblir le système osseux et musculaire. Jusqu’ici, nous en savions peu entre le lien qui unissait la vitamine et la force musculaire », a noté la Dre Ward.

D’autres études doivent être menées afin d’établir les quantités nécessaires de vitamine D pour favoriser la force musculaire chez les adolescentes.

 

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Un rapport sur les grossesses chez les adolescentes

Un rapport, publié hier (15 janvier) par les Nations Unies, fait état du risque lié aux grossesses chez les jeunes filles de moins de 15 ans. Selon l’organisme, ces adolescentes sont cinq fois plus à risque de mourir lors de l’accouchement que les femmes enceintes ayant 20 ans et plus.

À titre d’exemple, on cite que, chaque année, 70 000 jeunes femmes âgées de 15 à 19 ans meurent en donnant naissance.

Ce risque de mortalité touche aussi l’enfant, alors que ceux dont la mère a moins de 18 ans ont 60 % plus de risques de décéder lors de leur première année, comparativement à un bébé dont la mère est âgée de 19 ans.

Le rapport nous apprend que ces mortalités sont enregistrées surtout en Afrique, où le risque de décès est quatre fois plus élevé qu’en Asie, et plus de 300 fois plus élevé que dans les pays industrialisés.

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Les jeunes mères, plus touchées par la dépression

Selon des chercheurs britanniques, les adolescentes qui deviennent mères avant la vingtaine sont plus à risque de souffrir de dépression que les mamans un peu plus âgées. De plus, il semble qu’il en soit de même pour leurs bébés, qui sont davantage touchés par les troubles dépressifs une fois adultes.

Les chercheurs ont divisé les participantes en 3 groupes, selon l’âge auquel les femmes avaient donné naissance à leur premier enfant : 31 adolescentes âgées de 16 à 19 ans, 56 âgées de 20 à 22 ans et 89 autres âgées de 23 à 38 ans.

Chez les plus jeunes participantes, on a observé des antécédents dépressifs dans 41,9 % des cas, tandis que 18 % du groupe plus âgé avait souffert de dépression.

Quant aux bébés, ils étaient aux prises avec des désordres psycho-affectifs dans 19,4 % des cas quand leur mère était adolescente.

Pour l’auteur de cette étude, Cerith Waters de l’Université Cardiff, il ne fait pas de doute que les adolescentes sont plus vulnérables que les autres femmes et il importe de bien les encadrer pendant et après leur grossesse.