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4 bases pour apprendre aux garçons à respecter les femmes

Montrer l’exemple

Au sein de la famille et du couple, il est important de ne pas faire de blagues inappropriées (sexistes) et d’éviter les commentaires machos du type « la femme est bonne pour faire le ménage et la cuisine ».

Inutile d’enseigner la base à votre garçon si par vos paroles ou vos gestes, vous stéréotypez les hommes et les femmes. Prônez le partage des tâches, que ce soit la tondeuse ou la vaisselle.

Un gentleman est toujours bienvenu

Tirer la chaise pour qu’une femme puisse s’asseoir, lui ouvrir la portière de la voiture, la laisser passer en premier ou lui offrir son bras ou sa main pour l’assister sont des gestes qui ne se démoderont jamais.

Démontrer l’affection

Tenir la main de sa douce a tout d’un geste tendre, et il démontre le soutien et la protection de l’homme. Votre petit a tout intérêt à savoir que ce geste simple a tout d’une belle démonstration d’amour.

Le respect même dans l’adversité

Un couple argumente, se dispute. Néanmoins, il faut apprendre à fiston à tempérer ses paroles et à éviter de blesser inutilement, humilier ou dénigrer autrui.

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Les enfants de parents autoritaires sont plus susceptibles d’être obèses

La recherche a été présentée lors de la conférence de l’American Heart Association’s Scientific Sessions 2014. L’objectif était de valider si des facteurs familiaux peuvent accentuer l’obésité, afin que les différents intervenants puissent s’adapter à cette réalité.

« Les parents devraient à tout le moins être conscients de leur style en tant qu’éducateurs », déclare Dre Lisa Kakinami de l’Université McGill à Montréal, Canada.

Comme l’indique Medical News Today, l’autorité sans réceptivité émotionnelle est très différente de celle où l’on impose des limites, tout en accordant notre affection à l’enfant. Dans ce dernier cas, « ce sont les enfants les moins susceptibles d’être obèses ».

Pour l’étude, un groupe de 37 577 enfants canadiens âgés de 11 ans ont été observés et questionnés. Il en est ressorti 4 styles de parent.

– Autoritaire et détaché : strict, sans écoute des émotions;

– Autoritaire et engagé : strict avec affection et écoute émotionnelle;

– Permissif : à l’écoute, sans imposer de limites;

– Négligent : aucune limite ou discipline et sans dialogue.

Selon l’indice de masse corporelle, bien que les parents négligents causaient un risque d’obésité, ce sont ceux autoritaires et détachés qui créaient le plus grand risque associé au surpoids des enfants.

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Des manières de permettre à vos enfants de se sentir aimés

Les laisser s’exprimer : Même si c’est plus facile de les laisser faire lorsque c’est positif, il est important de laisser les enfants exprimer leurs émotions négatives également.

Sourire lorsqu’ils se lèvent le matin : Ça a l’air banal, mais c’est un des meilleurs moyens de les faire se sentir appréciés, même lorsque la routine du matin est très occupée et pressée.

Se laisser câliner : Chaque jour, prenez une petite pause de votre liste de choses à faire et échangez un beau câlin avec vos enfants.

Les écouter : On parle ici de vraiment écouter leurs histoires et de s’y intéresser, pas de prêter une oreille distraite pendant que vous prenez aussi vos courriels.

Être ouvert et flexible : Cela ne veut pas dire de laisser les enfants faire ce qu’ils veulent, mais ils se sentiront appréciés si vous êtes prêt à considérer leurs arguments.

Ne pas oublier les petites surprises : Une petite note d’amour dans leur boîte à lunch, préparer du chocolat chaud et du maïs soufflé lorsqu’ils reviennent de jouer dehors, dessiner un visage souriant dans leur assiette avec de la nourriture…

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L’affection d’une mère favorise la santé des enfants

Une étude récente de l’Université de la Californie, publiée dans la revue Psychological Science, révèle que bien des enfants qui sont élevés dans des familles à faible statut socioéconomique (SSE) sont plus aptes à développer des maladies chroniques à l’âge adulte. Par contre, une minorité appréciable reste en bonne santé tout au long de leur vie.

La recherche a étudié si l’affection parentale peut atténuer les facteurs socioéconomiques durant l’enfance.

C’est dans le but de favoriser les relations saines et d’éduquer les parents vulnérables à faire preuve de gestes gratuits et être bons pour leurs enfants que l’étude a été élaborée.

Les contraintes de l’enfance, comme la pauvreté et le manque d’éducation des parents, peuvent laisser un résidu biologique qui apparaît dans la quarantaine, confirment les spécialistes. Cependant, il semblerait que les enfants qui n’ont pas manqué d’amour, de soins et d’attention de la part de leur mère ont eu moins de chances d’avoir un diagnostic du syndrome métabolique, qui est un précurseur de la maladie coronarienne, du diabète de type 2 et des accidents vasculaires cérébraux.

L’étude se poursuivra, puisque celle-ci a examiné 1205 personnes qui sont nées à la fin des années 70, une époque où les pères étant moins présents dans les relations interpersonnelles. Pour le moment, rien n’indique que le rôle du père aimant a eu une influence sur la santé des enfants devenus grands.

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Prévenir le stress dès la naissance

Une maman pourrait prévenir le stress que vivra son bébé une fois qu’il sera adulte. C’est la conclusion vers laquelle convergent deux récentes études de l’Institut Douglas.

La première, parue dans Developmental Psychobiology, a fait un lien entre l’allaitement et le stress. Il semble que la quantité et la qualité du lait maternel et la relation entre la mère et son enfant auraient une grande influence sur la réponse au stress du bébé devenu adulte.

La deuxième étude a porté sur les soins parentaux en début de vie. Parue dans le Journal of Psychiatry and Neuroscience, elle a aussi fait un lien avec la réponse au stress.

Après avoir mesuré le taux de cortisol chez de jeunes adultes qui étaient confrontés à une situation stressante, on a remarqué qu’il était très bas chez ceux ayant reçu le plus d’affection lorsqu’ils étaient tout-petits.

Or, le faible taux de cortisol des sujets ayant reçu le plus d’amour maternel était associé à une forte estime de soi, tandis que ceux en ayant eu le moins en avaient une beaucoup plus faible.

Par ailleurs, il semble qu’un faible taux d’hormone du stress peut être un bon ou un mauvais signe. Il faudrait à la fois dépister la baisse de cortisolémie et faire des évaluations psychologiques afin de savoir si une personne est vulnérable au stress.

Malgré tout, ces deux recherches démontrent que l’amour d’une mère peut avoir une influence positive sur le développement du cerveau de son bébé.

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L’ocytocine renforce les souvenirs de la mère durant l’enfance chez les hommes

Des souvenirs d’affection de la mère sont revenus en force chez des hommes à qui on avait administré de l’ocytocine, nous apprennent des chercheurs de l’École de médecine de Mount Sinai.

D’après leurs résultats parus dans Science Daily, cette hormone neurotransmetteur déjà présente chez l’humain a un impact sur certains des 31 hommes en santé de leur étude.

Pour arriver à ces conclusions, on a administré par voie nasale de l’ocytocine à la moitié du groupe et un placebo à l’autre, et ce, à deux moments différents.

Après 90 minutes, les chercheurs ont posé des questions aux participants quant à leur relation affective avec leur mère lorsqu’ils étaient enfants.

Les hommes qui étaient moins anxieux et plus près de leurs sentiments avaient des souvenirs plus nets quant à l’affection de leur mère lorsqu’ils avaient reçu une dose d’ocytocine, en comparaison à ceux qui avaient reçu le placebo.

À l’opposé, ceux qui étaient anxieux avaient des souvenirs d’une mère moins affectueuse lorsqu’ils avaient eu l’ocytocine, toujours par rapport au groupe du placebo.

Ces comportements ont été causés par l’effet de l’ocytocine sur l’humeur et le bien-être.