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Lunettes de soleil pour enfants, oui ou non?

Les dommages du soleil ne se font pas que sur la peau, nous rappelle VSP® Vision Care. Les rayons UVA et UVB ont aussi des répercussions sur les yeux. Or, si l’on ne lésine plus sur la protection solaire cutanée, on pense encore trop peu à celle des yeux des tout-petits.

Un sondage effectué par VSP® Vision Care révèle que si 68 % des adultes portent des lunettes de soleil durant la saison estivale, moins de 30 % des enfants en ont sur le bout du nez.

Pourtant, comme nous l’apprenons sur Medical News Today, les rayons UVA et UVB peuvent entraîner des cataractes et une dégénérescence maculaire. Ces problèmes de santé sont reconnus pour engendrer, dans certains cas, des mélanomes à l’intérieur et à la surface de l’œil, lesquels peuvent aboutir à une cécité.

Des optométristes recommandent donc aux parents de faire portes des verres solaires à leurs enfants le plus tôt possible, ce qui créera par le fait même de bonnes habitudes préventives.

Toutefois, il faut demeurer avertis lorsqu’on choisit lesdites lunettes. Il faut s’assurer qu’elles offrent une protection à 100 % contre les UVA et les UVB et qu’elles sont bien couvrantes.

De plus, on pense à se renseigner sur les verres polarisés, qui bloquent les réflexions de la lumière, et l’on se souvient d’attacher les montures à un cordon afin que notre enfant puisse jouer sans les perdre.

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La dépression n’a pas d’âge

Une étude controversée nous démontre que des enfants âgés d’à peine trois ans pourraient recevoir un diagnostic de trouble dépressif majeur.

Des chercheurs auraient en effet décelé certains modèles cérébraux chez des enfants dépressifs qui ressemblent beaucoup à ceux d’adultes atteints du même trouble.
 
Cette découverte est des plus surprenante, car on parle ici d’enfants âgés de seulement trois ans. La recherche menée par l’Université de Washington porte à croire, pourtant, que les enfants ont déjà les capacités cognitives et émotionnelles pour vivre une dépression.
 
Les chercheurs ajoutent qu’une dépression en bas âge laisse certaines marques au cerveau. Les enfants dépressifs semblent donc prédisposés à vivre une dépression une nouvelle fois, une fois qu’ils sont adultes.
 
Une analyse hâtive de ces marques cérébrales, soit dès l’âge de quatre ou cinq ans, permettrait une intervention plus rapide auprès des enfants atteints.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dans le Journal of Affective Disorders.

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L’intimidation peut vous suivre toute la vie

La violence familiale est plus présente que l’on pourrait le croire. Par exemple, on a déjà démontré par le passé qu’environ 25 % des femmes subiront de la violence de la part de leur conjoint et que près de 40 % des hommes ont été violents avec leur partenaire.

Une enquête récente parue dans Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine Today fait maintenant la lumière sur l’association entre l’intimidation durant l’enfance et cette violence.
 
Dans le cadre de ce sondage réalisé auprès de 1 491 hommes de 18 à 35 ans, des chercheurs de l’École de santé publique de Harvard ont remarqué que les hommes qui avaient fait de l’intimidation lorsqu’ils étaient jeunes avaient plus tendance à être violents dans leur couple.
 
Les données de cette enquête sont par ailleurs un peu inquiétantes. Elles confirment l’association entre la violence durant l’enfance et celle à l’âge adulte.

Parmi les participants, 40 % ont avoué avoir déjà (de rarement à souvent) intimidé d’autres enfants lorsqu’ils étaient à l’école et 38,2 % de ces derniers ont dit l’avoir fait souvent.

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Les chirurgies durant l’enfance entraînent des risques

Des chercheurs suédois viennent d’établir un lien des plus improbable. Il semble que si l’on se fait retirer les amygdales et l’appendice durant notre enfance, on est plus exposé à la crise cardiaque.

Précisément, le retrait des amygdales augmenterait ce risque de 44 % et celui de l’appendice, de 33 %. Le danger se trouverait d’autant plus grand si les deux interventions médicales ont été faites.
 
Cette augmentation des risques a été établie statistiquement et elle concerne les personnes qui ont subi ces types d’intervention avant leurs 20 ans. À l’inverse, passé cet âge, les risques mentionnés n’ont pu être reconnus.

Une explication possible de cette corrélation serait les effets à long terme que le retrait de ces organes lymphoïdes engendre sur le système immunitaire. Les résultats complets de cette recherche sont parus dans l’European Heart Journal.

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La morale, une affaire d’âge

Notre réponse à des situations faisant appel à notre morale changerait au cours de la vie en raison de modifications dans nos circuits cérébraux.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Université de Chicago. Leurs résultats sont parus dans Cerebral Cortex.
 
L’expérience a porté sur 127 personnes âgées de 4 à 36 ans. Les outils d’évaluation consistaient en des imageries du cerveau et des mesures optiques ainsi que comportementales.
 
On a remarqué que les réactions à différentes situations correspondaient aux stades de développement du cerveau, c’est-à-dire au fur et à mesure qu’il pouvait faire des jugements de raison.
 
La réponse émotionnelle d’un enfant serait donc plus forte que celle d’un adulte, parce qu’elle précède le jugement.

Adulte comme enfant est donc capable de distinguer un dommage accidentel d’un autre qui serait intentionnel. Toutefois, un enfant aurait plus tendance à penser que quelqu’un devrait subir une punition dans l’un ou l’autre cas, si un objet est endommagé.

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Prévenir la violence par l’éveil des enfants

On peut lire dans Pediatrics qu’un programme éducationnel entamé dans les années 80 a fait ses preuves quant à la prévention de la violence.

En effet, une série d’études ayant porté sur ledit programme ont démontré que l’éveil chez le bébé joue un rôle prédominant quant à son comportement futur.
 
Ainsi, un jeune enfant que l’on pousse à interagir et à jouer avec sa mère deviendrait un adulte ayant moins recours à la violence et ayant une meilleure éducation. Il aurait même un quotient intellectuel plus élevé.
 
La recherche en question, menée par l’Université des Indes occidentales en Jamaïque il y a une vingtaine d’années, avait porté sur 129 bébés jamaïcains. D’une durée de deux ans, elle avait constitué en la comparaison de trois groupes.
 
Les enfants du premier groupe avaient suivi le programme de stimulation, alors que ceux du deuxième groupe avaient simplement reçu du lait maternisé. Un troisième groupe comprenait des enfants qui avait à la fois suivi le programme et pris du lait.

Finalement, les participants ont subi une évaluation lorsqu’ils ont eu 22 ans. Ceux qui avaient reçu une stimulation étaient 65 % moins enclins à avoir recours à la violence.

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Les véhicules tout terrain : pas faits pour les enfants

Selon le Journal of the American Academy of Orthopaedic Surgeons, un véhicule tout terrain (VTT) n’est pas fait pour un enfant. Le poids et la taille de celui-ci ne sont pas suffisants pour qu’il puisse y monter.

De plus, le nombre plus grand de blessures causées par l’utilisation de ce type de véhicule est lié à la plus forte puissance des engins offerts aujourd’hui.
 
Ainsi, les enfants subissent plus souvent des fractures aux membres inférieurs, car ils se retrouvent souvent sous le véhicule lors d’un accident. Ils ne sont pas assez lourds, donc l’engin peut plus facilement se retourner. De plus, ils prendraient plus de risques que les adultes.
 
Seulement aux États-Unis, on estime que les enfants représentent 15 % des conducteurs de VTT. Ces jeunes (âgés de moins de 16 ans) vivent 27 % des blessures et 28 % des décès liés à ces engins.

Pourtant, les enfants continueront à conduire des VTT, ceux-ci faisant de plus en plus partie des activités courantes. De 1985 à 2007, chez nos voisins du sud seulement, le nombre de ces véhicules en circulation est passé de 400 000 à 9,5 millions.

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Les problèmes d’enfance affectent pour la vie

Les problèmes physiques ou mentaux vécus durant la jeunesse peuvent avoir encore de graves conséquences à l’âge adulte.
 
Des chercheurs britanniques mentionnent que ces difficultés influencent le reste de notre vie. C’est la conclusion à laquelle ils parviennent après avoir suivi pendant 50 ans 17 636 personnes nées en 1958.
 
Celles qui avaient connu de graves difficultés durant leur enfance avaient un revenu du quart inférieur à 50 ans, comparativement à celles qui n’avaient pas eu de problèmes.
 
De plus, on a remarqué que les personnes qui avaient eu des problèmes psychologiques durant l’enfance étaient moins consciencieuses au travail, moins souvent mariées et leurs relations interpersonnelles étaient moins stables.
 
« Ces résultats montrent que les problèmes psychologiques de l’enfance peuvent avoir un impact négatif considérable dans le cours de la vie d’une personne, beaucoup plus que les problèmes de santé physique », explique James Smith, économiste de la RAND Corporation.
 
Il est donc primordial de traiter les problèmes dès qu’ils surviennent durant la jeunesse, pour éviter qu’ils continuent de planer à l’âge adulte.
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Lien entre l’asthme et l’obésité

D’après Medpage Today, une recherche américaine a établi un lien entre l’obésité à un jeune âge et l’asthme. Pour tirer cette conclusion, on a suivi plus de 800 enfants et jeunes adultes.

Il semble en fait que les enfants étant en surpoids et qui conservent ce surplus lorsqu’ils deviennent de jeunes adultes courent beaucoup plus de risques de souffrir de l’asthme que ceux qui conservent un poids normal en grandissant.
 
Précisément, ces jeunes étaient 2,4 fois plus à risques de devenir asthmatiques. Le lien était par ailleurs plus marqué chez les garçons. Ces derniers couraient donc 3,3 fois plus de risques, contre 1,9 chez les filles.

Finalement, les enfants en surpoids à l’âge de six à huit ans, mais qui étaient revenus à un poids normal avant la fin de leur secondaire, n’avaient pas de risques de devenir asthmatiques.

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Découverte sur le langage du bébé

Grâce à l’imagerie par résonnance magnétique, des chercheurs de l’Université de San Diego ont fait une découverte des plus étonnante quant au développement du langage.

Il semble que si les bébés d’à peine un an ne peuvent pas reproduire le son de tous les mots, ils sont en mesure d’en comprendre le sens.

De plus, les mêmes parties du cerveau seraient utilisées pour y arriver que les adultes, ce qui signifie que dès cet âge, le langage fonctionne d’une façon mature.

En d’autres mots, les bébés prendraient le même chemin cérébral pour trouver la signification d’un mot, ce qui veut dire que nous aurions un genre de base de données des signifiants.

Confirmant des recherches précédentes, on pourrait retracer le développement du langage et en voir le fonctionnement en observant la réponse à un stimulus de certaines parties du cortex.

Cette étude a été publiée cette semaine dans Cerebral Cortex, le journal hebdomadaire de l’Université d’Oxford.