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Attention, recrudescence d’ecstasy chez les adolescents

« Ce n’est que la pointe de l’iceberg », affirme Steve Pasierb, président-directeur général de Drugfree.org. « On ne parle ici que des cas qui se sont retrouvés en salle d’urgence, et ça devrait sonner l’alarme. »

Comme l’indique webmd.com, plus de 10 000 jeunes en 6 ans ont été hospitalisés. D’ailleurs, la U.S. Substance Abuse and Mental Health Services Administration (SAMHSA) rapporte que dans la majorité des cas, la combinaison avec de l’alcool a été relevée.

L’ecstasy augmente la sensation d’euphorie et redonne de l’énergie, et ce, en raison d’une altération du fonctionnement chimique du cerveau. Mais en parallèle, les effets secondaires regroupent la déshydratation, l’augmentation marquée de la température corporelle et de la pression sanguine, et un rythme cardiaque rapide. Des symptômes qui peuvent mener à un arrêt cardiaque ou un dysfonctionnement rénal.

Si vous entendez parler de Molly, méfiez-vous d’autant plus. Il s’agit d’une nouvelle forme d’ecstasy, en poudre, qui peut facilement être recoupée avec d’autres ingrédients hallucinogènes, potentiellement mortels.

Les autorités sont plus alertes depuis le retour de décès en lien avec la surdose d’ecstasy, et demandent aux parents d’en faire de même.

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600 enfants entre 11 et 15 ans commencent à fumer chaque jour

La nouvelle recherche a été publiée dans la revue Thorax, selon medicalnewstoday.com. Ce sont des données alarmantes, puisque lorsque l’on commence à fumer plus jeune, les risques de cancer et autres maladies reliées à la cigarette s’en trouvent décuplés.

La récolte de ces données vise notamment une campagne plus agressive pour décourager les jeunes de céder à cette habitude mortelle.

Plusieurs établissements de recherche ont concerté leurs efforts pour compiler les questionnaires de 6519 enfants de 219 écoles. L’âge visé : entre 11 et 15 ans. Par la suite, ils ont reporté les statistiques à la totalité démographique de l’Angleterre, l’Irlande du Nord, l’Écosse et le Pays de Galles.

« Fumer est l’une des plus grandes causes mortelles du monde, que nous pouvons prévenir. Les données fournies devraient nous aider à augmenter la sensibilisation du problème des jeunes fumeurs », rapporte l’un des chercheurs. Selon eux, il est urgent de cesser d’attirer les jeunes avec des emballages colorés et des publicités trompeuses.

Parmi les moyens envisagés se retrouvent une nouvelle taxe sur les produits du tabac, un plan pour réduire la contrebande de cigarettes, des campagnes publicitaires anti-tabac bien financées et l’interdiction de fumer dans les voitures.

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Les tests du VIH : les adolescents ne sont pas suffisamment sensibilisés

Ce sont les résultats auxquels sont parvenus les chercheurs du Centre médical Montefiore et du Collège de médecine Albert Einstein de l’Université Yeshiva. En fait, ceux qui passaient les tests de dépistage étaient les adolescents en couple sérieux et dont les deux partenaires étaient ouverts aux discussions sur les relations sexuelles.

Ce sont 1000 adolescents de 14 à 17 ans qui ont été interrogés, lesquels vivaient dans le Bronx, New York. De ces répondants, 428 avaient passé les tests. Cela représente uniquement 44 %, et tous étaient actifs sexuellement.

« Malgré nos efforts pour éduquer les jeunes sur les risques de maladies transmises sexuellement, particulièrement le VIH, il est clair qu’il manque un élément. Nous devons les encourager à communiquer et à exiger que le partenaire soit testé », affirme Hina J. Talib, médecin spécialisée.

Talib évoque l’urgence d’inclure un module « communication » dans l’éducation sexuelle des jeunes, en commençant par les intervenants du secteur médical qui sont là pour sensibiliser les adolescents à l’importance d’exiger que son partenaire soit testé, rapporte Medical News Today.

« Plus tôt nous décelons le VIH, plus efficace est le traitement », rappelle Dre Talib.

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La consommation de cannabis chez les adolescents en baisse au Canada

On avait l’habitude d’associer la richesse d’un pays avec une présence accrue de consommation de cannabis chez les jeunes. Or, de nouvelles statistiques démontrent que les choses ont changé. Désormais, le cannabis est en baisse dans les pays développés, mais en hausse dans les pays en développement.

Une nouvelle étude publiée dans la revue en ligne Addiction a sondé des adolescents de 15 ans dans 30 pays européens et en Amérique du Nord, en 2002, 2006 puis 2010. Les données indiquent une diminution marquée de la consommation du cannabis, particulièrement dans ces pays : Belgique, Canada, Danemark, France, Allemagne, Irlande, Italie,  Pays-Bas, Portugal, Espagne, Royaume-Uni et États-Unis. Ces données concernent autant les filles que les garçons.

Quant aux pays où l’utilisation est en hausse, il s’agit pour les garçons de la Macédoine, de la Lettonie et la Lituanie. Chez les filles, c’est surtout en Russie que la consommation de cannabis a monté en flèche.

Medical News Today rapporte que les chercheurs croient que la mise en place de politiques nationales de santé dans les pays riches peut avoir contribué à cette forte diminution.

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Les troubles mentaux des adolescents ne sont pas traités

C’est ce que révèle l’étude menée par E. Jane Costello, professeure en psychologie et en épidémiologie et directrice adjointe du Duke Center for Child and Family Policy, de la Duke University.

Selon les résultats, les adolescents souffrants du TDAH, de trouble de l’opposition ou autre trouble comportemental reçoivent les soins adéquats dans 70 % des cas. Cependant, ceux qui souffrent de phobies ou de troubles anxieux sont ceux qui sont le moins pris au sérieux, et donc non traités en majorité.

De plus, lorsqu’ils reçoivent « de l’aide », celle-ci provient souvent d’un pédiatre, d’un travailleur social à l’école ou d’agents de probation, plutôt que de la part d’un vrai spécialiste de la santé mentale.

Costello est d’avis que l’on doit former plus de psychiatres pour les mettre au service des milieux scolaires, rapporte Medical News Today.

Le sondage a récolté les données du National Comorbidity Survey Adolescent Supplement, mené auprès de plus de 10 000 adolescents américains de 13 à 17 ans. Cette étude a été mise sur pieds à la suite des nombreux cas de violence rapportés dans les dernières années, notamment les tueries en milieu scolaire.

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Les adolescents prennent plus de risques lorsqu’ils sont fatigués

Selon une nouvelle étude, rapportée par MedicalXpress, les adolescents qui ne dorment pas suffisamment et qui présentent des signes de fatigue sont plus enclins à prendre des risques ou à faire des bêtises.

On note à cet effet : avoir des relations sexuelles non protégées, consommer alcool et drogues, et conduire malgré la fatigue ou avec les facultés affaiblies.

C’est Kalina Rossa, chercheuse spécialisée au niveau du sommeil au Centre de recherche sur les accidents et la sécurité routière du Queensland (CARRS-Q), qui a mesuré les effets de la privation de sommeil.

Selon elle, c’est la partie décisionnelle du cerveau qui est la plus affectée, surtout chez les jeunes, puisqu’avant l’âge de 25 ans, elle n’est pas pleinement mature.

« Ce que cela signifie, c’est que la partie du cerveau qui est responsable de la résolution de problème et du contrôle des impulsions change avec le manque de sommeil. Comme cette partie est encore en développement, les jeunes qui sont fatigués prennent de mauvaises décisions. »

Attention, cela ne veut pas pour autant dire qu’il faut mettre toute la faute sur la fatigue!

 
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Troubles alimentaires : les garçons se soucient de plus en plus de leur image

Seulement aux États-Unis, selon Science World Report, c’est 20 millions de femmes et 10 millions d’hommes qui vivent avec un trouble alimentaire de taille durant leur vie. Cela inclut bien sûr l’anorexie et la boulimie, mais également l’hyperphagie boulimique, moins connue, ainsi que d’autres troubles non spécifiques.

Une récente étude spécifie que bien qu’il soit plus fréquent chez les femmes d’être aux prises avec ces troubles, les jeunes hommes (adolescents) ont de plus en plus de difficulté avec leur image corporelle.

Sur les 5527 adolescents interrogés, près de 18 % étaient soucieux de leur image, surtout au niveau de la corpulence de leurs muscles.

Comme l’indique la responsable de la recherche, Alison Field, du Children’s Hospital Adolescent Medicine Division de Boston, dans un communiqué : « Les hommes et les femmes n’ont pas du tout les mêmes préoccupations quant à leur image ». Alors que les filles recherchent la minceur, les garçons veulent des muscles développés.

Ainsi, lorsqu’on parle de troubles de l’alimentation chez les garçons, il faut plutôt regarder du côté des suppléments protéinés, des hormones de croissance ou des stéroïdes consommés par ceux-ci.

Field met les parents en garde. Regardez ce que votre adolescent consomme!

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Boisson gazeuse : les adolescents sont en danger

Pour une recherche menée par la Dre Susan Babey en Californie, des données de plus de 40 000 foyers californiens ont été compilées. Les résultats comparent la consommation de boissons sucrées, plus spécifiquement les boissons gazeuses et boissons énergisantes, pour la période de 2005 à 2007, puis 2011 et 2012.

Les résultats montrent que chez les 6 à 11 ans, la consommation de boissons gazeuses est passée de 43 à 32 %. Chez les 2 à 5 ans, celle-ci est passée de 27 à 19 %. Finalement, chez les adolescents (12 à 17 ans), le taux de consommation a grimpé de 5 %.

 Les groupes ethniques sont ceux qui consomment le plus de boissons gazeuses et de boissons énergisantes. Ainsi, 74 % des Afro-Américains et 73 % des Latino-Américains boivent au moins un soda par jour. Quant aux Asiatiques, les données grimpent en flèche.

Selon Science World Report, les chercheurs espèrent sensibiliser les adolescents (et leurs parents) aux effets à long terme de ce type de boissons. On parle notamment de risque élevé de diabète et d’obésité, en plus de problèmes d’agressivité, de déficit d’attention et de troubles comportementaux.

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Dommages physiques causés aux enfants par le temps passé devant les écrans

Arrêtez-vous 2 minutes pour réfléchir à cette information. Cela représente une journée de travail assis devant un écran, et donc, ce4la apporte son lot de stress et de tensions physiques et psychologiques.

Si l’arrivée de la souris a causé nombre de tendinites, le phénomène « multi-plateformes » auquel sont soumis les jeunes est pire encore. Ils ont leur cellulaire, leur iPod, leur iPad, l’ordinateur, les consoles de jeux et le jeu en ligne. Le tout agrémenté d’écouteurs.

Le Huffington Post rapporte ainsi qu’ils ont donc le cou recourbé environ 7 heures par jour, ce qui entraine des douleurs cervicales, des tensions au niveau des épaules et du dos, en plus de diminuer l’ouïe (à cause des écouteurs) et de créer des problèmes visuels.

Sans compter que leur concentration est considérablement altérée et qu’ils détériorent leurs habiletés sociales, en plus de diminuer la qualité et quantité de leur sommeil.

On parle désormais de « dépression Facebook » et de douleurs causées par la iPosture, en plus de la nouvelle crampe de doigts nommée « text Claw » ou la griffe du texto.

Parents, il est venu le temps de passer en mode « modération accélérée ».

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Concept de marketing social pour prévenir l’abus d’alcool chez les jeunes

On entend parler de jeunes qui sont transportés à l’hôpital après avoir consommé de l’alcool jusqu’à mettre leur vie en danger. Une nouvelle étude publiée dans le Health Education rapporte qu’il est probable qu’une stratégie de marketing social soit efficace pour prévenir de tels comportements.

Dans l’ouvrage intitulé Moderating teen drinking combining social marketing and education, on suggère d’informer les jeunes à partir de publicité sous forme de jeu éducatif interactif. Déjà testé auprès des 14-16 ans, le jeu Game On: Know Alcohol (GO:KA) a eu un certain succès.

Selon Medical News Today, le jeu vise la sensibilisation aux effets physiques et cognitifs et aux dangers associés à la consommation d’alcool. Divers tests, questionnaires et mises en situation sont proposés aux jeunes.

L’étude a démontré une réponse positive, surtout de la part des filles. Elles étaient plus réceptives et ouvertes à modifier leurs futures habitudes de consommation.

Sharyn Rundle-Thiele du Griffith Health Institute en Australie, coauteure du sondage, a commenté les résultats. « Les étudiants peuvent apprendre et avoir du plaisir en même temps! Les résultats de notre étude pilote démontrent que le jeu dans une perspective d’apprentissage sur les risques de l’alcool est une alternative qui peut changer les comportements. »

Jusqu’à présent, deux jeux et un questionnaire en ligne ont été développés par GAMEON.