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L’utilisation des téléphones intelligents va de pair avec l’angoisse

Des spécialistes et professeurs de l’Université Kent publient une étude dans laquelle ils tracent une corrélation directe entre la surutilisation des téléphones intelligents chez les jeunes adultes et les adolescents, et les hausses observables d’angoisse et de détresse psychologique, rapporte Santé Log.

Les professeurs en tête de l’étude ont cherché à savoir si l’utilisation abondante de ces appareils technologiques, désormais indissociables de la vie quotidienne, pouvait avoir un lien avec les cas d’anxiété et d’angoisse qui semblent en constate hausse chez les jeunes adultes.

La recherche, par ailleurs publiée dans le journal Computers in Human Behaviors, se base sur un sondage effectué auprès de près de 500 étudiants universitaires. En mesurant le temps d’utilisation moyen du téléphone intelligent par chaque individu, puis en soumettant les sujets à une série de tests et de questionnaires, les chercheurs de Kent ont conclu que l’utilisation de ces appareils va de pair avec une baisse des résultats scolaires et une hausse de l’anxiété.

Quelques autres études du genre abondaient déjà dans le même sens, notamment en ce qui a trait aux médias sociaux. On suggère donc de limiter le plus possible l’utilisation de ces appareils et de s’octroyer des pauses technologiques, ce qui semble désormais représenter un véritable tour de force pour les nouvelles générations.

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Des campagnes de sensibilisation sociale qui ratent la cible

Partout dans le monde, des campagnes de sensibilisation et de prévention concernant différents sujets et problèmes sont lancées afin de protéger et conscientiser la population, notamment chez les jeunes.

Mais une bonne partie de ces tentatives ratent la cible et ne permettent souvent pas les changements statistiques escomptés. Ici au Québec, on n’a qu’à penser aux efforts de la SAAQ pour contrer la vitesse et l’alcool au volant, des comportements qui semblent difficiles à prévenir.

Mais pourquoi beaucoup de ces campagnes ratent-elles leurs objectifs? Pour une équipe de chercheurs basée à Grenoble, qui publie une étude sur le sujet, le problème réside dans le fait que ces campagnes ne touchent pas la bonne corde sensible du public, spécialement chez les jeunes, rapporte Top Santé.

Au lieu de traiter du problème en tant que tel, comme celui de la malbouffe ou de l’alcool au volant, les organisateurs de ces campagnes devraient plutôt cibler les résultats sociaux qui en découlent, selon les chercheurs européens.

« Les campagnes actuelles se concentrent sur l’argument santé et négligent l’argument social, alors que les adolescents sont particulièrement sensibles aux normes sociales et à l’influence de leurs pairs », résume une spécialiste.

En clair, il faut donc chercher à « manipuler » l’auditoire de façon à toucher ce qui compte vraiment, et non en axant les campagnes sur des conséquences qui, selon plusieurs, « ne s’appliquent qu’aux autres ».

Les résultats et conclusions de cette étude sont publiés dans Le Parisien.

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Des jeunes de plus en plus stressés et fatigués

Top Santé rapporte quelques statistiques étonnantes et inquiétantes concernant la jeune relève de l’humanité, alors qu’une étude-sondage française dresse un sombre portrait de la santé mentale chez les 20-35 ans.

D’abord en termes de stress et de fatigue, alors que plus de 50 % des jeunes répondants à l’étude affirment « subir un stress élevé », et que plus de 40 % avouent ressentir de l’épuisement ou de la fatigue découlant d’un trouble du sommeil (insomnie, cauchemars, réveils fréquents, etc.).

Étonnant, si l’on considère que ces statistiques semblent fondre de moitié chez les répondants plus âgés…

Pire encore, il semble qu’une personne âgée entre 20 et 34 ans sur trois souffre de problème de dépression ou de troubles de l’humeur. Ces symptômes psychologiques mènent finalement près de 60 % des jeunes à surconsommer de l’alcool, toujours selon les résultats de l’étude effectuée en France.

Bien qu’il s’agisse d’un phénomène qu’on pouvait déjà ressentir, constater de tels résultats suite à une étude du genre a de quoi inquiéter.

Aucune réponse quant aux raisons qui expliquent ce phénomène n’est avancée ici, mais les chercheurs devront certainement se pencher sur les causes de cet inquiétant portrait de la santé mentale de la jeune génération, afin d’en trouver les solutions.

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Les problèmes liés au retour à l’heure normale

C’est déjà le retour de ce moment où chaque personne effectuera presque simultanément un même geste simple, mais fort important : changer d’heure.

C’est le dimanche 3 novembre à 3 :00 AM, donc dans la nuit de samedi à dimanche, que nous devrons revenir à l’heure dite « normale », et ainsi reculer de 60 minutes horloges et cadrans.

Mais selon Top Santé, plusieurs problèmes liés à ce changement peuvent survenir, peu importe l’âge.

Les enfants peuvent sembler de moins bonne humeur le matin, par exemple, ce simple changement d’une heure pouvant affecter leur cycle de sommeil et leur « routine » biologique.

Mais le phénomène peut également attaquer les parents et les adultes, dont certains disent ressentir une certaine fatigue, une déprime ou encore une baisse de régime au travail suivant le retour à l’heure normale.

Qu’on parle ici d’effet placebo ou de déprime hivernale, puisque ce changement d’heure annonce bel et bien l’arrivée de l’hiver, il ne faut jamais prendre nos symptômes et nos humeurs à la légère, croient les spécialistes.

On suggère plutôt de vaquer à nos occupations à notre rythme, d’éviter le stress et de ne pas hésiter à consulter, ne serait-ce qu’une fois, si les troubles de l’humeur ou les baisses d’énergie deviennent soudainement trop importantes.

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Faire sa part pour enrayer l’intimidation

Il faut d’abord apprendre à cerner les comportements d’intimidation et être prêt à y faire face, tel que l’indique le HuffPost.

 
Quoi faire

Identifiez la réelle intimidation — Certains comportements, bien que cruels et mal intentionnés, sont des réactions spontanées, et non de l’intimidation. Il faut faire la différence.

Ouvrez-vous aux jeunes – Il faut leur montrer que nous sommes attentifs, même si nous sommes débordés! Un simple sourire, dire bonjour en mentionnant le nom du jeune ou mentionner que votre porte est toujours ouverte.

Gardez l’œil ouvert – Plus vous dirigerez votre attention vers les comportements inappropriés, plus facilement vous les repèrerez.

Intervenez avec peu de mots – Votre présence, encore plus que vos mots, aura déjà un impact sur l’intimidateur. Le simple fait de mentionner que vous n’avez pas intérêt à voir cette situation se reproduire est efficace.

À éviter

Ignorer la situation en passant à côté sans rien faire ou en niant que vous en êtes témoin.

Aggraver la situation. Si vous demandez au jeune « Est-ce que ça va? Est-ce qu’il t’intimide? », vous envenimerez la situation, car l’enfant n’osera pas se confier. Adressez-vous directement à l’intimidateur.

Stéréotyper les intimidateurs. Il faut se remémorer que même les enfants de bonne famille peuvent développer de mauvais comportements. Évitez de juger trop rapidement un jeune, mais surtout, gardez en tête que l’habit ne fait pas le moine.

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Quelles activités priorisez-vous pour vos enfants après les cours?

Comme l’indique SheKnows, à moins d’avoir un emploi qui nous permet d’être à l’école à 15 h pour ramener nos enfants à la maison, il faut prévoir un service de garde adéquat.

Il y a bien entendu le service de garde de l’école, mais ce dernier comporte souvent des lacunes, par exemple en ce qui concerne l’encadrement pour les devoirs. C’est à vous de prévoir le coup et de vérifier s’il n’existe pas d’autres solutions, comme une gardienne à domicile.

Rappelez-vous cependant que votre enfant vient de passer la journée à apprendre ou réviser des notions en classe. Il aura donc besoin de se dégourdir. À cet effet, assurez-vous que le service de garde de l’école prévoit des activités physiques supervisées.

Vous êtes en droit de demander au responsable du service de garde quel est le programme, combien d’élèves sont regroupés pour un même surveillant et s’il est possible, par exemple, de faire faire les devoirs de votre protégé avant de lui permettre d’aller jouer dehors.

Si ces services ne vous conviennent pas, mieux vaut opter pour une gardienne à domicile, qui permettra notamment à votre enfant de se retrouver dans son environnement. De plus, il pourra faire ses devoirs avec un adulte, et cela vous permettra de passer du temps de qualité ensemble pour faire quelques activités physiques amusantes.

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La sociabilité mènerait au bonheur

Sur l’échelle de la vie, plusieurs comportements infantiles et adolescents seront gages de réactions prédéterminées en vieillissant, jusqu’à l’âge d’or.

Plusieurs études ont corroboré ce fait, et en voilà une nouvelle sur le sujet qui trace maintenant un lien entre la sociabilité à un jeune âge et le bonheur éventuel lors du vieillissement.

C’est du moins ce que rapporte Santé Log, alors que des chercheurs de l’Université de Southampton publient une recherche sur le sujet dans le Journal of Research in Personnality.

Menée par la Dre Catherine Gale, en collaboration avec des chercheurs d’Édimbourg, l’étude trace un lien entre l’anxiété, l’introversion et autres réactions du genre lors de la période d’âge située entre 16 et 26 ans, et un sentiment de bonheur amoindri lors de la soixantaine.

Comme vous aurez compris, on observe donc l’inverse, soit un bonheur accru chez les gens de 60 ans qui affichaient de belles qualités de sociabilité durant la période « jeune adulte ».

Il serait donc primordial pour les jeunes adultes de voir rapidement à leur bien-être, à leur épanouissement social et à leur santé mentale. Plusieurs spécialistes, produits et livres sur le sujet sont notamment proposés pour y parvenir!

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Survivre, enfant, à un cancer prédispose aux maladies chroniques à l’âge adulte

Les adultes ayant survécu à un cancer quand ils étaient enfants ont un taux très élevé de maladies chroniques, révèle une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA).

Cette analyse, qui a porté sur plus de 1700 adultes survivants d’un cancer pédiatrique, diagnostiqués et traités entre 1962 et 2001, montre une prévalence de maladies chroniques cumulées chez 95,5 % d’entre eux à 45 ans et chez 93,5 % 35 ans après le diagnostic. À l’âge de 45 ans, 80,5 % souffraient d’une maladie invalidante.

Ces chercheurs de l’hôpital des enfants St. Jude dans le Tennessee et de la faculté de médecine de l’Université du Tennessee ont constaté que les problèmes les plus fréquemment observés concernaient les fonctions pulmonaires, auditives, du système glandulaire, de reproduction, neurocérébral et cardiaque.

À 50 ans, 81,3 % souffraient de dysfonctionnements pulmonaires, 86,5 % de surdité, 76,8 % d’un mauvais fonctionnement de l’hypophyse et 21,6 % de cardiopathie.

Chez les personnes ayant des problèmes cardiaques, 83,5 % souffraient de problèmes de valves cardiaques.

Chez les femmes, 31,9 % connaissaient une défaillance de leurs ovaires, et 40,9 % ont développé un cancer du sein, précisent les auteurs de l’étude.

« Des thérapies pour guérir des cancers pédiatriques ont produit une population grandissante d’adultes avec un risque élevé de développer des problèmes de santé qui paraissent augmenter avec l’âge », écrivent les auteurs de cette recherche.

« La prévalence des effets toxiques liés au cancer et à son traitement chez les enfants n’ont pas été bien étudiés » et requièrent davantage d’études cliniques, estiment-ils.

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Les bruits de fond nuisibles

La télévision serait la plus grande coupable. Une étude publiée dans le journal Pediatrics démontre que les jeunes Américains de 8 mois à 8 ans sont exposés à plus de 4 heures de bruit de fond de télévision chaque jour, sans compter les heures passées à vraiment regarder la télé.

Le résultat : plusieurs enfants risquent un développement cognitif et social défaillant. Les enfants d’âge préscolaire avaient de moins bons liens avec leurs parents et étaient moins concentrés lors des activités. Pour les jeunes étudiants, c’est plutôt leurs devoirs et leur mémoire qui en ont souffert.

Bien que peu de recherches aient été effectuées auprès des adultes, ils n’en seraient pas moins affectés. En fait, un test en particulier a été conduit auprès de cégépiens. Le bruit de fond d’un téléviseur était perceptible pour un groupe, alors qu’il leur était demandé de lire un journal scientifique. L’autre groupe avait la même tâche, mais dans le silence.

La conclusion a clairement démontré une plus grande capacité de mémorisation lors d’une lecture dans le silence qu’avec le son d’une télé.

Heureusement, le problème est facilement évitable en éteignant simplement les sources de distraction lorsque personne ne s’en sert.

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Le TDAH peut se poursuivre jusqu’à l’âge adulte

The National Library of Medicine rapporte une étude qui suggère que le fameux TDAH, ou trouble du déficit de l’attention et d’hyperactivité, peut aussi se transposer dans la vie d’adulte.

On croit souvent que le trouble est plus juvénile ou adolescent, mais cette étude du Developmental Medicine Center, situé au Boston Children’s Hospital, révèle des statistiques étonnantes.

On apprend que les jeunes souffrant du TDAH sont nombreux à encore en ressentir les effets jusqu’à la fin de la vingtaine. En fait, c’est près de 30 % du groupe qui sera encore affligé par le trouble à l’âge de 27 ans.

Ces révélations, publiées dans l’édition du 4 avril du journal Pediatrics, permettent de mieux comprendre le développement du TDAH.

« Ceci démontre que le TDAH est une condition chronique sérieuse, qui n’est pas présentée adéquatement. C’est probablement une description plus exacte de ce qui se passe dans le vrai monde », lance le Dr William Barbaresi, qui commente sa propre étude.