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L’aéroport Montréal-Trudeau classé parmi les pires en Amérique du Nord

Dans une étude menée par J.D. Power sur la satisfaction des aéroports en Amérique du Nord, l’aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau de Montréal ne fait pas du tout bonne impression.

En effet, c’est avec un score de 759 points que l’aéroport Montréal-Trudeau à Dorval a été classé en 25e position sur 27 aéroports dans la catégorie «large» de cette étude menée en 2023, alors que la moyenne se situe à 789.

On retrouve l’aéroport de Tampa en première position avec 832 points.

Il va sans dire que plusieurs critères ont été pris en compte pour effectuer ce classement, comme les installations du terminal, les arrivées et les départs à l’aéroport, la récupération des bagages, la sécurité, l’enregistrement et le contrôle des bagages, l’aire de restauration et les magasins de détail.

Les aéroports ont aussi été classés dans différentes catégories: méga (33 millions de passagers ou plus par année), large (10 à 32,9 millions de passagers par année) ou médium (4,5 à 9,9 millions de passagers par année).

Dans la catégorie méga, c’est l’aéroport de Détroit qui remporte les honneurs avec 800 points.

Et, pour ce qui est de la catégorie médium, on retrouve l’aéroport d’Indianapolis à la plus haute place du classement.

D’ailleurs, selon J.D. Power, ce serait 27 147 résidents des États-Unis et du Canada qui auraient rempli le questionnaire afin d’arriver à ce classement.

Qu’en pensez-vous?

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Trucs et Bricolages

Une nouveauté à l’aéroport de Québec qui fera des heureux

Prendre une pause de l’hiver et s’envoler vers le sud, quel bonheur! Cependant, pour certaines personnes, il existe un irritant. Les voyageurs québécois doivent soit quitter leur demeure sans manteau et se geler un peu avant d’être dans les murs de l’aéroport, soit traîner ce vêtement encombrant et des bottes jusque dans l’avion…

Cela fait des lustres que bien des voyageurs se demandent pourquoi il n’y a aucun casier dans nos aéroports pour y déposer tout ça et se rhabiller chaudement au retour.

Et bien, l’aéroport de Québec serait le premier de la province à écouter ce souhait, selon Ici Québec.

En effet, récemment une trentaine de casiers intelligents de l’entreprise québécoise Expedibox ont été installés au premier niveau de l’aéroport, entre le stationnement étagé et la passerelle qui mène à l’aérogare.

Les compartiments automatisés permettent de déposer des objets en consigne pendant quelques heures ou plusieurs jours.

Le cofondateur d’Expedibox, Alexandre Vignola-Côté, a expliqué à Ici Québec que ce système automatisé et à  faible coût est avantageux. 

« Pour une semaine, pour une très grosse porte qui comprendrait des bottes, un manteau, une petite valise, des choses comme ça, ça serait environ 35$ pour la semaine ».

Selon lui, l’aéroport Jean-Lesage serait le premier dans la province à offrir un tel système.

À Montréal-Trudeau, on retrouve pour le moment plutôt un service de consigne. Sur le site Internet de YUL, on lit que « pour des raisons de sécurité, il n’y a pas de casiers dans l’aérogare ».

Pour sa part, monsieur Vignola-Côté affirme que les casiers Expedibox sont sécuritaires, car’ils prennent automatiquement une photo de l’usager qui y dépose et y récupère ses biens.

C’est suite à la demande des voyageurs que la direction de l’aéroport de Québec a approché l’entreprise, qui est basée à St-Denis-de-Brompton, en Estrie.

« Il y avait une demande de la part de la clientèle, les gens qui veulent aller dans le sud l’hiver, ils veulent un endroit pour laisser leur manteau, leurs bottes », a confié le  vice-président au développement des affaires et technologies à l’aéroport de Québec Marc-André Bédard à Ici Québec.

Monsieur Bédard a confié que les commentaires des utilisateurs de ce système sont actuellement  recueillis, pour voir comment on  pourrait l’améliorer.

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Nightlife.ca

Un 2e aéroport majeur à Montréal!

Bientôt, il sera possible de s’envoler pour de nombreuses destinations canadiennes d’un second aéroport dans la région de Montréal. La bonne nouvelle, c’est qu’il sera situé sur la rive-sud de l’île.

L’aéroport de Saint-Hubert (YHU) prend de l’expansion. Un nouveau terminal et un hôtel de 130 chambres au coût total de 200 millions de dollars se grefferont aux installations actuelles afin de doter l’emplacement d’infrastructures modernes permettant d’accueillir de nouveaux transporteurs aériens.

Lors d’une conférence de presse regroupant la mairesse de Longueuil Catherine Fournier et la vice-première ministre et ministre québécoise des Transports, Geneviève Guilbault, entre autres, il a été révélé que la compagnie aérienne torontoise Porter installera ses activités à l’aéroport de Saint-Hubert.

La société aérienne Porter prévoit desservir les grandes villes canadiennes en plus d’assurer les correspondances du transporteur régional Pascan. Ce qui doit permettre aux passagers en provenance des régions du Québec de rallier plus facilement les grandes villes canadiennes. D’autres transporteurs régionaux doivent bientôt ajouter des liaisons avec l’aéroport de Saint-Hubert, assure la direction.

Le nouveau terminal d’une superficie de 40 000 mètres carrés proposera neuf portes d’embarquement. Si tout se déroule comme prévu, les travaux de construction qui s’amorceront le printemps prochain seront exécutés d’ici la fin de 2024.

Afin de rendre les déplacements plus fluides en direction de l’aéroport, un système de navette électrique gratuite aux 30 minutes reliera le site à la station de métro Longueuil – Université de Sherbrooke aux nouvelles installations.

La tranquillité des résidents des secteurs environnants étant un enjeu majeur, la nouvelle aérogare sera fermée la nuit et ne sera desservie que par les aéronefs monocouloirs parmi les plus silencieux, a aussi promis le directeur général de l’aéroport de Saint-Hubert Yanic Roy.

La mairesse de Longueuil, Catherine Fournier, s’est engagée pour sa part à assurer un suivi rigoureux des activités reliées à l’aéroport afin de préserver la qualité de vie des citoyens de la Rive-Sud.

À terme, l’aéroport de Saint-Hubert pourrait accueillir jusqu’à quatre millions de passagers par année. En comparaison, l’aéroport Pierre Elliott Trudeau international de Dorval a accueilli près de 20 millions de passagers en 2019, alors que celui de Québec en a reçu près de 1,8M la même année.

L’aéroport de Saint-Hubert fut le premier aéroport civil au Canada, ouvert dès 1927, Il abrite aujourd’hui des écoles de pilotage privées, des compagnies aériennes régionales ainsi que l’École nationale d’aérotechnique et l’Agence spatiale canadienne.

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Actualité BuzzNews

Cet homme vivait depuis 3 mois dans un aéroport

Craignant la Covid-19, Aditya Singh s’est réfugié à l’aéroport O’Hare International de Chicago il y trois mois, jugeant l’endroit plus sécuritaire.

Le Californien a été intercepté dans les dernières heures dans le secteur sécurisé de l’aéroport par des travailleurs, confirme le Chicago Tribute, citant un procureur.

Son histoire débute le 19 octobre dernier. Arrivant sur un vol en provenance de Los Angeles, Aditya Singh décide de ne pas quitter la zone sécurisée des embarquements. Il a ensuite volé une carte de sécurité le 26 octobre. Cette dernière lui permettait de circuler allègrement dans l’aéroport.

Depuis, l’homme qui avait une peur bleue d’attraper le coronavirus s’il retournait à la maison vivait dans l’aéroport, jusqu’à samedi dernier (16 janvier).

Les policiers appelés en renfort ont procédé à son arrestation. Aditya Singh fait maintenant face à des chefs d’accusation de vol et d’avoir forcé une aire sécurisée dans un aéroport.

Un juge a condamné l’homme à une amende de 1000 $ et lui a ordonné de ne plus se rendre à l’aéroport O’Hare International de Chicago.

Cette histoire n’est pas sans rappeler celle d’un homme qui fut coincé l’été dernier 100 jours dans l’aéroport de Manille lorsque les frontières furent fermées lors de l’éclosion de Covid-19.

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Actualité

Hong Kong implante des cabines de décontamination

L’enjeu pour les aéroports est important. Réussir à convaincre les voyageurs que prendre l’avion peut être sécuritaire. Pour y parvenir, Hong Kong mise sur la technologie.

Depuis quelques semaines, l’aéroport de Hong Kong expérimente un appareil appelé «CLeanTech». Il s’agit d’une cabine de décontamination qui tue toutes traces du coronavirus en 40 secondes.

L’appareil prend tout d’abord la température du voyageur. Les passagers entrent ensuite debout dans une cabine à pression négative. Des jets projettent ensuite sur l’ensemble du corps des passagers un liquide antimicrobien qui les désinfecte et tue le virus de la CoVID-19.

On le voit, les voyages en avion ne seront plus jamais les mêmes avec la pandémie mondiale. Les compagnies aériennes sont des plus imaginatives afin de redémarrer leurs activités.

AirAsia a présenté le nouvel uniforme de ses agents de bord, qui ressemblent maintenant à du personnel médical.

Emirates Airline fait passer des tests sanguins à ses passagers avant de les admettre dans ses appareils.

Certaines sociétés spécialisées dans l’aménagement des cabines d’avion essaient de créer une distanciation physique entre les passagers.

La technologie, comme à Hong Kong, semble être au coeur des changements qui s’opèrent dans l’industrie du tourisme.

Photo : Airport Authority Hong Kong

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Actualité

Hong Kong implante des cabines de décontamination

L’enjeu pour les aéroports est important. Réussir à convaincre les voyageurs que prendre l’avion peut être sécuritaire. Pour y parvenir, Hong Kong mise sur la technologie.

Depuis quelques semaines, l’aéroport de Hong Kong expérimente un appareil appelé «CLeanTech». Il s’agit d’une cabine de décontamination qui tue toutes traces du coronavirus en 40 secondes.

L’appareil prend tout d’abord la température du voyageur. Les passagers entrent ensuite debout dans une cabine à pression négative. Des jets projettent ensuite sur l’ensemble du corps des passagers un liquide antimicrobien qui les désinfecte et tue le virus de la CoVID-19.

On le voit, les voyages en avion ne seront plus jamais les mêmes avec la pandémie mondiale. Les compagnies aériennes sont des plus imaginatives afin de redémarrer leurs activités.

AirAsia a présenté le nouvel uniforme de ses agents de bord, qui ressemblent maintenant à du personnel médical.

Emirates Airline fait passer des tests sanguins à ses passagers avant de les admettre dans ses appareils.

Certaines sociétés spécialisées dans l’aménagement des cabines d’avion essaient de créer une distanciation physique entre les passagers.

La technologie, comme à Hong Kong, semble être au coeur des changements qui s’opèrent dans l’industrie du tourisme.

Photo : Airport Authority Hong Kong

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Potins

Vol difficile pour Coeur de Pirate

Prendre l’avion avec un enfant en bas âge n’est pas une chose aisée et la chanteuse québécoise Béatrice Martin en a récemment fait les frais, surtout quand l’incivilité pointe également le bout de son nez.

Alors qu’elle prenait un vol en partance de Montréal et à destination de Paris, Coeur de Pirate a été confrontée à un passager refusant d’échanger de siège avec elle, afin qu’elle soit assise à côté de sa fille, Romy.

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« Shout out au monsieur qui voulait pas échanger de siège avec moi dans l’avion pour que je sois avec Romy », rapporte l’interprète de Pour un infidèle sur son compte Twitter.

Après sept bonnes heures de vol, Coeur de Pirate et la petite Romy n’étaient par ailleurs pas au bout de leurs peines en découvrant une file d’attente énorme aux douanes françaises.

Âgée de cinq ans, Romy est la fille unique de la chanteuse québécoise de 27 ans et du tatoueur français Alex Peyrat.

Une nouvelle ? : scoop@buminteractif.com

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Potins

Moment embarrassant pour Eugenie Bouchard

« Genie » a vécu un moment pour le moins embarrassant à l’aéroport, elle qui s’apprête à prendre part à un tournoi de tennis qui se tiendra du côté de Linz, en Autriche.

« OMG un agent de sécurité vient juste de me demander si je suis une fille ou un garçon. Je dois vraimeeeeeent avoir l’air horrible après ce vol de nuit lol », explique Eugenie Bouchard par l’entremise de son compte Twitter.

Bouchard semble avoir pris la question avec beaucoup d’humour, elle qui ne doit pas être habituée à ce genre de questionnements.

Parions que plusieurs amateurs de tennis auront eux aussi du mal à comprendre comment cet agent de sécurité a pu s’interroger d’une telle manière devant Eugenie Bouchard.

La 47e joueuse au monde en sera par ailleurs à son premier tournoi depuis celui de la Coupe Banque Nationale de Québec, qui avait lui aussi pour le moins mal tourné.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Nouvelles quotidiennes

L’aéroport de Dusseldorf se met en mode robot

Le système Ray est en service offert depuis l’été dernier et fonctionne comme un chariot élévateur, soulevant les voitures et les positionnant dans l’une des 249 places réservées à ces voituriers automatisés,.

Ce robot peut soulever des voitures pouvant peser jusqu’à 3,31 tonnes.

Pour utiliser ce service, les conducteurs doivent laisser leur véhicule dans la zone réservée à cet effet puis confirmer sur un écran tactile que la voiture est vide de passagers et prête à être garée.

Le système connecté emporte ensuite la voiture à une place vacante.

Autre point très positif, Ray a aussi accès au système de données aéroportuaires, ce qui lui permet de préparer la voiture et de la rendre accessible aux voyageurs dès qu’ils posent le pied sur le sol de l’aéroport.

Le coût de ce service n’est pas prohibitif, il faut compter 29 € par jour.

Regardez Ray en action (en allemand) : http://bit.ly/1lVSiTM.

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Potins

Keira Knightley dans la peau d’Anne Hathaway

Keira Knightley a beau être en vedette dans l’une des plus grosses franchises de l’histoire, Pirates of the Caribbean, et être en nomination dans plusieurs galas et catégories en 2015, l’actrice révèle que plusieurs fans se méprennent à son endroit.

 

En fait, Keira Knightley se ferait souvent prendre pour certaines de ses homologues actrice, rapporte E!.

 

« Je devrais m’excuser à Anne Hathaway, car une femme qui m’a pris pour elle à l’aéroport m’a trouvé très rude de ne pas vouloir lui donner une photo en tant qu’Anne Hathaway. Mais, c’est en fait la première fois que ça arrive avec Anne Hathaway. Généralement, j’ai pas mal de Rachel Weisz et de Natalie Portman. », explique Keira Knightley, amusée.

 

La star de Begin Again, actuellement enceinte, est par ailleurs en nomination aux Golden Globes pour son rôle de soutien dans The Imitation Game.

 

Espérons que cette année faste lui permette désormais de se faire reconnaître pour elle même en 2015.