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Les adolescents antisociaux présentent des anomalies cérébrales

Archives of General Psychiatry nous apprend que des scientifiques ont découvert que les problèmes psychiatriques des adolescents étaient sans doute le résultat d’anomalies cérébrales. Ces adolescents présentaient des schémas anormaux de leur activité au cerveau.

Ces troubles peuvent se développer durant l’enfance ou l’adolescence, et se caractérisent par de l’agressivité et une incapacité d’entrer en contact avec les autres.

Grâce à l’imagerie fonctionnelle par résonnance magnétique, on a pu analyser l’activité cérébrale des cerveaux d’adolescents auxquels on présentait des images de colère, des visages tristes et neutres. L’activité dans le cerveau des adolescents antisociaux était considérablement moindre que chez les autres, ce qui expliquerait pourquoi ils ne parviennent pas à entretenir des relations humaines.

Heureusement, ces problèmes de comportement peuvent être traités par une médication, mais on souhaite que ces nouvelles observations puissent mener à des thérapies plus adaptées.

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Les adolescents antisociaux présentent des anomalies cérébrales

Archives of General Psychiatry nous apprend que des scientifiques ont découvert que les problèmes psychiatriques des adolescents étaient sans doute le résultat d’anomalies cérébrales. Ces adolescents présentaient des schémas anormaux de leur activité au cerveau.

Ces troubles peuvent se développer durant l’enfance ou l’adolescence, et se caractérisent par de l’agressivité et une incapacité d’entrer en contact avec les autres.

Grâce à l’imagerie fonctionnelle par résonnance magnétique, on a pu analyser l’activité cérébrale des cerveaux d’adolescents auxquels on présentait des images de colère, des visages tristes et neutres. L’activité dans le cerveau des adolescents antisociaux était considérablement moindre que chez les autres, ce qui expliquerait pourquoi ils ne parviennent pas à entretenir des relations humaines.

Heureusement, ces problèmes de comportement peuvent être traités par une médication, mais on souhaite que ces nouvelles observations puissent mener à des thérapies plus adaptées.

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30 minutes de sommeil de plus font toute la différence

Une nouvelle étude publiée dans le journal Pediatrics & Adolescent Medicine a surpris les chercheurs.

Après avoir suivi 201 élèves du secondaire pendant 9 semaines, on a conclu qu’un petit 30 minutes de sommeil de plus fait toute la différence pour les adolescents, car ils ont tendance à avoir un sommeil plus profond à l’aube.

Ces étudiants qui ont dormi 30 minutes de plus étaient de meilleure humeur et plus alertes que les autres en classe. De plus, ils étaient moins susceptibles d’arriver en retard et prenaient de meilleurs petits déjeuners.

Les résultats sont si impressionnants que les écoles des participants ont effectué des changements permanents. Ainsi, le début des classes commence à 8 h 30 au lieu de 8 h, et chaque heure de classe a été réduite de 5 à 10 minutes.

On note que depuis, 16 % plus de jeunes arrivent à avoir 8 h de sommeil. La somnolence en classe est passée de 49 % à 20 %, les retards ont diminué de moitié et les élèves sont moins déprimés et irritables.

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Les adolescents sont accros aux médicaments d’ordonnance

Un adolescent américain sur cinq est accro aux médicaments d’ordonnance, selon une étude des Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC).
 
Ainsi, un ado sur cinq dit avoir déjà abusé de médicaments, dont de forts analgésiques comme de l’OxyContin et du Percocet, sans l’autorisation d’un médecin. « Certains peuvent penser à tort que les médicaments prescrits sous ordonnance sont plus sûrs que les drogues illicites, mais leur mauvaise utilisation peut avoir des effets graves sur la santé et mener à la dépendance et à la mort », mentionne le directeur du département de la santé scolaire et des adolescents du CDC, Howell Wechsler.
 
L’étude effectuée auprès de 16 000 jeunes mentionne que les trois quarts ont déjà consommé de l’alcool, 37 % de la marijuana, 6,4 % de la cocaïne, 7 % de l’ecstasy et 4 % des méthamphétamines.
 
De plus, de nombreuses autres imprudences sont révélées sur les habitudes des jeunes, alors qu’un adolescent sur dix dit utiliser rarement ou jamais une ceinture de sécurité en voiture, la grande majorité a déjà conduit une moto sans casque protecteur et un jeune sur dix a déjà conduit en état d’ébriété. Dans les trente jours précédents l’enquête, un ado sur cinq dit avoir eu en sa possession une arme à feu, un couteau ou une matraque. Fait inquiétant également, 6 % des répondants disent apporter une arme à l’école.
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La lumière du matin est nécessaire pour les adolescents

À l’adolescence, plusieurs facteurs viennent bouleverser le cycle du sommeil : les changements hormonaux notamment, ainsi qu’une vie sociale plus remplie, l’école et parfois le travail à temps partiel.
 
Or, les chercheurs américains ont découvert qu’une exposition progressive à la lumière naturelle du matin est nécessaire afin de synchroniser l’horloge biologique des jeunes et éventuellement régler leurs troubles du sommeil.
 
Apparemment, trop peu d’adolescents dorment neuf heures par nuit, comme il est fortement recommandé. Ils ont du mal à s’endormir tôt et ensuite à se lever le matin pour aller à l’école.
 
« On observe un changement d’origine biologique sur la phase naturelle d’endormissement et sur celle du réveil. Cette étude montre que l’on peut altérer ce changement en manipulant la lumière. Le principal message à en retirer est de s’exposer à la lumière naturelle tôt le matin », mentionne la Dre Judith Owens de l’Université de Boston.
 
En s’exposant à la lumière naturelle du matin, les jeunes pourraient donc parvenir non seulement à mieux dormir, mais aussi à rétablir leur horloge biologique.
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Les adolescents se soucient peu de ce qu’ils mangent

Selon une étude d’Ipsos pour la Fondation Wyeth, les adolescents se soucient peu de ce qu’ils ingurgitent.
 
Ainsi, sur les 800 adolescents âgés de 15 à 18 qui ont été interrogés à la fin de l’année 2009, 90 % disaient se soucier de leur tenue vestimentaire, alors que 44 % ne se souciaient pas de ce qu’ils retrouvaient dans leur assiette.
 
L’étude démontre que les jeunes ne se préoccupent pas assez de leur santé. 40 % négligent leur sommeil et 41 % ne se soucient pas de leur poids.
 
Pourtant, 30 % d’entre eux disent se sentir différents des autres, alors que plus de la moitié disent ne pas se sentir bien à l’école. 68 % affirment ne pas avoir beaucoup d’amis et 44 % sont mal dans leur peau.
 
Plus des trois quarts des jeunes qui ont participé à l’étude affirment que les personnes différentes sont victimes de discrimination et qu’il est préférable de « rentrer dans le moule » pour se faire une place dans notre société.
 
Selon l’étude, les adolescents dormiraient en moyenne 7 h 30 par nuit, passeraient 1 h 20 par jour à table, 3 heures par jour sur le Web, devant des jeux vidéo ou encore au téléphone. Il semble aussi qu’ils pratiquent une heure d’activité physique quotidiennement.
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Lancement d’un condom spécialement pour les ados

En Suisse, Ceylor Hotshot a lancé le tout premier préservatif spécialement conçu pour les adolescents.
 
L’ouverture du condom a été rétrécie, ce qui garantit le maintient en place du préservatif.
 
Lancé avec l’Aide Suisse contre le Sida et PLANeS, ce préservatif vise à transmettre aux jeunes le message de mieux se protéger contre les infections transmises sexuellement et les grossesses non désirées.
 
12 970 adolescents âgés de 13 à 20 ans ont répondu à un sondage du magazine Bravo. Pour le quart des répondants, les préservatifs standards sont trop grands. Un condom mal ajusté glisse et n’offre pas une bonne protection. Il réduit aussi le plaisir des deux partenaires.
 
Selon des études, 17 ans est l’âge moyen des jeunes pour avoir la toute première relation sexuelle.
 
Les nouveaux condoms sont vendus dans les pharmacies et connaissent déjà un grand succès. Ils seront aussi distribués dans les écoles et sont offerts en ligne au www.aids.ch/shop ou au www.praeser.ch.
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Attention à une consommation précoce de l’alcool

Selon une étude québécoise (Alcool et santé), une consommation d’alcool à un âge précoce peut avoir des effets très néfastes sur le développement physique et psychologique des adolescents.

Selon les auteurs de l’étude, l’alcool à un jeune âge peut causer des dommages au cerveau et provoquer des difficultés dans la gestion des émotions et un dysfonctionnement physique.

Les adolescents sont souvent exposés à une consommation précoce d’alcool parce que leur habileté à réfléchir n’est pas entièrement développée, parce qu’ils sont attirés par des sensations fortes ou encore en raison de pressions sociales.

On recommande fortement aux adolescents de réfléchir et de retarder le plus possible l’âge de leur première consommation d’alcool. On demande également aux parents de surveiller la première consommation de leur enfant et de discuter ouvertement avec eux des dangers et des effets nocifs que peut avoir l’alcool sur leur vie.

La prévention demeure le meilleur moyen d’éviter le plus possible la surconsommation et les intoxications chez les adolescents.

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Le cannabis cause des troubles de santé mentale aux adolescents

Une équipe du Centre universitaire de santé McGill affirme que les adolescents qui consomment quotidiennement du cannabis sont plus sujets aux dépressions et à l’anxiété.

Cette drogue douce n’est pas si douce en réalité. Elle cause des dommages irréversibles sur le cerveau. Dans les faits, elle affecte deux molécules importantes qui régularisent les fonctions neurologiques comme l’humeur et l’anxiété.

Pour en arriver à ces résultats, publiés dans le magazine Neurology of Desease, les chercheurs ont exposé des rats adolescents au cannabis. On a constaté une baisse de la transmission de la sérotonine, ce qui engendre des troubles de l’humeur. De plus, on note une augmentation de la norépinéphrine, ce qui, à long terme, rendrait les adolescents plus vulnérables au stress.

Ces dommages causés alors que les jeunes sont en pleine croissance seraient irréversibles. Ils peuvent aussi être associés à certaines maladies mentales comme la schizophrénie.

Pour confirmer les données obtenues sur des rats, l’équipe observera bientôt un groupe de jeunes consommateurs de cette drogue.

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Les jeunes plus précoces que les parents ne le croient

Les parents aborderaient la question du sexe avec leurs adolescents trop tard, selon une récente étude menée par l’Université Harvard.

Le magazine Pediatrics mentionne que 40 % des garçons et 46 % des filles sont déjà sexuellement actifs lorsque leurs parents finissent par aborder le sujet avec eux.

De plus, les 2 tiers des garçons affirment n’avoir jamais parlé avec leurs parents de la façon d’utiliser les préservatifs avant chaque rapport.

141 adolescents âgés de 13 à 17 ans, ainsi que leurs parents, ont été questionnés au cours de la dernière année concernant leur communication en matière de sexualité.

Apparemment, les parents seraient maintenant plus ouverts à parler de sexualité avec leurs enfants, mais ils ne savent pas par où commencer. On mentionne aussi que certains parents ont peur de faire des erreurs ou encore d’admettre que leurs enfants ont grandi.

Il est vrai que cela peut être un sujet délicat à aborder avec ses adolescents. Pourtant, en parler préviendrait les maladies, les grossesses non désirées ou encore répondrait à toutes autres questions concernant les relations sexuelles.

L’étude ne recommande pas d’âge précis pour commencer à aborder le sujet de la sexualité, mais on rappelle aux parents que c’est plus tôt qu’ils ne le pensent.