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La santé des enfants influence celle des parents

Une nouvelle étude en Ohio, publiée en ligne dans le Journal of Pediatrics, a évalué le taux de cholestérol, la tension artérielle, les triglycérides et le poids de 852 écoliers.

Ils ont été réévalués 26 ans plus tard, âgés dans la quarantaine, afin de connaître l’impact que cet examen avait eu sur leur santé et celle de leurs parents, maintenant âgés d’environ 65 ans.

Les résultats ont prouvé que, globalement, les parents des 852 anciens écoliers examinés étaient environ deux fois plus susceptibles de souffrir de maladies cardiaques ou d’AVC au début de la soixantaine lorsque leur enfant avait fait de la haute pression sanguine ou avait eu des niveaux élevés de cholestérol lipoprotéines de basse densité ou de triglycérides à l’âge de 12 ans.

Et quand les enfants souffraient d’un surpoids, les chances que leurs parents développent un diabète ou de l’hypertension artérielle doublaient. Même principe pour les enfants devenus grands.

Puisque la plupart des adultes ne vont pas fréquemment rencontrer un médecin, les chercheurs pensent que certains problèmes de santé chez les parents pourraient être évités grâce aux examens annuels de leurs enfants.

Selon de nouvelles directives approuvées par les Instituts nationaux américains de la santé, les enfants devraient d’ailleurs avoir un test pour le cholestérol entre 9 et 11 ans, et de nouveau entre 17 et 21 ans.

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Le sport dans la ville : et les enfants?

Les rues passantes sont bénéfiques pour la santé des adultes, car elles les poussent à demeurer plus actifs, à se rendre au travail ou dans les magasins à pied, par exemple. Toutefois, cette même réalité urbaine ne serait pas bonne pour la santé des enfants, apprend-on sur Medical News Today.

Selon une recherche de la Queen’s University, la grande circulation automobile et les nombreuses intersections décourageraient les enfants à faire de l’activité physique et à jouer à l’extérieur.

Après avoir analysé des données géographiques comparatives, on a en effet remarqué que les enfants vivant au sein de quartiers achalandés avaient tendance à accuser un niveau inférieur d’activité physique que ceux qui grandissaient dans des quartiers plus calmes.

Un exemple de cette situation est le fait de pouvoir jouer au hockey dans la rue : la possibilité de pratiquer ainsi un sport est directement reliée au niveau d’activité physique d’un enfant.

Ainsi, plus la circulation automobile augmente, plus l’exercice physique est porté à disparaître, à moins que l’on ait accès à une impasse, au bout de la rue.

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Mort subite : risque élevé avec papa et maman

Il semble qu’un poupon qui dort avec ses parents serait plus à risque du syndrome de mort subite du nourrisson et d’accidents fatals survenant durant le sommeil.

Cette observation provient d’une étude australienne, laquelle a démontré que parmi 72 morts subites survenues entre 2008 et 2010, 33 se sont produites alors que le bébé dormait sur la même surface qu’un adulte. Parmi cesdites surfaces, on compte le lit, le divan, le matelas et la chaise berçante.

Ajoutons que 28 % de ces 33 derniers cas ont été identifiés comme un syndrome de mort subite du nourrisson, comme il est présenté dans The Canberra Times.

Les chercheurs recommandent donc, d’ici à ce que d’autres recherches soient faites, que le poupon dorme sur une surface séparée de ses parents, dans la même pièce que ceux-ci, et ce, durant au moins ses quatre premiers mois de vie.

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Boire du lait : une saine habitude à prendre

L’American Journal of Clinical Nutrition rapporte que les jeunes qui boivent du lait seront non seulement plus susceptibles d’en boire encore une fois adulte, mais ils verront leurs risques de diabète de type 2 réduits.

Selon une recherche menée à la Harvard University qui a suivi les habitudes de consommations du lait chez 37 000 femmes, celles qui en buvaient à l’adolescence au moins 4 portions par jour continuaient leur saine habitude une fois adulte. Ces femmes avaient aussi 43 % moins de risques de développer le diabète de type 2.

De plus, les personnes qui étaient des adeptes du lait conservaient aussi les autres bonnes habitudes plus longtemps et gagnaient moins de poids que celles qui ne buvaient pas de lait. En moyenne, il y avait quatre kilos de différence entre les deux groupes.

Le lait est également une bonne source de protéines, ce qui n’est pas négligeable, également.</p

 

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Un vaccin protègerait même les autres

Les personnes non vaccinées contre le rotavirus, qu’elles soient des enfants ou des adultes, auraient quand même une protection par les enfants qui le sont. C’est la conclusion d’une étude des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) parue dans le Journal of Infectious Diseases.

Rappelons que le rotavirus est responsable des gastroentérites infantiles. Chez les enfants, il représente un facteur important de diarrhée sévère.

On estime que chaque année, aux États-Unis seulement, de 58 000 à 70 000 hospitalisations y étaient dues avant l’arrivée du vaccin. Depuis 2006, la vaccination de routine a été entamée chez les enfants de 5 ans et moins, ce qui a entraîné une baisse majeure desdites hospitalisations.

En analysant les entrées à l’hôpital de 2000 à 2008 pour le rotavirus ou une diarrhée sévère chez les enfants et les adultes non vaccinés, on a pu remarquer une amélioration dans tous les groupes, surtout chez les 5 à 24 ans.

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Les parents sous-estiment le poids de leurs enfants

Un rapport de Statistique Canada démontre que les Canadiens sous-estiment le poids et surestiment la taille de leurs enfants.

 

Même pour eux-mêmes, les adultes ont vraiment du mal à évaluer les bonnes données concernant leur poids et leur taille. Le rapport entre la grandeur et la taille permet de déterminer si une personne compte parmi les obèses morbides.

Lorsqu’on demande aux parents d’évaluer le poids et la taille de leurs enfants, les données sont également inexactes. Le poids est erroné de 1,09 kg et la taille de 3,3 cm, en moyenne.

La plupart du temps, les enfants dont on avait sous-estimé le poids étaient en réalité obèses, alors qu’au contraire ceux qu’on avait dit obèses étaient des candidats dont on avait sous-estimé la taille. Il serait donc important de pouvoir bien évaluer les données.

Ainsi, le taux d’obésité que l’on retrouve chez les enfants est erroné, car il est basé sur les données recueillies par les parents.

 

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Le poids est sous-estimé et la taille surestimée.

Un rapport de Statistique Canada démontre que les Canadiens sous-estiment leur poids et surestiment leur taille, y compris chez leurs enfants.

Les adultes ont vraiment du mal à évaluer les bonnes données concernant leur poids et leur taille. Le rapport grandeur et taille permet de déterminer si une personne compte parmi les obèses morbides.

Lorsque l’on demande aussi aux parents d’évaluer le poids et la taille de leurs enfants, les données sont également inexactes. Le poids est erroné de 1,09 kg et la taille de 3,3 cm en moyenne.

La plupart du temps, les enfants dont on avait sous-estimé le poids étaient en réalité obèses, alors qu’au contraire, ceux qu’on avait dit être obèses, étaient des candidats dont on avait sous-estimé la taille. Il serait donc important de pouvoir bien évaluer les données.

Ainsi, le taux d’obésité que l’on retrouve chez les enfants est erroné car il est basé sur les données recueillies auprès des parents.

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Le visage en dit long sur l’enfance

On pourrait deviner l’enfance d’un adulte en analysant la symétrie de son visage, selon une étude parue dans l’Economics and Human Biology. Après l’analyse de 15 traits du visage, on a remarqué que l’asymétrie est un indice d’une enfance difficile.

Il semble que certains facteurs en particulier affectent les traits du visage d’une personne. On y compte l’exposition à la pollution et à la fumée de cigarette, la nutrition, la maladie et le statut socioéconomique.

Les habitudes de vie de même que la qualité de celle-ci seraient les critères les plus importants. De plus, une amélioration de la qualité de vie et l’accumulation de richesses ne changent rien à l’asymétrie du visage établie durant l’enfance.

Ces remarques ont été faites après que 292 visages aient été analysés. On peut se questionner comme parent quant à cette incidence et la qualité de vie de notre enfant.

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Le visage en dit long sur l’enfance

On pourrait deviner l’enfance d’un adulte en analysant la symétrie de son visage, selon une étude parue dans l’Economics and Human Biology. Après l’analyse de 15 traits du visage, on a remarqué que l’asymétrie est un indice d’une enfance difficile.

Il semble que certains facteurs en particulier affectent les traits du visage d’une personne. On y compte l’exposition à la pollution et à la fumée de cigarette, la nutrition, la maladie et le statut socioéconomique.

Les habitudes de vie de même que la qualité de celle-ci seraient les critères les plus importants. De plus, une amélioration de la qualité de vie et l’accumulation de richesses ne changent rien à l’asymétrie du visage établie durant l’enfance.

Ces remarques ont été faites après que 292 visages aient été analysés. On peut se questionner comme parent quant à cette incidence et la qualité de vie de notre enfant.

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La perception visuelle est 10 fois plus lente chez les bébés

Science Daily rapporte les résultats d’une nouvelle étude publiée dans le journal Psychological Science. Faraz Farzin, une étudiante finissante en postdoctorat à l’Université de Stanford, est responsable de cette recherche.
 
À l’aide de deux professeurs, Susan Rivera du UC Davis et David Whitney du département de psychologie au UC Berkeley, Farzin en est venue à la conclusion que les bébés ont une vitesse visuelle 10 fois moins élevée que les adultes.
 
Les candidats de l’étude étaient âgés de 6 à 15 mois. Le procédé consistait à leur montrer des formes en alternant du blanc au noir, selon différentes vitesses. « Il est vraiment surprenant de constater à quel point la résolution des bébés est grossière. Ils n’ont pas la capacité de s’attarder aux détails », explique Faraz Farzin.
 
En d’autres mots, lors du visionnement d’un film où l’action se déroule trop rapidement, l’enfant en bas âge ne capte qu’une partie des images, ce qui peut le désorienter.
 
Farzin souhaite étendre sa recherche aux personnes atteintes de désordres du développement de la perception visuelle tels que l’autisme, la dyslexie et le syndrome du X fragile.