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Les adolescents ne mangent pas assez de fruits et légumes

Les Centers for Diseases Control and Prevention dévoilent une étude dans laquelle on constate que les adolescents américains ne mangent pas assez de fruits et légumes.
 
Les données ont été recueillies auprès de 11 430 adolescents de 14 à 18 ans.
En moyenne, les filles consommaient 1,5 tasse de fruits par jour et 2,5 tasses de légumes. Pour les garçons, la consommation quotidienne était de 2 tasses de fruits et 3 tasses de légumes.
 
Comme référence, sachez qu’une tasse équivaut environ à une pomme moyenne ou à huit fraises.
 
Vous comprendrez que cela est bien en deçà des recommandations nutritionnelles, et cela n’est pas observé uniquement aux États-Unis. Ce n’est guère mieux ailleurs, comme au Royaume-Uni, où la même situation a été remarquée.
 
Pour que les adolescents mangent plus sainement, il est donc important de leur inculquer de bonnes habitudes dès leur jeune âge, et même de leur apprendre à cuisiner. Ces habitudes seront mieux conservées à l’âge adulte.
 
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Le petit déjeuner important pour tous

De nombreuses études dans le monde ont démontré l’importance du petit déjeuner, surtout pour les enfants et les adolescents. Cerin confirme également ces données, mais ajoute que même les adultes bénéficient d’un bon petit déjeuner.
 
Après avoir suivi 110 000 enfants pendant deux ans à Hong Kong, des chercheurs concluent que ceux qui consommaient un petit déjeuner avaient un indice de masse corporelle moindre que ceux qui sautaient ce premier repas de la journée.
 
En France, avec 7154 jeunes de 11 à 15 ans, on parvient aux mêmes résultats.
 
Les Finlandais, eux, ont étudié le rôle de chacun des repas de la journée auprès de 600 jeunes de 9 à 11 ans. Ils concluent que c’est le petit déjeuner qui a le plus d’influence sur le gain de poids.
 
Au Brésil, sur les 16 à 20 ans, c’est le petit déjeuner qui fournit le plus grand apport en calcium et en vitamine D.
 
Finalement, chez les personnes dans la vingtaine, on observe que celles qui prennent un petit déjeuner ont tendance à manger moins aux repas suivants.
 
Ce premier repas de la journée demeure donc d’une importance cruciale pour tous.
 
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Le speed peut avoir des effets à long terme sur le cerveau

Les adolescents qui consomment des amphétamines peuvent être victimes de dérèglements neurobiologiques. Ceci augmente les comportements à risque et le phénomène se poursuit toujours à l’âge adulte.
 
L’étude menée à l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill démontre que les effets des amphétamines peuvent demeurer perceptibles même si la personne n’en consomme plus.
 
Selon l’International Journal of Neuropsychopharmacology, les résultats qui ont été observés chez les rats sont si inquiétants qu’ils poussent les chercheurs à les vérifier sur les humains.
 
« La chimie du cerveau de ces rongeurs est très similaire à celle des humains. Ce modèle nous a donc fourni des renseignements très utiles sur la consommation d’amphétamines chez la population humaine », explique la professeure Gabriella Gobbi.
 
On croit que les dérèglements causés au cerveau pourraient favoriser les risques de maladies mentales.
 
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Une carence en vitamine D plus nocive pour les ados

Une étude de l’Université du Missouri-Columbia démontre que les jeunes obèses ont besoin d’un plus grand apport en vitamine D pour maintenir une bonne santé.
 
Selon les travaux effectués, et publiés dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry, ils auraient besoin de jusqu’à 4 000 UI (unité internationale), soit sept fois la recommandation actuelle de 600 UI. Malgré la grande différence, la dose de 4 000 UI serait sécuritaire et permettrait même d’améliorer la santé des jeunes.
 
« Si les adolescents obèses ne consommaient que les 600 UI recommandés, ils seraient en danger. Il faut 4000 UI pour suffisamment augmenter leur taux de vitamine D. Cela signifie que les médecins doivent évaluer avec attention le taux de vitamine D de leurs patients obèses ou en surpoids », explique l’auteure de l’étude, Catherine Peterson, dans un communiqué.
 
Ces jeunes en surpoids ont tendance à stocker la vitamine D dans les graisses, l’empêchant donc de passer dans le corps.
 
La vitamine D est essentielle à la bonne santé des os, car elle permet d’absorber le calcium.
 
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Les adolescents boivent plus de boissons bonnes pour leur santé

Les élèves du secondaire ne consomment pas seulement des boissons sucrées, au contraire.

Selon un sondage publié dans Morbidity & Mortality Weekly Report, 72,4 % des jeunes ont déclaré avoir bu au moins un verre d’eau par jour dans les sept derniers jours.

Parmi les 11 429 répondants, 42 % buvaient au moins un verre de lait quotidiennement et 30,2 % prenaient un jus de fruits pur à 100 %.

24,3 % des répondants ont dit boire au moins un soda par jour. Les boissons sportives étaient populaires auprès de 16,1 % des jeunes, alors que 16,9 % des répondants ont dit boire d’autres types de boissons sucrées quotidiennement.

Les garçons étaient de plus grands consommateurs de lait et de jus de fruits que les filles et les blancs en buvaient plus que les noirs ou les hispaniques également.

Toutefois, les boissons diètes n’étaient pas très populaires, seulement 7,1 % des jeunes en consommaient.

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Les jeux vidéo augmentent la consommation de nourriture

Pour la première fois, des chercheurs se sont penchés sur les effets des jeux vidéo sur l’alimentation. Non seulement ils favorisent une prise de poids en raison du fait qu’ils sont en majorité des activités statiques, les jeux vidéo causent également une plus grande consommation alimentaire.
 
22 adolescents ont participé à cette étude dirigée par Jean-Philippe Chaput de l’Université d’Ottawa. Ils ont joué à la Xbox 360 et ont eu des pauses d’une heure. Ensuite, des repas à volonté ont été offerts, rapporte l’American Journal of Clinical Nutrition.
 
On a remarqué qu’après une séance de jeux, leur rythme cardiaque, leur tension artérielle, leur tonus sympathique et leur charge de travail mental étaient beaucoup plus élevés. Le plus surprenant a été de constater que malgré le fait qu’aucun jeune n’a affirmé avoir plus faim, ils ont tous mangé plus de nourriture après avoir joué à des jeux vidéo.
 
Les experts croient que le stress pourrait expliquer ce phénomène. « Dans la vraie vie, les jeunes peuvent jouer quatre ou cinq heures aux jeux vidéo. Ils peuvent jouer avec des amis, et on sait qu’on mange plus dans un contexte social. Ils peuvent aussi manger pendant la séance de jeu, alors que nous ne leur donnions de la nourriture qu’après. La prise alimentaire réelle pourrait donc être plus grande encore. Manger, c’est une récompense ou une compensation pour le cerveau à la suite du stress subi. On a souvent tendance à manger des aliments sucrés et gras. L’une de nos hypothèses, c’est que, à cause du travail mental, il y a une combustion du glucose, qui est le substrat principal du cerveau. Manger serait un mécanisme de réaction normal du corps pour refaire ses réserves de carburant afin de bien fonctionner », explique Jean-Philippe Chaput à La Presse.
 
La prochaine étude portera cette fois sur les jeux actifs de style Wii, pour savoir si ce type incite également à manger davantage. Si c’est le cas, il n’y a donc pas de bénéfices en fin de compte.
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Permettre aux jeunes de boire augmente leurs risques de problèmes d’alcool

Longtemps, on a cru que laisser les jeunes boire de petites quantités d’alcool à la maison était une façon efficace de démystifier l’alcool et d’encourager une consommation responsable. Cependant, une nouvelle étude dévoile que cela provoque surtout l’effet contraire.
 
Permettre aux jeunes de consommer de l’alcool envoie des signaux mixtes. Ainsi, ces jeunes sont susceptibles de consommer plus et de subir les conséquences de l’alcool, comme des évanouissements ou le désir de se bagarrer.
 
Selon le Journal of Studies on Alcohol and Drugs, il serait préférable de garder l’alcool inaccessible aux jeunes ou du moins d’établir des règles strictes et claires quant à la consommation de boissons alcoolisées.
 
L’étude a recueilli les données sur 1 900 jeunes de 12 et 13 ans suivis pendant deux ans. On constate qu’il y avait plus de problèmes d’alcool chez ceux qui avaient le droit de consommer sous la surveillance d’adultes.
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La musique peut-elle causer la dépression?

Il a été prouvé que la musique a des effets sur l’humeur et le corps. Une étude de l’École de médecine de l’Université de Pittsburgh a établi un lien entre le genre de musique écoutée et la dépression ou les crises.
 
Les adolescents déprimés ont tendance à se consoler en écoutant de la musique.
 
Les nouveaux résultats obtenus ne sont que préliminaires et aucun expert ne mentionne que la musique a une mauvaise influence sur les adolescents.
 
Toutefois, écouter de la musique triste peut influencer les états d’âme. On croit également qu’en écoutant de la musique, les jeunes se coupent de leur interaction sociale et ont plus tendance à avoir une vie intérieure, ce qui peut entraîner une dépression, selon le Health 24.
 
D’un autre côté, la musicothérapie est reconnue pour ses effets également contre le stress et est bénéfique pour les patients avec des maladies cardiaques et de l’hypertension.
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Les adolescents qui lisent des livres sont moins déprimés

Si vous souhaitez que votre adolescent ait une bonne santé mentale, offrez-lui des livres et non un lecteur de musique.
 
Après avoir démontré que les réseaux sociaux pouvaient causer la dépression chez les jeunes, des chercheurs ont décidé de comparer l’effet de différents médias sur la santé des adolescents.
 
Ainsi, on a comparé l’influence de la télévision et de films, de la musique, des jeux vidéo, de l’Internet, des magazines et journaux et des livres.
 
On constate avec étonnement que les adeptes de musique sont 8,3 fois plus susceptibles de souffrir de dépression, comparativement à ceux qui privilégient les autres médias.
 
À l’opposé, lire des livres fait en sorte que les jeunes sont moins déprimés qu’avec n’importe quel autre divertissement.
 
Donc, aux prochains anniversaires, offrez plutôt de la lecture à vos adolescents.
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Facebook pourrait rendre dépressif

Les réseaux sociaux comme Facebook pourraient favoriser l’apparition des symptômes de dépression.
 
Sur ces sites, on voit des visages souriants, des statuts et échanges joyeux, donc les personnes qui ne se sentent pas à la hauteur pourraient se sentir plus déprimées. Chez les jeunes, on inclut également un concours de popularité, car ceux-ci voudront toujours être ceux qui ont le plus d’amis.
 
« Facebook peut être plus douloureux que d’être installé tout seul dans la cafétéria de son école ou d’autres situations qui peuvent rendre les adolescents malheureux. Facebook donne une vision biaisée de la réalité », mentionnent les médecins chercheurs.
 
Sans compter que ces jeunes sont parfois victimes de harcèlement en ligne et que certains vont même jusqu’au suicide.
 
Attention toutefois, de tels sites peuvent aussi avoir des effets bénéfiques dans le fait de rester en contact avec ses amis, sa famille, de partager des photos et pensées.
 
« Les chercheurs restent partagés pour déterminer si cette dépression s’inscrit dans la continuité de ce que certains adolescents peuvent ressentir en d’autres circonstances ou si c’est un état propre à l’utilisation de ce réseau social », ajoutent les auteurs de l’étude rapportée par l’American Academy of Pediatrics.