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De bonnes relations sociales à l’adolescence liées au bonheur une fois adulte

Après avoir suivi 804 jeunes Néo-Zélandais jusqu’à l’âge de 32 ans, les chercheurs de l’Université Deakin en Australie ont découvert que les bonnes relations sociales durant la jeunesse étaient étroitement liées au bonheur et au bien-être à l’âge adulte.
 
Les liens sociaux seraient donc de meilleurs prédicateurs de bonheur plus tard, car les bons résultats scolaires, eux, n’influençaient pas le bonheur une fois adulte, d’après l’étude parue dans le Journal of Happiness Studies.
 
Mais n’ayez crainte si vos enfants sont plus solitaires. Des études ont prouvé que le bonheur pouvait évoluer tout au cours d’une vie, donc ils peuvent aussi atteindre l’épanouissement, même s’ils sont plus retirés durant leur jeunesse.
 
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Une bonne utilisation du sac à dos pour moins de maux à l’âge adulte

En fait, les experts du Quentin Mease Community Hospital soutiennent qu’annuellement, plus de 10 000 enfants d’âge scolaire vont chez le docteur pour des blessures au dos liées au port du sac d’école.

Un sac à dos trop lourd est facilement repérable. Il laissera des marques rouges sur les épaules de l’enfant et changera sa posture. Le petit aura de la difficulté à le mettre sur son dos, aura les épaules et les bras engourdis et ressentira de la douleur lorsqu’il le portera.

Aussi, les meilleurs sacs à dos sont ceux qui ont plusieurs compartiments pour répartir le poids, ne sont pas plus gros que le torse de l’enfant, ont deux courroies de contour – aux hanches et à la poitrine -, deux courroies d’épaules rembourrées et une paroi rembourrée pour réduire la pression sur le dos.

Le sac à dos doit être rempli de sorte que les objets plats soient vers le dos et les objets lourds vers le fond. De plus, toutes les courroies doivent être attachées et l’enfant doit porter les bretelles des deux épaules.

Rappelons que les enfants ne devraient pas porter plus de 10 % de leur propre poids sur leur dos. N’importe quel poids au dessus de 15 % du leur pourrait provoquer des dommages au dos.

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De bonnes relations dans l’enfance responsables du succès à l’âge adulte

 

En fait, selon les chercheurs de la Deakin University et du Murdoch Children’s Institute, les relations sociales sont la clé du bien-être à l’âge adulte.

Contrairement aux relations, les habiletés académiques n’ont pas semblé y avoir été pour quelque chose dans le bonheur des adultes participant à l’étude.

Pour en venir à une telle conclusion, les chercheurs ont analysé la connectivité sociale des enfants. La connectivité est définie par les parents et les enseignants, qui évaluent à quel point l’enfant était aimé par ses pairs.

Chez les adolescents, on l’évalue par ses amis, sa famille, sa participation dans des clubs à l’école et par sa confiance en lui.

Les chercheurs ont donc remarqué un lien très fort entre la connectivité à l’enfance jusqu’à l’adolescence et le bien-être à l’âge adulte.

Rappelons toutefois qu’une récente étude a démontré que les repas en famille n’ont pas d’influence sur le développement et le bien-être des adolescents.

Les avantages des repas en famille seraient plus pour les parents. Ces moments sont des occasions de reconnecter émotionnellement avec leurs enfants, de surveiller leurs activités et de transmettre des valeurs.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

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La peur du noir encore à l’origine de bien des problèmes d’insomnie

La phobie de l’obscurité est un facteur méconnu de l’insomnie, d’autant plus que pour de nombreux adultes, c’est difficile à admettre.
 
Bien que les traitements contre l’insomnie soient efficaces, tous les gens n’y répondent pas de la même manière. En outre, les chercheurs mentionnent que lorsque ce trouble du sommeil est causé par la peur du noir, il doit être traité différemment.
 
L’étude menée par la Ryerson University à Toronto, et présentée lors du congrès Sleep de l’Associated Professionnal Sleep Societies, a mesuré ce facteur de l’insomnie par le clignement des yeux des personnes en réponse à des bruits soudains durant la nuit.
 
Ceux qui n’ont pas cette phobie et qui ne sont pas insomniaques n’ont eu aucune réaction. Chez les autres, la réaction était d’autant plus intense que l’obscurité était profonde.
 
Cette observation peut mener à de nouvelles thérapies pour les personnes qui ont peur du noir, afin de conduire à de meilleurs résultats.
 
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Les lunettes solaires sont grandement recommandées pour tout le monde

Avec l’été qui arrive, les ophtalmologistes rappellent aux gens de ne pas oublier de protéger leurs yeux des rayons du soleil en portant des lunettes solaires.

Le prix n’a pas d’importance, tant qu’elles protègent des rayons UVA et UVB nocifs pour les yeux.

Les yeux bleus sont les plus vulnérables.

Selon une étude de Vision Council qui réunit des experts de la santé des yeux, 75 % des adultes portent des lunettes de soleil, mais seulement 58 % d’entre eux en font porter à leurs enfants.

Pourtant, les yeux reçoivent 80 % de leur exposition au soleil avant l’âge de 18 ans. Il est donc important que votre progéniture en porte aussi. De nombreux modèles pour enfants sont offerts sur le marché

Si vous portez déjà des lunettes, optez pour des verres solaires à porter par-dessus, qui s’accrochent avec des clips de métal ou des aimants.

L’étude, qui a interrogé 10 000 adultes, dévoile également que la moitié des gens perdent ou brisent leurs lunettes chaque année, et que le quart des personnes ne portent pas de verres solaires.

Pourtant, les dommages aux yeux peuvent aller de l’irritation aux cataractes, et même au cancer. Soyez donc vigilant.

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Le cercle vicieux de la maltraitance des enfants

Peu d’éléments concernant l’impact que peut avoir à long terme la maltraitance des enfants sont connus. Toutefois, une nouvelle étude de l’École Brown à l’Université de Washington à St. Louis, publiée dans la revue Pediatrics, révèle que les enfants maltraités sont plus sujets à avoir une vie médiocre à l’adolescence et à l’âge adulte.

C’est en suivant des cas d’enfants maltraités âgés de zéro à quatre ans que les chercheurs ont constaté que ces petits, devenus adolescents, étaient plus susceptibles d’être toxicomanes, de contracter une infection transmise sexuellement et d’être délinquants.

Plus les cas de maltraitance étaient nombreux, pire pouvait devenir la situation à l’âge avancé, informent les chercheurs, qui estiment que comparativement aux autres bambins, les enfants qui ont vécu des traumatismes ont 20 à 50 % plus de risques, pour chaque acte de maltraitance, de souffrir de problèmes en vieillissant.

Quant aux adultes qui ont subi quatre fois ou plus des gestes discriminants durant l’enfance, ils sont environ deux fois plus à risque d’abuser de leurs enfants à leur tour, d’avoir des problèmes mentaux, de drogues ou d’alcool.

Des études antérieures ont démontré également que les enfants maltraités devenaient de moins bons parents à l’âge adulte et avaient de moins bonnes relations de couple.

La maltraitance d’un enfant peut se traduire par des cas de sévices sexuels et physiques, de violence psychologique et de négligence.

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Les préjugés, ça s’apprend quand on est jeune

Les enfants découvrent les préjugés et la discrimination très tôt. Des études antérieures ont d’ailleurs démontré qu’entre 3 et 6 ans, l’enfant peur reconnaître la discrimination et appliquer des stéréotypes. Entre 6 et 10 ans, il serait conscient de ce problème et serait même capable de percevoir la discrimination subtile.

Une nouvelle étude de l’Université de Toronto parue dans le bulletin Personality and Social Psychology démontre de quelle façon les enfants découvrent le rejet entre personnes et comment ils peuvent être eux-mêmes une cible des préjugés.
 
Il semblerait que l’instruction externe et les expériences personnelles jouent des rôles distincts dans la manière dont les enfants caractérisent d’autres groupes de personnes.
 
Les conséquences se sont fait ressentir rapidement alors que des enfants de différents âges et ethnies – qui ne se connaissaient pas – se sont vus divisés en deux groupes. Le groupe « bleu », disait-on, était composé d’enfants méchants. Les participants de 5e année ont su faire la part des choses, mais ceux de 1re année ont automatiquement écarté le groupe bleu. Selon eux et ce qu’on leur avait enseigné en bas âge, le groupe était catégorisé « méchant » et ne méritait pas qu’on leur partage bonbons et autocollants.
 
En conclusion, les chercheurs ont constaté que l’impact de l’instruction était assez puissant pour porter atteinte à des informations contradictoires.
 
Selon les chercheurs, dès le jeune âge, il est d’une importance capitale d’instruire l’enfant aux différentes réalités et de lui montrer à ne pas juger. Cet enseignement influencera grandement sa vision des choses, ouvrira ses horizons et lui permettra de vivre des relations plus positives, à peine quelques années plus tard.
 
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Le top 10 des questions embêtantes des enfants

Comment les avions font-ils pour rester dans les airs? Pourquoi le ciel est-il bleu? Combien pèse la Terre? Quotidiennement, il semblerait qu’un quart des parents britanniques se trouvent surpris par la science de leurs enfants et leurs questions de mathématiques, confirme une enquête.

Les chercheurs ont constaté que 26 % des parents pensent que leurs enfants sont mieux informés au sujet des maths et des sciences qu’eux. Plus de la moitié des parents craignent des questions auxquelles ils ne peuvent pas répondre correctement, ce qui leur laisse un goût amer de frustration et d’embarras.

L’étude a révélé qu’un tiers des parents, à la suite d’une question dont ils ne connaissent pas réellement la réponse, recherchent activement pour la trouver, tandis que beaucoup admettent qu’ils inventent une réponse à l’eau de rose, dévient la question ou font en sorte que leur conjoint réponde à leur place.

Plus de 2000 parents d’enfants âgés de 5 à 16ans ont été interrogés pour cette étude. La majorité d’entre eux étaient d’accord pour dire que ce sont probablement les programmes éducatifs télévisés qui ont permis à leurs enfants de développer une curiosité pour ces champs d’intérêt.

Voici les questions qui font « peur » aux adultes :

1. Pourquoi la Lune est-elle parfois présente le jour?
2. Pourquoi le ciel est-il bleu?
3. Comment savoir si les extraterrestres existent?
4. Combien pèse la Terre?
5. Comment font les avions pour demeurer dans les airs?
6. Pourquoi l’eau est-elle mouillée?
7. Comment fait-on une longue division en mathématique?
8. Où les oiseaux et les abeilles vont-ils en hiver?
9. Qu’est-ce qui produit un arc-en-ciel?
10. Pourquoi n’est-ce pas tous les habitants de la planète qui ont la même heure?
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La thérapie thrombolytique n’est pas plus dangereuse chez les enfants que chez les adultes

Les spécialistes révèlent que la rareté des enfants touchés par un AVC n’aide pas à identifier totalement les effets négatifs et positifs de la thérapie thrombolytique chez les petits.

Cependant, les résultats d’une étude rétrospective de l’Université de Saint-Louis, partagés lors d’une réunion de l’American Academy of Neurology, tendent à offrir une certaine assurance que cette thérapie est sécuritaire chez les jeunes.

Comme prévu, il a été noté que le taux d’hémorragie intracérébrale était plus élevé chez les patients qui avaient reçu un traitement thrombolytique (4 %) que chez ceux qui n’avaient pas reçu le traitement (0,38 %) à la suite d’un AVC ischémique aigu.

En revanche, le taux d’hémorragie intracérébrale n’était pas plus élevé chez les enfants que chez les adultes ayant eu recours au traitement; ce qui est rassurant pour les chercheurs.

De plus, il semblerait que même si une hémorragie intracérébrale est un facteur prédictif de mortalité hospitalière, l’utilisation du traitement thrombolytique ne cause pas davantage de décès.

Pour en arriver à ces conclusions, 9367 enfants admis pour un AVC ischémique aigu ont été inclus dans la base de données, entre 1998 à 2009.

Maintenant que l’utilisation de ce traitement n’est pas plus dangereuse chez l’enfant que chez l’adulte, d’autres études devront maintenant démontrer que son utilisation chez les jeunes patients améliore également les résultats cliniques.

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Quand la maternelle influence le marché du travail

Pour les enfants, la classe est le lieu de travail. L’écoute et la bonne attention durant la maternelle peuvent prédire avec précision le développement des compétences axées sur le travail.

C’est ce que suggère une étude publiée en ligne dans le Journal of Abnormal Child Psychology par la Dre Linda Pagani, professeure et chercheuse à l’Université de Montréal et au CHU Sainte-Justine.

Le travail seul ou en équipe, le niveau de maîtrise de soi et de confiance en soi et la capacité à suivre des directives et des règles sont les critères qui ont été soigneusement évalués par les enseignants de plus d’un millier d’enfants de la maternelle qui fréquentaient tous des écoles de milieux défavorisés de Montréal.

Ceux qui répondaient de manière positive à tous ces critères de production et de bonne conduite étaient plus susceptibles de continuer à en faire autant une fois adulte, sur le marché du travail.

Bien que plusieurs autres facteurs expliquant un déficit de l’attention au primaire aient été pris en considération sur l’échelle d’évaluation, il semblerait que les garçons, les enfants agressifs et les enfants ayant des aptitudes cognitives inférieures à la maternelle étaient beaucoup plus susceptibles d’appartenir à une classe d’adultes moins accomplis.

Pour les spécialistes, il y a des risques importants de la vie associés à des déficits d’attention chez les enfants, qui comprennent un haut taux de décrochage scolaire, de chômage et d’abus de substances problématiques. Selon les chercheurs, ces résultats plaident fortement pour une identification précoce et un traitement des problèmes d’attention.