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Un sommeil plus que réparateur

Une nouvelle étude, publiée dans la revue Pediatrics, mentionne qu’il est bon de laisser les jeunes dormir plus longtemps le week-end et les jours fériés.

Des chercheurs de Hong Kong ont constaté que les enfants qui avaient moins d’heures de sommeil avaient tendance à être plus gros. Pour ceux qui ne dorment pas huit heures par nuit durant la semaine, la nouvelle étude affirme qu’il est possible de compenser durant le week-end et les jours de congé. Ceci aiderait également à conserver un poids santé.

Cette étude confirme des recherches antérieures qui liaient le manque de sommeil à l’obésité chez les enfants. Les enfants et les adolescents plus gros ont en effet tendance à moins dormir, mais on ne connaît pas les raisons qui les poussent à sortir du lit. Toutefois, on a noté, chez ces jeunes, une tendance à prendre plus de temps pour faire les devoirs et regarder la télévision que les jeunes ayant un poids normal.

On ajoute également que des facteurs biologiques peuvent jouer un rôle dans le cycle du sommeil. Voilà pourquoi les chercheurs disent d’être prudent dans l’interprétation de ces nouveaux résultats. On sait déjà qu’un calendrier de sommeil irrégulier peut provoquer des difficultés scolaires et des troubles de l’humeur et de comportement.

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Les antipsychotiques ont des effets nocifs chez les jeunes

Publiés dans la revue JAMA, les résultats d’une étude concernant les effets des antipsychotiques chez les jeunes ont de quoi inquiéter.

272 patients de 4 à 19 ans ont été analysés. Ils n’avaient jamais pris d’antipsychotiques avant l’étude et chacun avait différents problèmes, soit des troubles de l’humeur (47, 8 %), une schizophrénie (30,1 %) ou des comportements agressifs et destructeurs (22,1 %)

Tous ont reçu différents types d’antipsychotiques pendant 12 semaines, sauf quinze d’entre eux qui ont refusé. Ils ont alors été étudiés comme groupe échantillon.

Au bout de onze semaines, ceux qui avaient reçu l’antipsychotique olanzapine avaient une prise de poids de 8,5 kilos. Avec la quétiapine, elle était de 6 kg. Avec la rispéridone, la prise de poids était de 5,3 kg en moyenne et ceux ayant reçu l’aripirazole avaient vu leur poids augmenter d’environ 4,3 kilos. Le groupe échantillon n’avait eu qu’une prise de poids moyenne de 200 grammes.

De plus, les chercheurs ont noté une augmentation du cholestérol et de triglycérides dans le sang de ceux qui avaient pris l’olanzapine et la quétiapine.

Des résultats plutôt inquiétants quand on sait que le surpoids occasionne de nombreux problèmes de santé.

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Risques de problèmes cardiaques chez les adolescents

La Fondation des maladies du cœur du Canada révèle des données alarmantes concernant la santé des adolescents.

Une présente étude, en cours depuis 7 ans, démontre que la plupart des adolescents de 14 et 15 ans ont déjà des risques importants de maladies du cœur ou d’accidents vasculaires cérébraux (AVC).

L’étude porte sur 20 719 jeunes et démontre le déclin de la santé cardiaque des adolescents d’aujourd’hui. Entre 2002 et 2008, on a noté des taux élevés d’hypertension artérielle, de cholestérol et d’obésité.

Le plus inquiétant est que ces chiffres augmentent d’année en année, en grande partie à cause du manque d’activité physique et d’une mauvaise alimentation. On recommande donc plus d’efforts pour inciter les gens à corriger la situation.

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Les adolescents très préoccupés par leur poids

Selon un sondage mené sur le Web par Habbo, 2 adolescents sur 3 en France se préoccupent de leur poids et un sur trois dit ressentir une forte pression à ce sujet.

La grande majorité des adolescents mentionnent avoir une alimentation équilibrée, alors que 31 % disent vouloir la changer pour maigrir et améliorer leur apparence.

61 078 répondants provenant de 30 pays ont participé à l’enquête. Il semble que les Portugais et les Brésiliens seraient les plus préoccupés par leur poids, alors que les Norvégiens et les Néerlandais s’en soucient beaucoup moins.

En ce qui concerne les corps stéréotypés que l’on retrouve dans les médias, 60 % des adolescents français estiment que cela est irréaliste.

Parmi les répondants en France, plus des trois quarts déclarent prendre trois repas par jour, mais moins de la moitié d’entre eux mentionnent n’en avoir jamais sauté un.