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L’obsession de Ryan Reynolds pour Game of Thrones affecte son mariage

Ryan Reynolds a une obsession… pour la série Game of Thrones.

L’acteur aime tellement le produit diffusé sur HBO, qu’il semble que cette obsession affecte son mariage, rapporte E!.

Le père d’un jeune enfant de trois mois en compagnie de Blake Lively peine à survivre aux entre-saisons de Game of Thrones, selon cette dernière.

« Mon mari, je le dénonce et je ne devrais pas, mais il est devenu obsédé par Game of Thrones. Il a fait tout ce qu’il pouvait pour pirater des épisodes qui n’étaient pas encore tournés. Alors, ça a été un petit point difficile dans notre mariage. On a traversé ça maintenant parce qu’une nouvelle saison s’entame », lance Blake Lively avec humour.

La cinquième saison de Game of Thrones est en effet bien lancée sur HBO, et Ryan Reynolds a probablement profité du fait que quatre épisodes de la série de sont retrouvés de manière bien mystérieuse en ligne, au cours des derniers jours.

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Les conflits conjugaux affectent les pères de famille

Lorsqu’il y a des tensions dans un couple de parents, la mauvaise énergie se transposerait souvent entre les adultes et leurs enfants.

Les pères qui ont des conflits avec leurs conjointes auraient d’ailleurs beaucoup plus de difficulté à laisser de côté leurs tracas que leurs femmes et cela aurait des conséquences sur leur relation avec leurs enfants.

C’est du moins ce que démontre une nouvelle étude américaine publiée dans le Journal of Family Psychology.

Lors de la recherche, 203 familles ont rempli un journal quotidien pendant 15 jours consécutifs. Il est ressorti que lorsqu’il y avait un conflit conjugal durant la journée, il n’était pas rare que l’enfant ait aussi noté un conflit avec ses parents et plus en particulier avec son père, indique Top Santé.

On pourrait croire le contraire, mais ce sont les femmes qui sont plus aptes à dissocier vie maritale et lien familial. Elles sont donc en mesure de maintenir, voire d’améliorer leur relation avec leur jeune.

Selon l’étude de la Southern Methodist University à Dallas, certains problèmes conjugaux iraient même jusqu’à créer des rapprochements mère-enfant.

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Ces facteurs de stress qui affectent nos enfants

Le stress peut affecter les enfants autant que les adultes. Nous en parlons plus de nos jours, et les facteurs sont multiples, tout comme ceux qui tourmentent les adultes.

La nouveauté, la pression quotidienne et la pression scolaire sont les principales sources de stress des jeunes, rapporte Psychoenfants.fr. Des phrases aussi banales que « dépêche-toi », « plus vite », « ne fais pas ceci ou cela », à force d’être répétées, peuvent stresser l’enfant. Le rythme qu’on leur impose est souvent frénétique, et ils n’ont pas toujours les mots pour exprimer ce qu’ils ressentent.

À l’école, la pression de la performance et les attentes des parents représentent des facteurs importants de stress pour l’enfant. Ce sentiment, surtout s’il n’est pas reconnu ou traité, peut s’amplifier au secondaire.

La solution réside surtout dans l’environnement affectif et l’accompagnement des parents. L’enfant a besoin de sécurité et d’écoute, et doit se sentir aimé, valorisé et encouragé. Si l’enfant ne se croit pas à la hauteur et qu’il sent du jugement, sa culpabilité et la tension qui l’accompagne prendront le dessus.

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Les photographes en série perdraient la mémoire

Peut-être connaissez-vous ou peut-être faites-vous partie vous-même de ces gens qui prennent tout en photo, et tout le temps. Repas, détails, éléments cocasses et parfois moins, famille, proches, amis, sorties, animaux, tout semble désormais un prétexte pour prendre un cliché

Le phénomène est bien entendu galvanisé par la montée en flèche des médias sociaux, mais cette manie de tout photographier pourrait bien comporter un effet retour jusqu’ici insoupçonné.

C’est ce que croient des chercheurs américains qui déposent une étude sur le sujet, rapporte Top Santé et Pourcel-chefs-blog.com, et qui prétendent que la mémoire de ces photographes en série serait affectée, au point de ne plus garder autant de véritables souvenirs.

Il semble que le fait de photographier « efface » des détails de notre propre mémoire au profit du cliché, mais au détriment de nos souvenirs dans l’avenir.

« Les gens sortent leur appareil photo machinalement. Alors qu’ils s’appuient sur la technologie pour ne rien oublier, ça a un impact négatif sur la façon dont ils se souviennent de leurs expériences », explique la Dre Linda Henkel, directrice de cette recherche sympathique.

Cette dernière a, pour étayer sa théorie, demandé à des élèves de décrire des œuvres observées la veille au célèbre Musée du Louvre. Vous l’aurez deviné, les sujets qui ont pris des photographies des œuvres au lieu de les observer de leurs propres yeux ont démontré beaucoup plus de difficulté à se souvenir des détails de celles-ci.

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L’alimentation de la mère affecte le niveau de stress du bébé

Une étude publiée dans la revue Faseb Journal révèle qu’un régime alimentaire riche en choline réduirait le stress chez le bébé.

Le fait est que la choline est un nutriment essentiel que l’organisme ne synthétise pas, selon les chercheurs de la Cornell University qui ont effectué l’étude.

La vitamine influe cependant sur le cortisol, une hormone reliée à l’anxiété.

Les femmes devraient donc ingérer plus de 930 Mg de choline, plutôt que les 480 mg que l’on prescrivait avant que cette étude ne soit publiée.

Toutefois, les effets de la choline chez les bébés ne durent pas toute sa vie durant. D’autres recherches devront être menées.

De plus, les experts rappellent que le stress est un processus complexe et que d’autres facteurs peuvent l’influencer. L’éducation, la qualité de vie ainsi que les expériences vécues par l’enfant peuvent l’entraîner.

Rappelons par ailleurs que si c’est plutôt maman qui est stressée ou dépressive durant la grossesse, le bébé pourrait aussi être affecté. Les futures mamans souffrant de dépression seraient plus susceptibles de mettre au monde des enfants prématurés.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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L’obésité affecte la puberté et le système reproductif

 

Une étude publiée dans le Frontiers in Endocrinology démontre que l’obésité peut entraîner des troubles de la fertilité.

« […] l’état nutritionnel est important pour la reproduction, des syndromes métaboliques causés par l’obésité peuvent affecter profondément la capacité à se reproduire. […] Un extrême ou l’autre, l’anorexie ou l’obésité, peut être associée à des problèmes de la reproduction », explique l’un des auteurs de la recherche, Patrick Chappell.

En fait, la sécrétion normale d’une hormone, la kisspeptine, peut être dérangée par des signaux endocriniens.

L’obésité en début de puberté peut affecter le pancréas, le foie et d’autres glandes endocrines.

Également, l’obésité dérèglerait l’horloge circadienne du corps — reliée aux cycles du sommeil — entraînant une puberté précoce.

Il existe une corrélation entre la puberté précoce et les cancers des organes reproducteurs ainsi que le diabète, entre autres.

Rappelons que le stress et le divorce de parents ont aussi été déclarés responsables de certains cas de puberté précoce.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

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Le deuil durant la grossesse affecte longtemps la santé de l’enfant

En fait, les chercheurs anglais ont découvert que les enfants nés de femmes vivant une séparation ou un deuil peuvent avoir des problèmes de santé jusqu’à l’âge de quatre ans.

De plus, les experts estiment que deux épisodes de stress sévère durant la grossesse augmentent cinq fois plus les problèmes du petit.

Il est donc crucial, selon eux, que les femmes enceintes vivant des moments difficiles soient accompagnées durant ceux-ci.

Le stress en pleine grossesse a entre autres été lié à l’asthme, aux infections et aux maux d’estomac.

Les experts croient que les changements hormonaux ou du système immunitaire de la mère durant la période de stress vécue affecteraient les défenses immunitaires du bébé.

« [L’étude] suggère que le stress vécu durant la grossesse entraîne des changements biologiques chez l’enfant à naître qui le rend susceptible de développer des maladies plus tard dans sa vie », explique le chercheur Jasmin Wertz.

Il ajoute également que l’utilisation d’antidépresseur durant la grossesse pourrait faire plus de bien au bébé que de mal, en fin de compte.

Rappelons que les futures mamans souffrant de dépression seraient plus susceptibles de mettre au monde des enfants prématurés.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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L’obésité n’affecte pas nécessairement la pression sanguine

Une étude effectuée en Louisiane a permis de démontrer que le taux d’obésité chez les enfants et les adolescents a presque triplé durant les 20 dernières années. Cependant, la pression sanguine n’a pas pour autant augmenté chez ces jeunes gens.

Durant l’étude, en fait, la pression sanguine n’a pas évolué de façon constante. Par exemple, parmi les jeunes filles de race blanche, le niveau d’obésité a monté de 7,9 à 14,4 %, tandis que la pression systolique est tombée de 103 à 101 mm Hg et que la pression diastolique est passée de 64 à 61. Pendant ce temps, la pression sanguine passait de 9,4 à 5,2 %.

En fait, seulement 154 enfants obèses sur 11 478 avaient une pression sanguine élevée. En ce sens, le traitement de l’obésité infantile ne réduirait pas nécessairement les futurs risques pour la santé.

Rappelons que selon des données parues dans l’International Journal of Obesity, un enfant obèse s’exposerait hors de tout doute à des risques pour sa santé adulte. Et réduire son indice de masse corporelle aurait un certain effet protecteur, quoique léger.

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La télévision n’affecte pas l’estime des jeunes garçons de race blanche

C’est ce que démontre une étude publiée dans le journal Communication Research. « Peu importe l’émission que vous regardez, si vous êtes un homme blanc, les choses, dans la vie, vont assez bien pour vous », explique Nicole Martin, professeure assistante en télécommunications de l’Université de l’Indiana.

Pour les jeunes filles, les rôles sont moins bons pour leur estime personnelle. « On peut présumer que la sexualisation des femmes mène à un impact négatif sur les jeunes filles », dit-elle.

Tandis que pour les enfants de race noire, le message transmis à travers ces émissions est souvent le même. « Les jeunes hommes noirs ont un message contraire [aux jeunes hommes blancs] : c’est qu’il n’y a pas beaucoup de bonnes choses auxquelles ils peuvent aspirer », déplore Nicole Martin.

Cependant, elle et ses collègues suggèrent que les jeux vidéos sont les pires quant vient le temps de dépeindre les ethnicités et les genres.

Ces résultats inquiètent les experts, surtout depuis que l’on sait qu’en Amérique du Nord, les enfants sont exposés en moyenne près de quatre heures par jour à la télévision. De plus, la situation serait pire pour les plus jeunes, les bébés et les enfants de race noire.

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L’importance de cesser de fumer avant le 3e mois de grossesse

Les impacts de la cigarette sur le fœtus sont multiples. La femme enceinte a tout intérêt à cesser le tabagisme, au plus tard après 8 semaines de grossesse. De cette façon, elle évitera d’influencer directement le poids de l’enfant à la naissance.

Une étude récemment menée à l’Université de Southampton rapporte que les femmes qui arrêtent de fumer dans les 2 premiers mois de grossesse se garantissent une meilleure chance d’accoucher d’un bébé de même poids qu’une non-fumeuse.

Le professeur de gynécologie obstétrique Nick Macklon, responsable et porte-parole de l’étude, affirme qu’il s’agit d’un message d’espoir pour les futures mères qui ont de la difficulté à cesser le tabagisme. Il demeure prudent quant au positivisme de cette recherche, puisque poursuivre la cigarette après 8 semaines affecte fortement le poids du bébé.

D’autre part, une étude effectuée au Danemark en 2010, menée par une équipe de gynécologues dirigée par le docteur LS Mamsen, relate que fumer pendant le premier trimestre de la grossesse influence la fertilité de l’enfant à venir.

Il s’agit donc de résultats à double tranchant. Il n’en demeure pas moins que la femme qui souhaite procréer devrait suivre un programme pour arrêter de fumer avant même de tomber enceinte, en se rappelant qu’elle le fait pour elle-même, mais surtout pour son enfant.