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Comment aider son enfant adopté à comprendre son passé

L’enfant en viendra naturellement à vouloir fouiller son passé, puisque cela fait partie de sa quête d’identité. Ainsi, Judy M. Miller donne une marche à suivre simple pour aborder les sujets plus délicats, surtout entourant les circonstances de l’abandon de l’enfant (pauvreté, drogue, sévices, maladie mentale, etc.).

À priori, si l’enfant ne vient pas vers vous, cela ne signifie pas qu’il ne se questionne pas. Le parent se doit d’aborder le sujet.

Ainsi, soyez clair auprès de votre enfant adoptif et dites-lui que vous êtes ouvert à la discussion.

– Faites-lui comprendre que son opinion est importante;

– Contrôlez vos émotions. Soyez objectif, puisque l’enfant sera très alerte, à la recherche de désapprobation de votre part, relativement aux circonstances de son histoire familiale;

– Assurez-vous que l’enfant est suffisamment mature, émotionnellement et intellectuellement, pour comprendre l’information et bien l’interpréter;

– Soyez honnête et partagez toute l’information;

– Gardez un contact émotionnel en tout temps avec votre enfant, ne le laissez pas se refermer sur lui-même;

– Rassurez-le, demandez-lui comment il se sent et surtout, il doit comprendre qu’il ne vous est pas déloyal en demandant de l’information sur ses parents biologiques;

– Aidez-le dans ses recherches sur sa famille;

– En dernier lieu, si nécessaire, consultez un thérapeute qualifié pour l’aider à traverser cette recherche d’identité.

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Quand le prénom influence l’adoption

Un article sur ce sujet dans le quotidien Daily Mail en surprend plus d’un et laisse croire que c’est peut-être le cas également dans d’autres pays.
 
Il semblerait que certains enfants ne bénéficieront jamais de l’amour d’une famille, car on leur a attribué le « mauvais » prénom à la naissance.
 
Les bébés les plus concernés en Angleterre seraient les fillettes qui portent des prénoms de boisson, comme Champagne et Chardonnay, et celles dont le prénom fait référence à un bijou, comme Rubie, Jayde ou Chrystal.
 
Alors que ces derniers ne sonnent pas si étranges à l’oreille, pourquoi les parents les fuient-ils comme la peste? Il semblerait que ce genre de prénom soit considéré et étiqueté de la « classe moyenne » pour les familles qui souhaitent adopter.
 
Même si les parents désireraient changer le prénom d’un enfant qui a suscité leur intérêt, une loi anglaise établie avec des travailleurs sociaux interdit de modifier le prénom, par peur d’une « perte d’identité » pour l’enfant, écrit le Daily Mail.
 
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La dépression chez les mères adoptives

Il semble que les attentes irréalistes de la parentalité et la sensation de fatigue sont de loin les plus grands prédicateurs de la dépression postadoption, a déclaré Karen J. Foli de l’Université de Perdue, dont l’étude paraîtra ce mois-ci dans Advances in Nursing Science.

Pour la spécialiste, il est encore embêtant de savoir si la cause de la dépression postadoption repose réellement sur le symptôme de la fatigue en soi ou plutôt sur l’expérience parentale qui engendrerait la fatigue.

Selon le sondage réalisé auprès de 300 femmes qui avaient adopté un enfant âgé en moyenne de 4,6 ans, ce genre de dépression pourrait également être causé par le manque de soutien social, familial et d’appui du système.

Il a également été démontré que tisser des liens avec l’enfant n’est pas toujours évident pour la mère. « En investissant tant d’espoir dans cette nouvelle relation, les mères adoptives qui ne réussissent pas à se lier à leur enfant aussi rapidement qu’elles s’y attendaient peuvent développer des sentiments de honte et de culpabilité », a affirmé Mme Foli.

L’experte ajoute que l’adoption peut rimer avec problèmes de comportement ou besoins spéciaux pour l’enfant. En effet, il a été prouvé que les symptômes dépressifs étaient plus élevés chez les mères qui ont peu ou aucune information sur le passé biologique et affectif de l’enfant adopté.

Finalement, l’étude a démontré que la race ou l’ethnie du nouveau venu à la maison n’avait pas d’impact sur le taux de dépression des mères adoptives. Toutefois, ces dernières ont confirmé que cela semblait affecter la société. Les participantes ont rapporté « percevoir que la société était moins encline à accepter leur famille adoptive ».

Mme Foli prévoit se pencher prochainement sur la dépression postadoption dans une étude à long terme, afin de mieux comprendre les enjeux liés à la liaison maternelle avec l’enfant et la satisfaction conjugale.

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Adoption : la plupart des familles sont satisfaites

Pour analyser le niveau de satisfaction des adoptions en Andalousie, deux enquêtes à six ans d’intervalle ont été réalisées auprès des familles.

Les résultats montrent que la majorité des familles sont contentes de leur choix. En effet, 77,7 % d’entre elles ont déclaré que leur vie était plus épanouie, et 91,9 % considèrent que l’adoption a eu des répercussions positives. Seulement 37 % considèrent que la vie de famille est davantage compliquée.

Les deux enquêtes montrent également que l’opinion des enfants est liée à celle de leurs parents. « Lorsque les parents sont satisfaits de l’adoption, nous avons constaté que les enfants sont également contents de leur vie », a déclaré l’un des auteurs.

Par ailleurs, les chercheurs ont trouvé certaines variables qui sont liées à des difficultés dans l’adoption. Par exemple, la satisfaction est plus faible dans les cas où les parents ont un niveau plus élevé d’éducation, car ils ont des attentes plus élevées. Les mères sont moins affectueuses et attentionnées, et les enfants peuvent rencontrer des problèmes de comportement.

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Allaiter sans avoir été enceinte

Depuis quelques années, les femmes sont de plus en plus poussées à allaiter exclusivement leur enfant durant ses six premiers mois de vie. Après une grossesse, il est tout naturel de produire du lait.

Or, on apprend maintenant sur Today Moms que les femmes qui ont un enfant par adoption devraient elles aussi suivre les règles très sévères de l’allaitement. Selon plusieurs, ces nouvelles mères devraient subir un traitement pour stimuler leur production de lait maternel.

Cedit traitement consiste, toujours selon le site, à prendre la pilule contraceptive régulièrement durant plusieurs mois. Quand le processus d’adoption s’enclenche, on fait alors une pause.

La succion du mamelon par le bébé serait aussi très efficace pour stimuler la production. On parle ici de quelques jours. Bien sûr, certains médicaments et herbes médicinales ont aussi la réputation d’enclencher le processus de lactation.

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L’expérience de l’adoption

Une étude fait état, et ce, pour la première fois, des problèmes auxquels font face les gens qui souhaitent adopter un enfant. S’étant déroulée en Australie, cette étude révèle pourtant des problèmes que connaissent des personnes dans la même situation dans ce côté-ci du globe.

Les résultats présentés sur Science Daily mettent tout d’abord en lumière la lourdeur des pratiques administratives du processus d’adoption. La lourde bureaucratie ferait en sorte que le système actuel est inflexible, entre autres.

Par exemple, plusieurs parents potentiels se voient jugés inadéquats à adopter un enfant en raison de leur vécu émotionnel; on souligne par ailleurs que les pratiques administratives et bureaucratiques comportent en elles-mêmes de grands facteurs de tension.

L’étude en question a porté tant sur l’adoption locale qu’internationale. C’est la première fois que l’on donne réellement la parole aux gens qui souhaitent adopter dans un contexte de recherche.

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Carrie Underwood désire adopter

Carrie Underwood a révélé qu’elle aimerait adopter, après avoir donné naissance à son propre enfant, afin de donner une chance à un bébé d’avoir une meilleure vie.

La chanteuse country a révélé au site Hollyscoop ses intentions de fonder une famille avec son mari, le joueur de hockey canadien Mike Fisher, qu’elle a épousé en juillet 2010.

La chanteuse s’est ainsi expliquée : « J’aimerais adopter un jour. J’ai dit cela à Mike. J’aimerais que nous puissions avoir plusieurs enfants. J’aimerais également pouvoir adopter un bébé, mais pas dans l’immédiat. Je parle de quelques années, pas de décennies. »

Carrie Underwood semble être une femme heureuse en amour. Elle mentionne : « Tout le monde disait que les premiers mois seraient les plus difficiles. Mais nous, nous savourons tous les instants. »

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Donner son bébé en adoption

Une nouvelle étude de l’Institut national d’études démographiques, une organisation européenne, nous en apprend un peu plus sur l’adoption. On a tenté d’établir le profil général des femmes qui donnent leur bébé en adoption, mais qui choisissent l’anonymat.

Les données concernaient des accouchements s’étant déroulés entre 2007 et 2009. Il semble qu’environ 75 % des femmes qui accouchent dans l’anonymat sont encore aux études, au chômage ou inactives sur le plan professionnel, et 25 % d’entre elles sont autonomes financièrement.

Elles sont célibataires et n’ont pas d’autre enfant. L’âge moyen des femmes qui choisissent l’anonymat lors de leur accouchement est de 26 ans.

On a aussi tenté de cerner les raisons les plus courantes de ce choix. Il semble que l’absence – ou le désaccord quant à la grossesse – du père est la plus fréquente; c’est le cas pour 43 % de ces femmes.

Souvent, elles peuvent aussi faire ce choix en raison de leur jeune âge, ou par peur d’un rejet familial. Des problèmes financiers ressortent aussi parmi les raisons les plus fréquentes.

On lit aussi dans Le Quotidien du Médecin que la découverte de la grossesse à un stade très avancé (au troisième trimestre) entre aussi en ligne de compte.

Presque la moitié (47 %) des femmes qui donnent ainsi leur enfant en adoption ne laissent aucun renseignement sur elle. Les enfants ne pourront donc jamais les retracer. Toutefois, 29 % d’entre elles en laissent sur leur identité, mais ils sont tenus confidentiels jusqu’à ce que certaines conditions soient remplies.

Finalement, 14 % des femmes qui accouchent anonymement décident de garder leur bébé avec elles avant la fin du délai légal (deux mois, dans ce cas-ci).

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Données encourageantes sur l’infertilité

On peut lire dans Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire que l’infertilité est un obstacle de moins en moins important pour avoir un enfant. Sur 10 couples infertiles, 7 réussissent à avoir un enfant.

Pour arriver à ce nombre, on a suivi 6 507 couples ayant eu recours à la fécondation in vitro pour la première fois entre 2000 et 2002. Quelques années plus tard, entre 2008 et 2010, les mêmes couples ont répondu à un questionnaire par voie postale.
 
Cette enquête a par ailleurs fait la lumière sur les différentes méthodes vers lesquelles peuvent se tourner les gens qui veulent devenir parents. Parmi les 70 % participants y étant arrivés, on a donc pu remarquer que seuls 41 % l’avaient fait par fécondation in vitro.

D’autre part, chez les autres, 19 % se sont tournés vers l’adoption et 18 % ont finalement eu un enfant par conception naturelle. 11 % ont connu le succès en employant un traitement de procréation.

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L’adoption influence l’apprentissage de la langue

L’adoption aurait certains impacts sur le développement du langage. Des chercheurs de l’Université McGill ont découvert que le langage se développait moins aisément chez les enfants étant nés dans un autre pays.

Par exemple, des bébés nés en Chine auraient un retard de langage comparativement à ceux nés en sol canadien, et ce, même si tous ces enfants grandissent au sein d’un environnement familial équivalent.
 
Le quart des enfants adoptés semblait aussi avoir plus de difficulté à comprendre la langue de leur pays d’adoption.
 
Selon les chercheurs, cette différence s’expliquerait par le fait que les enfants nés en Chine entendraient parler le mandarin durant leurs premiers mois de vie, pour ensuite se retrouver dans un environnement francophone.

Les résultats complets de cette étude sont parus dans Child Development.