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Nouvelle menace en ligne : les sites de rencontre pour adolescents

Déjà, l’écart d’âge des participants à ces sites de rencontre pour adolescents, notamment Rencontre-Ados.net, est dérangeant pour tout parent.

La Presse a procédé à un test pour valider l’objectif des adolescents qui consultent ce genre de site, mais aussi aux risques auxquels ils s’exposent. Le danger est non seulement réel, mais omniprésent.

En s’inscrivant avec le profil d’une fille de 12 ans, celle-ci a rapidement retenu l’attention d’autres garçons présents, mais certains avaient plus de 20 ans. Leurs intentions étaient claires, et la demande de la caméra, un incontournable.

La loi prévoit que l’âge du consentement sexuel est de 16 ans. Pour une jeune fille de 12 ou 13 ans, des propos sexuels ne sont pas tolérés au-delà de 2 ans d’écart sans être considérés comme une infraction criminelle. À l’âge de 14 ou 15 ans, la différence d’âge ne doit pas dépasser 5 ans pour l’interlocuteur.

Déjà près de 2000 mineurs québécois fréquentent ce site. Ils y cherchent une identité sexuelle, pierre angulaire de l’adolescence, et l’ouverture d’esprit d’autres jeunes qu’ils n’ont pas à confronter dans la vie de tous les jours. Un mode de rencontre qui est beaucoup plus facile pour eux.

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Les jeunes qui côtoient des chevaux sont moins stressés

Une nouvelle recherche démontre que les jeunes qui travaillent avec les chevaux sont beaucoup moins stressés que leurs pairs.

Les scientifiques en sont venus à cette conclusion à l’aide d’échantillons de salive. Les résultats sont publiés dans le Human-Animal Interaction Bulletin.

L’une des expertes, Patricia Pendry, explique l’objectif de cette étude, rapportée par Medical News Today : « Nous sommes plus spécifiquement intéressés à l’optimisation de la saine production d’hormones du stress chez les jeunes adolescents ».

La raison est simple, selon Pendry : « Nous savons, par rapport à de précédentes recherches, que les modèles d’hormones de stress en santé sont susceptibles de protéger contre le développement de problèmes de santé mentale ou physique ».

Les participants à l’étude, des jeunes de 10 à 14 ans, ont suivi un programme de 12 semaines d’apprentissage des chevaux avec le PATH (Palouse Area Therapeutic Horsemanship), spécialisées en thérapie depuis plus de 30 ans.

« Nous avons réalisé qu’au terme des 12 semaines, en fin de journée, les enfants ayant participé au programme présentaient une quantité d’hormones de stress très inférieure aux autres jeunes », a confié Pendry.

Bien que la recherche ait été effectuée dans un but préventif, Patricia Pendry est sûre que désormais, ce programme pourra être utilisé pour diminuer le stress chez les adolescents présentant un niveau d’anxiété plus élevé.

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Les jeunes aiment encore la lecture malgré la technologie

Le Junior Connect, comme l’indique Top Santé, est une étude comportementale élaborée annuellement. Elle étudie le rapport des jeunes (enfants et adolescents) avec la technologie et le papier, cette denrée de plus en plus rare.

Ainsi, malgré les ordinateurs, tablettes et autres dispositifs technologiques à leur disposition, les jeunes de 1 an jusqu’à moins de 20 ans démontrent encore un intérêt pour la lecture.

Les dernières données, récoltées auprès de 7000 enfants et jeunes adultes, se font en ligne. Les enfants de plus de 14 ans peuvent répondre eux-mêmes au questionnaire, autrement, c’est le tuteur légal qui le complète ou qui est en compagnie de l’enfant.

En conclusion, le nombre d’heures passées à lire par semaine se révèle comme suit :

Groupe de 1 à 6 ans : 3 h 30
Groupe de 7 à 12 ans : 4 heures
Groupe de 13 à 19 ans : 3 h 05

Ces informations révèlent également que seuls 2 % du groupe des 7 à 12 ans n’a pas lu un livre au cours du dernier trimestre. Ce pourcentage est de 12 % auprès des 13 à 19 ans.

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L’incapacité des jeunes à penser au futur augmente la tendance criminelle

La recherche, portant sur de jeunes délinquants graves, s’est basée sur la réponse à une seule question ouverte. On demandait aux adolescents : « Combien de temps pensez-vous vivre? » La réponse permettait de prédire le schéma de récidive des délinquants.

Le principal auteur de l’étude, Dr Alex Piquero, a découvert que la réponse était directement reliée avec la gravité des méfaits et la répétition des crimes commis. Spécialisé en criminologie, Piquero a expliqué que les jeunes dans cette situation croient toujours qu’ils ne vivront pas longtemps.

« Nombreux sont les jeunes qui nous ont dit “Je ne vivrai même pas jusqu’à la semaine prochaine, alors pourquoi je m’en ferais?” » Ainsi, ces adolescents qui ne pensent qu’à l’instant présent, se soucient beaucoup moins des conséquences et agissent impulsivement.

Au contraire, ceux qui pensent à long terme contrôlent leurs impulsions, réfléchissent avant de répéter leurs méfaits et évitent plus souvent les drogues, informe Medical News Today.

Les chercheurs travaillent de concert avec le président américain Barack Obama, qui a mis sur pied l’opération My Brother’s Keeper, un effort pour encourager les jeunes hommes à poursuivre leurs études et les garder loin du système criminel.

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Sexualité et pornographie, peu de différence entre garçons et filles

La recherche provient de Magdalena Mattebo, du département de la santé des femmes et enfants de l’Université Uppsala.

Un questionnaire distribué à plus de 800 adolescents suédois de 16 ans a mis en lumière les intérêts, fantasmes, opinions et expériences sexuelles des jeunes d’aujourd’hui.

L’information la plus surprenante provenant des données réside dans le fait que tant les filles que les garçons croient que leur vie sexuelle est directement influencée par la pornographie.

« C’était inattendu de constater que plus d’une fille sur 10 affirmait qu’elle ne regardait pas assez de pornographie à son goût », explique Mattebo. « Aussi surprenant de constater qu’il n’a aucune différence entre les garçons et les filles relativement aux fantasmes. »

Les filles prenaient même le dessus quant à l’expérience sexuelle, au niveau oral, vaginal et anal. Cependant, garçons et filles se situaient sur le même niveau quant aux partenaires sexuels, que ce soit d’avoir un ami pour le sexe, un partenaire d’une nuit ou de sexe en groupe.

Cependant, la perception de multiples partenaires n’a pas changé. Pour un garçon, cela lui garantit une grande popularité, alors que pour la fille, elle demeure une traînée.

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Les adolescents ne se protègent toujours pas pendant les relations sexuelles

En France, à la veille du  lancement du nouveau programme de sensibilisation contre le SIDA, la Smerep (association étudiante) dévoile les résultats d’une enquête fort inquiétante.

Sur 500 étudiants en provenance de la France et un échantillon additionnel de 700 d’Île-de-France, les résultats de la Smerep ont démontré que 30 % des garçons et 39 % des filles ne se protégeaient pas pendant les relations sexuelles.

Les raisons invoquées, selon Top Santé :

– 60 % d’entre eux affirment que les 2 partenaires ont passé un test de dépistage.

– 30 % font le test dès qu’ils changent de partenaire sexuel (sans que l’autre le fasse nécessairement).

– 50 % des jeunes n’utilisent aucune protection parce que l’autre partenaire a déjà un moyen de contraception.

– 20 % n’utilisent pas de protection pour éviter de « briser la magie » du moment.

Là où les résultats sont les plus alarmants, c’est que malgré tout, 38 % des adolescents en France n’ont jamais passé de test pour les maladies transmissibles sexuellement, alors qu’en Île-de-France, ce taux est de 32 %.

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Des résultats scolaires moins élevés chez les adolescentes obèses

Selon ce que rapporte Medical News Today, cette recherche est la première du genre à relier la variation des résultats scolaires à l’obésité. Le détail a été publié dans la revue International Journal of Obesity.

Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), en 2012, plus du tiers des adolescents aux États-Unis était en surpoids ou obèses.

Sur l’échantillon de 6000 adolescents de la présente étude, 71,4 % avaient un poids santé, 13,3 % étaient en surpoids, et 15,3 % étaient obèses. Les résultats scolaires ont été vérifiés à l’âge de 11, 13 et 16 ans.

Les résultats obtenus indiquaient que ce sont les filles obèses qui tendaient à une performance scolaire plus basse.

La recherche effectuée par le professeur John Reilly de l’Université de Strathclyde au Royaume-Uni a donc déterminé un lien clair chez les filles, mais pas chez les garçons.

« Nous devons continuer à tenter de comprendre pour quelle raison l’obésité a des conséquences négatives sur la performance scolaire. Il est clair que les adolescents, parents et responsables de l’éducation et de la santé publique doivent être conscients de l’impact à long terme sur l’éducation et l’économie de l’obésité. »

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Le bronzage en cabine chez les jeunes entraîne d’autres dépendances

Selon une nouvelle étude menée auprès de 25 861 jeunes Américains entre 2009 et 2011, les conséquences du bronzage en cabine vont bien au-delà des risques de cancer. La recherche était menée dans le cadre du sondage national Youth Risk Behavior, qui englobait 15,5 millions d’étudiants du secondaire.

Les résultats chez ceux qui utilisaient régulièrement les cabines de bronzage ont été surprenants, puisqu’ils présentaient des risques élevés de consommation de substances illicites ou d’autres dépendances. Notamment, l’utilisation de stéroïdes, la cigarette, le sexe avec plusieurs partenaires et des tentatives de suicide.

Le chercheur, Dr Gery P. Guy Jr., des Centers for Disease Control and Prevention d’Atlanta, et ses collègues ont également réalisé que les comportements étaient différents chez les filles et les garçons.

Du côté masculin, le bronzage en cabine était plutôt associé à la consommation de stéroïdes, à la cigarette et aux tentatives de suicide. Quant aux filles, elles étaient plus sujettes à la consommation de drogue et aux relations sexuelles avec 4 partenaires ou plus.

On estime que 13,3 % des jeunes de l’école secondaire fréquentent les établissements de bronzage en cabine.

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Les adolescents font du « sexting » à cause de la pression sociale

Une nouvelle étude s’est penchée sur la cause de cette pratique, malgré les conséquences qu’elle peut engendrer. En résumé, la pression sociale est la grande responsable des échanges de photos dénudées.

On veut faire « partie de la bande », être populaire, passer pour quelqu’un qui n’hésite pas à transgresser les règles ou qui est au-dessus de la loi.

« Nous étions intrigués du fait que la plupart des adolescents semblent au courant des risques potentiels du sexting, mais ils y prennent quand même part », explique Dre Mariek Vanden Abeele, principale auteure de la recherche en compagnie de ses collègues médecins, Scott W Campbell, Steven Eggermont et Keigh Roe.

Au niveau des garçons, le sexting leur garantit une plus grande popularité au niveau des deux sexes. Quant aux filles qui participent à ce genre d’échange, elles deviennent populaires auprès des garçons, mais sont mal perçues par les autres filles.

Jusqu’à présent, les campagnes de sensibilisation, surtout au niveau des conséquences judiciaires, ne semblent pas avoir d’impact sur les adolescents.

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La douleur reliée à la santé mentale chez les adolescents

Pour la toute première fois, des chercheurs se sont penchés sur les douleurs physiques qui peuvent entraîner notamment la dépression et l’anxiété chez les jeunes de 13 à 18 ans.

L’étude a englobé 566 adolescents qui présentaient des symptômes dépressifs, mais aussi des troubles de l’alimentation, le TDAH (trouble de déficit d’attention avec hyperactivité) et même de différents niveaux d’autisme.

Selon le professeur Marit Sæbø Indredavik, de la Norwegian University of Science and Technology (NTNU), les travailleurs du domaine de la santé ont tout intérêt à prêter une plus grande attention aux douleurs chroniques chez ces jeunes.

En tout, ce sont 70 % des répondants qui ont avoué vivre avec une douleur physique chronique. Ce taux était encore plus élevé chez les adolescents dépressifs, où ce sont 8 jeunes sur 10 qui souffraient physiquement. La douleur la plus fréquente était au niveau musculo-squelettique, prédominant chez les filles.

« Ces données sont tellement élevées que tout le système de soutien des besoins des enfants et adolescents doit être sensibilisé », affirme le professeur Indredavik.

Le prochain lien à effectuer pour les chercheurs est de comparer le niveau d’activité physique chez ces jeunes, par rapport à ceux qui ne vivent pas ce genre de douleur.