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Les adolescentes de 14 ans sont les plus difficiles

Selon les résultats d’un sondage rapporté par le Daily Mail, la grande majorité des parents mentionnent que l’adolescence est le moment le plus difficile à maîtriser.
 
Alors que l’on dit que les garçons de 15 ans sont les plus difficiles, car ils traversent les problèmes de la puberté, se referment souvent sur eux-mêmes et ont des difficultés scolaires, ce ne serait rien comparativement aux jeunes filles de 14 ans.
 
Selon le sondage effectué auprès de 2 000 parents, les deux tiers disent que les filles de 14 ans sont les plus difficiles à maîtriser. Leur désir de grandir rapidement, les demandes pour avoir plus de liberté et l’expérimentation de l’alcool sont souvent des problèmes qui mettent en conflit les jeunes filles et leurs parents.
Selon les répondants, les filles auraient tendance à devenir des femmes durant la nuit de leur 14e anniversaire. Après cet âge, elles succombent plus facilement à la pression de leurs amies, se soucient énormément de leur poids, peuvent commencer à boire et défendent jalousement leur vie privée. Elles deviennent plus préoccupées par leur petit ami, le magasinage et des sorties entre copines que par leurs résultats scolaires. 
 
Neuf parents sur dix disent que les filles mûrissent plus rapidement que les garçons.
 
Les spécialistes mentionnent toutefois que l’adolescence n’est pas seulement difficile pour les parents, mais aussi pour les enfants eux-mêmes. Il y a beaucoup de changements hormonaux et bien souvent, ils sont désorientés et effrayés face à l’avenir.
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Les jeunes filles préfèreraient voir des mannequins plus réalistes

Un sondage, effectué par l’Institut de recherche des scouts féminins aux États-Unis auprès de 1000 adolescentes âgées de 13 à 17 ans, démontre qu’elles se sentent contraintes par l’industrie de la mode et les médias qui prônent la maigreur comme norme de beauté et elles trouvent que cette image est irréaliste et inaccessible.
 
Les trois quarts des jeunes filles disent qu’elles achèteraient plus de vêtements si elles les voyaient sur des mannequins plus réalistes. La mode est un domaine très important pour les trois quarts d’entre elles également.
 
« L’industrie de la mode demeure une puissante influence sur les filles et la façon dont elles se perçoivent. Les adolescentes prennent leurs repères des modèles qu’elles voient dans les magazines et à la télévision et tentent de retrouver cette image lorsqu’elles se regardent dans le miroir », explique l’auteure principale de l’étude, Kimberlee Salmond.
 
De plus, on constate que 80 % des jeunes filles aimeraient mieux voir des photos naturelles des mannequins plutôt que des images retouchées.
 
Une fille sur trois dit s’être privée de nourriture ou ne pas avoir mangé pour tenter de perdre du poids. Le tiers d’entre elles affirme connaître une personne souffrant de troubles alimentaires.
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Une sexualité précoce augmente les risques de cancer du col de l’utérus

Le British Journal of Cancer rapporte que plus les adolescentes ont leur première relation sexuelle tôt, plus elles ont des chances de développer le cancer du col de l’utérus.

Cette étude a été réalisée auprès de 20 000 femmes par le Centre international de recherche sur le cancer affilié à l’Organisation mondiale de la santé.

On a constaté que les jeunes filles issues de milieux défavorisés avaient leur première expérience sexuelle quatre ans plus tôt que celles venant d’un milieu plus aisé.

Pour certains chercheurs, cela s’expliquerait par le fait que les examens de dépistages sont beaucoup moins fréquents dans les milieux pauvres.

Le VPH (virus du papillome humain) est responsable de la majorité des cas de cancers du col de l’utérus. Une vie sexuelle précoce et active modifie le potentiel cancérigène du VPH.

On note également que l’âge auquel les jeunes filles ont leur premier enfant serait également un facteur de risque important.

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La sclérose en plaques guette les adolescentes

Les adolescentes obèses ont deux fois plus de risques de développer la sclérose en plaques à l’âge adulte que celles ayant un poids normal, selon une étude américaine publiée dans le magazine Neurology.

Par contre, on a noté que le poids durant l’enfance ou à l’âge adulte n’influençait pas l’apparition de cette pathologie.

La sclérose en plaques est une maladie inflammatoire du système nerveux. Elle peut nuire au contrôle des mouvements, affecter la perception des sensations et toucher aussi la mémoire dans certains cas.

La présente étude, qui s’est déroulée sur quarante ans, a analysé le cas de 238 000 femmes. On a finalement diagnostiqué 593 femmes souffrant de sclérose en plaques.  

Pour juger le niveau d’obésité, les chercheurs se sont appuyés sur l’indice de masse corporelle (IMC) des participantes à l’âge de 18 ans. Celles qui étaient jugées obèses, avec un IMC égal ou supérieur à 30, avaient plus de risques de souffrir de sclérose en plaques. Les personnes non obèses, mais en surpoids, voyaient également leur chance de développer la maladie augmenter, comparativement aux personnes de poids dit normal.

Auparavant, d’autres études avaient établi un lien entre le faible taux de sclérose en plaques et la présence de vitamine D. La prochaine étude portera sur le cas des hommes et cette pathologie.

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Rapport troublant sur les jeunes filles

Le Times fait part des troublants résultats d’un sondage réalisé auprès des jeunes filles.

Le plus surprenant est que dès l’âge de 10 ans, les jeunes filles deviennent de plus en plus obsédées par leur poids et veulent désespérément être minces, non pas pour leur santé, mais pour répondre aux critères de beauté de la société actuelle. Ainsi, on observe une dramatique baisse de l’estime de soi.

Bien que l’obsession du poids chez les jeunes filles ne soit pas nouvelle, cela commence maintenant de plus en plus jeune. En plus des troubles alimentaires et des nombreux régimes draconiens, on fait face aux chirurgies esthétiques très tôt.

Selon l’étude dévoilée par le Times, 12 % des jeunes filles âgées de 11 à 13 ans envisagent de recourir à des chirurgies, comme un anneau gastrique ou autre opération similaire. Ce pourcentage grimpe à 14 % chez les 13 à 16 ans. Ensuite, jusqu’à 21 ans, cela augmente radicalement à 50 % des filles qui souhaitent recourir au bistouri pour maigrir.

On rappelle qu’à cet âge, la chirurgie esthétique est loin d’être un choix éclairé. C’est seulement une réponse à la pression que subissent les adolescentes quant à l’apparence physique.

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Les adolescentes n’aiment pas leur corps

Ce sondage réalisé auprès de 2 000 adolescentes par le magazine Bliss indique qu’elles n’aiment pas leur corps par rapport aux images projetées par les célébrités.

De plus, 40 % des répondantes aimeraient subir une chirurgie esthétique afin d’avoir « un corps parfait ».

Le sondage réalisé auprès d’adolescente d’un âge moyen de 14 ans indique également que les petits amis des répondantes et leur propre mère seraient la principale source de pression concernant leur poids.