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L’alimentation et l’éducation sont étroitement liées

Une récente étude s’est penchée sur le lien possible entre l’alimentation et l’éducation reçue.
 
Le site Cerin.org rapporte que les adolescents qui ont des parents fermes avec eux ont tendance à se nourrir plus sainement, alors que ceux avec des parents permissifs mangent moins bien.
 
De plus, les jeunes vivant dans une structure familiale plus rigide consomment également moins de collations et prennent plus régulièrement leur petit déjeuner à la maison. Les autres grignotent plus souvent, majoritairement des aliments qui ne sont pas santé comme des croustilles ou des friandises, et leur petit déjeuner consiste souvent à prendre une barre de chocolat à la cafétéria de l’école en arrivant.
 
Cette observation est encore plus vraie pour les adolescents qui sont des enfants uniques et qui vivent avec leurs deux parents. La différence entre une éducation stricte et permissive est alors encore plus marquée.
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L’affichage des calories ne décourage pas les jeunes

Depuis peu, les chaînes de restauration rapide affichent le nombre de calories des aliments proposés. Ceci faisait partie d’une série de mesures pour tenter de vaincre l’obésité.
 
Pourtant, l’affichage n’aurait aucun effet sur les choix alimentaires des adolescents et des enfants, pour qui le goût l’emporte quand vient le moment de passer la commande.
 
Selon une étude américaine parue dans le Journal of Obesity, on a étudié les habitudes de 379 jeunes avant et après l’affichage des calories dans des chaînes comme McDonald’s, Burger King et PFK. Pour 91 % des jeunes, cela n’a aucunement changé leurs habitudes alimentaires. Seulement 9 % avouent regarder le nombre de calories des aliments avant de passer leur commande.
 
Cette mesure est donc inefficace et n’atteint pas le but recherché. Le tout devra alors être révisé pour mieux informer les jeunes de l’impact de ce genre de régime alimentaire sur la santé à long terme.
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Le cerveau des adolescents ne connaît pas la peur

Après des tests sur des souris, des chercheurs des universités de Cornell et Brown ainsi que de la faculté de médecine de l’Université de New York ont découvert qu’à l’adolescence, les peurs ne sont plus enregistrées dans le cerveau. Cela expliquerait pourquoi les adolescents adoptent parfois un comportement téméraire.
 
On a placé des souris adolescentes devant des situations où elles auraient dû se figer sur place pour manifester leur peur. Il s’agissait de situations vécues à leur jeune âge, comme de petits électrochocs. Pourtant, les souris ados ne présentaient que peu de réactions et leur activité cérébrale était moins forte dans les deux régions du cerveau qui régissent la peur.
 
« Bien que les souvenirs des peurs contextuelles ne s’expriment pas au début de l’adolescence, ils réapparaissent ensuite lorsque la souris sort de cette période. Du point de vue de l’évolution, une suppression provisoire de ce type de craintes durant l’adolescence s’avère une adaptation fort utile au moment où la souris doit s’aventurer hors du nid », mentionnent les chercheurs.
 
Des études plus approfondies sur le sujet seront effectuées dans l’espoir que nous puissions un jour traiter les phobies, les crises d’angoisses ou encore le syndrome post-traumatique.
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Les beuveries peuvent causer des dommages permanents au cerveau

Les adolescents se lancent souvent ce genre de défi : caler une grande quantité d’alcool en peu de temps. Ce type d’expérience peut toutefois s’avérer extrêmement dangereuse, causant des dommages permanents au cerveau.
 
Ces adolescents sont plus à risques de souffrir d’anxiété et même de dépression à l’âge adulte, mentionne une équipe de chercheurs de l’Université Loyola de Chicago.
 
Après avoir effectué des tests sur des rats, on a constaté que ceux exposés à de fortes doses d’alcool avaient une moins bonne réponse au stress. L’alcool diminue la sécrétion de l’hormone qui nous aide à faire face aux situations stressantes.
 
« L’alcool peut perturber en permanence les connexions normales dans le cerveau qui sont pourtant nécessaires pour assurer un fonctionnement normal du cerveau », mentionne le Dr Toni Pak.
 
Les beuveries peuvent aussi causer une intoxication, une perte de jugement, des blessures et même la mort dans certains cas. On estime qu’au Canada, les deux tiers des jeunes adultes s’y adonnent.
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Les adolescents utilisent plus les préservatifs que les adultes

Selon une enquête nationale menée sur 5 865 Américains âgés de 14 à 94 ans, les adolescents utilisent plus les préservatifs lors de relations sexuelles que les adultes de plus de 40 ans.
 
Ce sont les chercheurs du Centre de promotion de la santé sexuelle de l’Université d’Indiana qui se sont penchés sur la question.
 
Chez les adolescents de 14 à 17 ans qui sont sexuellement actifs, 80 % des garçons et 69 % des filles utilisent les préservatifs.
 
Par contre, chez les adultes de 40 ans et plus, ce ne sont que 50 % des gens qui utilisent ce mode de protection lors de leurs rapports sexuels occasionnels
 
Cela permet de dire qu’une relation sexuelle avec pénétration sur quatre est protégée aux États-Unis, contre une sur trois chez les célibataires.
 
L’étude dévoile aussi que 85 % des hommes révèlent que leur partenaire a eu un orgasme lors de leur dernière relation sexuelle. Pourtant, ce ne sont que 66 % des femmes qui disent avoir effectivement connu ce plaisir.
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Les sports d’équipe sont bénéfiques aux adolescents

Une nouvelle étude démontre que les adolescents qui pratiquent des sports d’équipe sont plus épanouis dans leur vie personnelle et ont une meilleure estimation de leur état de santé.
 
« Notre étude démontre les avantages de l’activité sportive sur la santé des jeunes adolescents à un moment critique de leur vie. Nos résultats suggèrent également que les sports d’équipe peuvent améliorer la connectivité scolaire, le soutien social et la liaison entre amis et coéquipiers », déclarent les chercheurs.
 
La revue Springer rapporte que l’étude a été faite auprès de 245 élèves de 14 ans. Les garçons qui ne pratiquaient pas de sports d’équipe avaient cinq fois plus de risques de décrire leur état de santé comme passable ou mauvais, alors que les filles étaient 30 fois plus susceptibles de faire cette même autoévaluation.
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Les sports d’équipe sont bénéfiques aux adolescents

Une nouvelle étude démontre que les adolescents qui pratiquent des sports d’équipe sont plus épanouis dans leur vie personnelle et ont une meilleure estimation de leur état de santé.
 
« Notre étude démontre les avantages de l’activité sportive sur la santé des jeunes adolescents à un moment critique de leur vie. Nos résultats suggèrent également que les sports d’équipe peuvent améliorer la connectivité scolaire, le soutien social et la liaison entre amis et coéquipiers », déclarent les chercheurs.
 
La revue Springer rapporte que l’étude a été faite auprès de 245 élèves de 14 ans. Les garçons qui ne pratiquaient pas de sports d’équipe avaient cinq fois plus de risques de décrire leur état de santé comme passable ou mauvais, alors que les filles étaient 30 fois plus susceptibles de faire cette même autoévaluation.
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La dépression frappe de plus en plus jeune

La psychiatre de l’Hôpital de Montréal pour enfants, la Dre Lila Amirali, sonne l’alarme. La dépression frappe de plus en plus jeune et de plus en plus gravement.
Selon elle, 1 % des enfants de moins de 13 ans souffre de dépression et 4 % des adolescents. En ce moment, 10 % des adultes sont dépressifs à différents niveaux.
 
Lorsque l’enfant s’isole, devient irritable, pleure, manque d’énergie et perd son intérêt pour des choses qu’il aimait, et ce, pendant au moins deux semaines, il faut commencer à s’inquiéter et intervenir. Les parents qui soupçonnent leur enfant d’être dépressif devraient consulter.
 
Une dépression qui n’est pas traitée chez un enfant aura 50 % des chances de réapparaître dans les cinq à dix années suivantes. De plus, celui-ci sera plus sujet à développer d’autres maladies mentales. Les enfants ayant des antécédents familiaux sont plus susceptibles d’être touchés par la maladie.
 
La thérapie est sans doute la meilleure option, car les antidépresseurs sont moins efficaces chez les jeunes.
 
Plusieurs événements peuvent provoquer un état dépressif à un jeune âge, comme le divorce des parents, le décès d’un proche ou encore une peine d’amour.
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Les boissons gazeuses et énergisantes endommagent les dents

Selon le journal australien The West, une nouvelle étude démontre clairement que les boissons gazeuses et énergisantes endommagent les dents par érosion dentaire.

 

Ce type de boisson contient un haut taux d’acidité, et cela attaque l’émail des dents.

Alors que la carie est causée par une bactérie, l’érosion est carrément une attaque chimique de la dent.

Étant donné que la consommation de boissons gazeuses et surtout énergisantes ne cesse de progresser, surtout chez les adolescents, les professionnels de la santé dentaire constatent une épidémie d’érosion dentaire chez les jeunes. En fait, 68 % des élèves auraient au moins une dent qui présente des signes d’érosion.

Il serait donc préférable de réduire la consommation de ce type de boisson, pas seulement pour les dents, mais aussi pour la santé en général, car elles contiennent beaucoup de sucre, ce qui peut entraîner d’autres problèmes.

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Les adolescents accros à l’Internet plus susceptibles d’être dépressifs

Une étude des Drs Lawrence Lam de l’Université de Sydney et Zi Weng-Peng de l’Université de Sun Yat-Sen démontre que les adolescents peuvent développer une dépression s’ils naviguent trop sur la Toile, rapporte les Archives of Pediatric and Adolescent Medicine.
Après avoir suivi 1 041 adolescents âgés de 13 à 18 ans, on dénote que les plus accros sont deux fois et demie plus susceptibles de vivre une dépression que les autres.
 
Pour l’étude, 90 % des étudiants ont déclaré naviguer normalement sur le Web, 6,2 % ont été décelés comme des cas pathologiques et 0,2 % d’entre eux étaient gravement pathologiques.
 
L’état psychologique des jeunes a été réévalué six mois après le début de l’étude et ceux qui naviguaient de façon incontrôlable étaient plus dépressifs.
 
« Ce résultat porte à croire que les jeunes gens qui n’ont à la base aucun problème de santé mentale, mais qui naviguent de manière pathologique, pourraient sombrer dans la dépression en raison de leur dépendance à Internet », déclarent les médecins.