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L’exercice ne diminue pas le risque de dépression des enfants

La recherche publiée dans la revue JAMA Pediatrics et rapportée par Science World Report a été menée auprès de 736 participants dont la moyenne d’âge était 14 ans. Ils étaient suivis pendant 3 ans.

Durant cette période, leur niveau de dépense énergétique lors d’activités, ainsi que le niveau de l’exercice (modéré à vigoureux) était pris en considération. En parallèle, les jeunes devaient répondre à des questionnaires quant à leur état d’esprit et leur humeur.

Au final, il n’y avait aucune corrélation entre l’activité physique à 14 ans et les situations dépressives à 17 ans.

« Notre résultat ne doit pas éliminer l’activité physique comme une option ayant des conséquences positives sur l’humeur dépressive dans la population en général », informe le Dr Umar Toseeb de l’Université de Cambridge. « On doit plutôt considérer que pendant l’adolescence, son effet est minime à inexistant. »

Le Dr Toseeb rappelle qu’il y a beaucoup d’autres bienfaits à l’activité physique modérée à intense sur la santé, même pour les adolescents.

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Le sexting : une forme de communication répandue chez les adolescents

Les chercheurs du campus médical de l’Université du Texas ont associé l’échange de sextos à un comportement plus actif sexuellement chez les adolescents.

Il a été observé que l’échange de photos exposant la nudité précédait dans certains cas les relations intimes. Dans d’autres cas, il encourageait l’ouverture sexuelle ou indiquait que le jeune est actif ou espère être actif sexuellement.

« Nous savons désormais que cette pratique est très commune », a affirmé Jeff Temple. Cela fait désormais partie des mœurs des adolescents, tout comme l’utilisation de drogue ou d’alcool. »

Selon Temple, l’équilibre mental n’a rien à voir avec le sexting, pas plus qu’il n’est lié à des pratiques sexuelles à risque. « Cela fait partie du développement de l’adolescent. »

La recherche est encore en cours et s’étend sur une période de 6 ans. Les jeunes interrogés remplissent de façon périodique des questionnaires détaillés sur leur propension au sexting, leurs activités sexuelles et autres comportements reliés.

Le seul bémol, c’est que la pratique encourage les jeunes du premier cycle du secondaire à faire de même.

Science World Report mentionne que l’étude a été publiée dans la revue Pediatrics.

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Faire accepter les légumes aux enfants lorsqu’ils sont plus âgés

Si vous n’avez pas introduit les légumes, mis à part les brocolis et les carottes, pendant les premières années de vie de vos enfants, il vous faut être plus imaginatif pour diversifier leur expérience.

Vous devrez d’abord développer vos habiletés culinaires. Faire bouillir les légumes (trop) leur fait perdre non seulement leur consistance, mais leurs vitamines aussi.

Essayez la cuisson à la vapeur avec des épices à légumes, elles apporteront nouveauté à vos plats. Évitez de trop cuire et variez les coupes : rondelles, juliennes, cubes, etc., ainsi que les légumes eux-mêmes.

Faites des sautés asiatiques avec des sauces contenant du gingembre, du miel et de l’ail. De cette façon, vous aurez différents légumes dans une même assiette, qui vous servira à incorporer de la nouveauté.

L’objectif est de trouver des légumes que votre famille aimera. Ensuite, développez des recettes qu’ils apprécieront. N’hésitez pas à gratiner les brocolis pour faire changement, ou les faire rôtir au four avec de l’huile d’olive et du sel de mer.

Soyez indulgents, il y aura toujours des légumes au rang des mal-aimés.

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Risque de diabète chez les enfants et adolescents exposés aux antipsychotiques

C’est ce que rapporte Medical Express, dans des données également publiées dans la revue scientifique Journal of the American Academy of Child and Adolescent Psychiatry.

L’équipe menée par le Dr René Ernst Nielsen, psychiatre au Danemark, a évalué la base de données comprenant 48 299 jeunes qui avaient reçu un diagnostic de trouble mental entre le 1er janvier 1999 et le 30 juin 2010.  Ils ont ensuite validé la corrélation entre la prise de neuroleptiques et son incidence sur les risques de diabète.

Le type de trouble de la santé mentale n’avait aucun lien (plus ou moins susceptible) associé au développement du diabète de type 2. Cependant, les chercheurs ont réalisé que chez les jeunes prenant des antipsychotiques, le taux de diabète se situait à 0,72 %, alors que le taux chez les autres jeunes était de 0,27 %

L’objectif de cette recherche, selon Dr Nielsen, est de s’assurer que ce type de médication ne soit pas utilisé s’il existe une autre méthode moins dangereuse. Notamment, certains médecins prescrivent des neuroleptiques pour des troubles comportementaux qui pourraient être traités autrement.