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Les repas en famille n’ont pas d’effets sur le bien-être des adolescents

Bien qu’ils soient vantés pour favoriser un meilleur équilibre et réduire les risques de surpoids, les repas en famille n’auraient pourtant pas d’influence sur le développement et le bien-être des adolescents. 

Ce sont les conclusions auxquelles parviennent des chercheurs après avoir suivi 18 000 enfants jusqu’à l’adolescence. Selon le Journal of Marriage and Family, les chercheurs ont mesuré les effets des repas en famille selon trois principaux critères, soit les symptômes de dépression chez les jeunes, l’usage de drogues et la délinquance.
 
On ne remarque aucun bénéfice notable des repas en famille sur le développement et le bien-être de ces jeunes.
 
Les avantages des repas en famille seraient plus pour les parents. Ces moments sont des occasions de reconnecter émotionnellement avec leurs enfants, de surveiller leurs activités et de transmettre des valeurs.
 
La capacité de gérer les repas en famille est toutefois grandement facilitée avec les ressources comme le temps et l’argent. Ces repas sont beaucoup plus fréquents chez les familles avec les deux parents biologiques, la mère au foyer et un revenu plus élevé.
 
Mais des études plus approfondies doivent être faites, notamment sur le contexte de repas en famille à savoir s’il y a un réel échange ou si les personnes regardent la télévision ou envoient des messages texte en mangeant.
 
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Les adolescents qui regardent moins la télévision mangent mieux

Selon les Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine, pour manger plus sainement, les adolescents devraient se tenir loin de la télévision.
 
Les jeunes accrocs à la télévision semblent consommer plus de friandises, de sodas, de fast-food et ils adoptent de mauvaises habitudes, comme sauter le petit déjeuner.
 
Ces résultats sont la conclusion d’analyses de données recueillies auprès de 12 640 adolescents dont la moyenne d’âge était de 13 ans.
 
Les plus jeunes semblent adopter plus de saines habitudes et consomment plus de fruits et légumes. Les filles font meilleure figure que les garçons en ce sens.
 
On croit que les publicités télévisées peuvent notamment influencer les jeunes, plus vulnérables à l’adolescence.
 
Cela expliquerait en partie pourquoi les adolescents mangent plus mal lorsqu’ils regardent plus la télévision.
 
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Une fondation qui a la santé mentale des enfants à coeur

Ils sont connus au Québec, mais ils sont surtout des parents d’enfants souffrant de maladies mentales.

Dans le cadre de la Semaine nationale de la santé mentale, qui se déroule du 7 au 11 mai, Guy Lafleur, Sophie Prégent et Sylvie Lauzon agissent respectivement à titre de porte-parole et marraines d’honneur pour faire connaître les enjeux de ces problèmes de santé et proposer des solutions d’aide aux familles concernées par cette difficile réalité.

Au Québec, alors que les problèmes mentaux et les troubles du comportement semblent pousser comme des champignons chez les jeunes, que le besoin est de plus en plus criant et que la science a encore de la difficulté à mettre le doigt sur la source de ces problèmes neurologiques, une seule fondation vient en aide exclusivement aux enfants et adolescents atteints de maladies mentales.

Chaque année, la Fondation les petits trésors, qui existe depuis 1980, mène un combat sans fin dans la société pour faire connaître sa mission. Spectacles-bénéfices, conférences, tournois de golf, bals et soirées thématiques sont des événements qui permettent d’amasser des fonds pour venir en aide aux jeunes qui ont besoin de soutien et surtout d’un diagnostic précoce pour tenter d’éviter que la maladie mentale brime leur vie entière.

Il est prouvé qu’au Québec, un enfant sur six souffre de problèmes mentaux. Parmi les petits qui vivent au sein d’une famille monoparentale ou recomposée, environ un enfant sur trois a des troubles émotifs importants. Chez les moins de 10 ans, 10 % d’entre eux auraient déjà eu des pensées suicidaires.

Cliquez ici pour avoir plus de détails sur la Semaine nationale de la santé mentale et le rôle de la Fondation les petits trésors.

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L’ecstasy et le speed liés à la dépression chez les adolescents

Une étude réalisée à l’Université de Montréal pendant cinq ans démontre que l’ecstasy (MDMA) et le speed (méthamphétamine) seraient liés à un risque accru de dépression chez les adolescents.
 
Selon l’étude, les jeunes de 15 et 16 ans qui ont consommé une de ces drogues sont près de deux fois plus susceptibles de souffrir d’une dépression l’année suivante.
 
« Nous concluons que l’utilisation récréative de MDMA et de méthamphétamine augmente le risque que les étudiants du secondaire développent des symptômes de dépression », mentionne à Radio-Canada Frédéric N. Brière, du Groupe de recherche sur les environnements scolaires.
 
Des études plus poussées sont nécessaires, car il est impossible pour le moment d’exclure des effets de combinaisons de drogues et difficile également de connaître la composition exacte des pilules consommées.
 
Des recherches supplémentaires doivent donc être faites pour apporter ces réponses ainsi que favoriser une meilleure compréhension de la différence des effets sur les adolescents et les adultes.
 
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Dépression: les adolescents ont besoin de plus de traitements efficaces

En effet, plus de 2 millions d’adolescents souffrent de dépression aux États-Unis. Les récents avertissements sur certains médicaments et les résultats d’études ont conduit à la controverse entourant ces traitements.  

Un rapport sur les derniers résultats de recherche sur les médicaments antidépresseurs et les stratégies thérapeutiques appropriées a d’ailleurs été publié dans le Journal of Child and Adolescent Psychopharmacology.
 
« Il n’existe aucun traitement radicalement nouveau à l’horizon pour le traitement de la dépression, et nous devons donc faire mieux avec les traitements dont nous disposons », a affirmé le docteur Graham J. Emslie, directeur de la Child Psychiatry at University of Texas Southwestern Medical Center de Dallas.
 
Il souligne également que « peu de jeunes souffrant de dépression reçoivent un traitement adéquat. »
 
D’autre part, « La dépression est un problème majeur de santé publique chez les jeunes, en particulier les adolescents, mais beaucoup de gens ont du mal à en parler », a déclaré Harold S. Koplewicz, MD, rédacteur en chef du Journal of Child and Adolescent Psychopharmacology.
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Le cinéma inciterait à l’alcoolisme chez les adolescents

Une sérieuse étude allemande publiée dans le journal Pediatrics affirme que les succès cinématographiques américains inciteraient les adolescents à l’alcoolisme. 

Cette expérience a été menée dans six pays européens. Les données indiquent que 14 % des adolescents ont consommé plus d’alcool après avoir vu un film où les personnages principaux buvaient des boissons alcoolisées.
 
« Nous ne nous attendions pas à un tel résultat. Mais cela nous montre la très forte influence de ce média sur les jeunes. Le cinéma américain est un cinéma mondial et il est une référence pour tous les jeunes du monde » , explique Reiner Hanewinkel de l’Institute for Therapy and Health Research.
 
Toutefois, ces retombées doivent être confirmées avec des études plus vastes sur le sujet. Cependant, les premiers résultats ont surpris les chercheurs et laissent place à une réflexion importante concernant l’influence du cinéma et des vedettes sur les jeunes.
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L’alcool, la malbouffe et le tabac rendent les adolescents malheureux

5 000 jeunes ont été interrogés sur leur apparence, leur famille, leurs amis, l’école et leur vie dans l’ensemble et selon ce que rapporte le Daily Mail, les jeunes qui n’ont jamais consommé de l’alcool sont entre quatre et six fois plus susceptibles d’être heureux que ceux qui en ont pris.                        

Ceux qui se sont abstenus de fumer la cigarette sont quant à eux cinq fois plus susceptibles d’avoir une meilleure cote de bonheur.
 
Cette étude confirme donc que les habitudes de vie malsaines sont étroitement liées au niveau de bonheur, et ce, même en tenant compte du revenu familial et de l’éducation des parents.
 
Au niveau de la consommation d’alcool dans le dernier mois, 8 % des jeunes de 11 et 12 ans ont déclaré en avoir pris et 41 % chez les 13-15 ans.
 
Toutefois, les jeunes qui consomment le plus de fruits et légumes et qui font du sport sont plus heureux.
 
Les résultats démontrent également que pour les 13-15 ans, seulement 11 % disent consommer cinq portions de fruits et légumes quotidiennement. 
 
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Les adolescents nés au printemps sont plus grognons l’hiver

Habituellement, on attribue les sautes d’humeur des adolescents aux hormones. Pourtant, cela pourrait être programmé à la naissance.
 
Une étude réalisée sur 1523 jeunes de 10 à 17 ans, parue dans la revue Psychiatry, dévoile que ceux nés au printemps auront plus le « blues de l’hiver » que leurs congénères nés durant les mois plus froids de l’automne et de l’hiver.
 
La raison? Peut-être que c’est dû à l’exposition à la lumière naturelle dans les premiers jours de la programmation de vie du système nerveux.
 
Auparavant, des études avaient mentionné que les bébés nés durant l’hiver étaient plus susceptibles de souffrir d’allergies et de schizophrénie, alors que ceux nés l’été étaient généralement plus grands et plus forts, mais plus à risque de souffrir de maladies cœliaques.
 
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Suicide : 40 % des enfants pensent à la mort

Le neuropsychiatre Boris Cyrulnik a rendu public son rapport intitulé Quand un enfant se donne la mort, publié aux Éditions Odile Jacob l’automne dernier.

Il semblerait malheureusement que le mal-être gagne des enfants de plus en plus jeunes. « 40 % des enfants pensent à la mort tant ils sont anxieux et malheureux », se désole l’auteur.

Difficile à estimer, mais de 30 à 100 enfants se tuent chaque année, avance Boris Cyrulnik. « Avant l’âge de 13 ans, 16 % des enfants pensent que la mort pourrait être une solution à leurs problèmes de famille, d’école ou de relations amicales », indique-t-il.

Pour éviter que ces chiffres ne cessent de grimper, le neuropsychiatre suggère de repenser l’école, de renforcer l’aide parentale et d’être plus attentif à la vulnérabilité émotionnelle de l’enfant, et ce, dès sa naissance. De mauvaises ondes pourraient d’ailleurs être envoyées par le parent, même in utero.

Des raisons qui peuvent sembler si dérisoires pour l’adulte, comme un accrochage avec un parent, une mauvaise note scolaire ou une interdiction de manger des sucreries, pourraient pousser l’enfant à commettre le pire.

Ceux-ci utiliseraient en majorité des outils à proximité, comme se pencher par la fenêtre ou traverser la rue en courant pour passer à l’acte.

Deuxième cause de décès chez les jeunes de 16 à 25 ans, le suicide serait gravement sous-estimé par ces derniers.

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Les adolescents qui imposent leur avis auprès de leur mère sont moins influençables

Les adolescents sont plus susceptibles de résister à la pression de leurs amis, pour la consommation de drogues notamment, s’ils peuvent s’exprimer librement lors de conversations avec leur mère.

C’est l’une des conclusions d’une nouvelle étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Virginie. L’étude est parue dans la revue Child Development.

Les chercheurs ont étudié plus de 150 adolescents et leurs parents afin de recueillir, entre autres, des informations sur l’interaction entre la mère et l’adolescent.

Les ados qui avaient discuté de sujets tels que l’argent ou les règles de ménage faisaient partie des mieux protégés devant les tentations.

Dans ces échanges, les jeunes ont essayé de persuader leur mère avec des arguments raisonnés plutôt qu’avec de la pression, des pleurs ou des insultes.

L’étude a également démontré que les adolescents qui ont de bonnes relations avec leurs parents et leurs pairs étaient plus susceptibles de résister à l’influence des pairs quant à la toxicomanie.