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Une mère plus âgée n’affecte pas la santé de l’enfant

En contrepartie, les enfants nés de mères âgées de 20 à 24 ans se révèlent être beaucoup plus à risque de maladies lorsqu’ils arrivent entre la quarantaine et la cinquantaine.

Le chercheur principal de l’étude, Mikko Myrskylä, du Max Plank Institute for Demographic Research en Allemagne, précise : « En respectant le facteur de l’âge lors de la grossesse, l’accouchement de femmes plus jeunes se révèle plus dangereux pour les enfants que celui des femmes plus âgées ».

Malgré tout, myhealthnewsdaily.com révèle que la réalité demeure quant au risque plus élevé de fausse couche ou de trisomie 21 pour les mères au-delà de 35 ans.

À première vue, les résultats démontraient la même chose que ceux d’autres études sur le sujet. Par contre, lorsque les chercheurs ont pris en compte le niveau d’éducation de la mère ainsi que l’âge auquel elle décédait, les données ont pris cette tournure inattendue.

L’étude, menée auprès de 18 000 enfants américains et leur mère, a été publiée dans le journal Demography.

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Grossesse tardive : l’âge du père plus important

L’âge auquel les hommes conçoivent poserait plus de risques pour la santé du bébé que l’âge de la mère au même moment, puisque le sperme des hommes plus vieux affecte le nombre de mutations génétiques qui peuvent être transmises à l’enfant.

En fait, un homme plus jeune en transmet en moyenne 25, tandis que ce chiffre atteint 65 chez les hommes âgés de 40 ans.

De plus, le sperme d’un homme qui a plus de défauts au niveau de l’ADN serait plus susceptible de mener à une fausse-couche, au développement de l’autisme et à la maladie mentale que celui d’un homme de 20 ans.

Les experts déplorent le fait que l’on ne se soit pas attardé davantage aux conséquences de l’âge du père plus tôt.

« La société s’est vraiment concentrée sur l’âge de la mère. Mais à part le syndrome de Down, il semble que les désordres comme la schizophrénie et l’autisme soient influencés par l’âge du père », explique la directrice générale de Decode Genetics, Kari Stefansson.

C’est pourquoi l’un des chercheurs suggère que les hommes qui envisagent d’avoir un enfant à un âge plus avancé congèlent leur sperme.

Rappelons que les hommes de 40 ans et plus auraient six fois plus souvent des enfants atteints d’autisme que les plus jeunes pères.

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La dépression durant la grossesse liée à la prématurité

Selon la recherche publiée dans l’American Journal of Obstetrics & Gynecology, des chercheursont pu déterminer que plusieurs facteurs pouvaient causer les naissances avant terme, dont la race, l’âge et la dépression.

Bien que d’autres facteurs entrent en ligne de compte, la dépression est une forme sérieuse de stress qui peut affecter la santé du foetus.

De plus, les femmes qui consomment des antidépresseurs sont plus à risque de donner naissance à un bébé prématuré.

Les chercheurs ne savent toutefois pas si un traitement par médicaments ou par thérapie aiderait les femmes dépressives à mettre leur bébé au monde au bon moment.

Les chercheurs croient plutôt qu’une solution pourrait être de continuer à sensibiliser les femmes aux risques que leur dépression comporte pour leur enfant à naître.

Rappelons que des chercheurs de l’Université de Montréal ont démontré qu’une partie du cerveau d’enfants nés d’une mère dépressive, l’amygdale, était plus grosse.

L’amygdale (complexe amygdalien) est un noyau situé dans le lobe temporal. Cette partie du cerveau est reliée à la réponse émotive.

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Les mères de 40 ans et plus font de meilleurs enfants

L’étude de l’University College London et du Birkbeck College avance également que les enfants nés de femmes quadragénaires ont moins de chances d’avoir besoin de soins hospitaliers et d’être victimes d’accidents ou de blessures. Ces mères seraient aussi plus portées que les jeunes à faire vacciner tôt leur bébé.

Adoptant des conversations plus « matures », les enfants des mères de 40 ans et plus auraient un vocabulaire plus riche et diversifié à un âge précoce et obtiendraient des résultats plus élevés à des examens de QI, selon des tests qui ont été effectués auprès de certains d’entre eux jusqu’à l’âge de cinq ans.

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont observé 1100 enfants nés de femmes âgées de 40 ans et plus et 38 000 enfants nés de femmes plus jeunes en Grande-Bretagne, rapporte le Daily Mail.

Pour le Dr Alastair Sutcliffe, ces résultats démontrent du positivisme concernant les grossesses à un âge avancé, qui sont fréquemment pointées du doigt pour leurs risques physiques (infertilité, diabète, etc.), mais jamais valorisées pour leurs effets psychiques.

L’expert croit que les femmes de 40 ans ont de meilleures compétences parentales que les plus jeunes. Selon lui, malgré la fatigue qui les guette, elles peuvent être moins impulsives, plus calmes et mieux équipées avec leur bagage de vie.

Il ajoute que l’attente prolongée vers une grossesse désirée leur permet probablement d’apprécier davantage leur rôle maternel.

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L’âge de la mère et l’autisme

Une étude suédoise du Karolinska Institute et du King’s College à Londres, parue dans l’American Academy of Child and Adolescent Psychiatry, a tenté d’approfondir les causes génétiques potentielles à l’autisme, tout en excluant les facteurs héréditaires et environnementaux.

C’est en divisant en différents groupes d’âge (moins de 20 ans, 24-29 ans, 30-34 ans et 35 ans et plus) les données de sujets participants que les chercheurs se sont aperçus que les femmes âgées de 35 ans et plus étaient 30 % plus susceptibles de donner naissance à un enfant autiste.

Parmi ces bambins, les enfants de sexe masculin avaient plus de chances d’avoir la maladie.

Quant aux jeunes femmes de moins de 20 ans, ce sont celles qui couraient le moins de risque.

Pour arriver à cette conclusion, les données tirées de 16 rapports épidémiologiques qui concernent 8,6 millions de personnes ont été prises en considération. Sur ce nombre, l’analyse a confirmé que 25 687 cas étaient atteints de troubles du spectre autistique.

Bien que l’âge maternel avancé soit associé à un risque accru de l’autisme, le mécanisme qui explique ceci est encore méconnu, avouent les spécialistes.

Mentionnons que d’autres études importantes au sujet de l’autisme ont déjà confirmé que l’âge paternel était un facteur indépendant à prendre également en considération.

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L’amour chez les enfants

À quel âge un bambin peut-il tomber amoureux? Il semblerait que dès la maternelle, une sensation forte peut se produire entre deux petits êtres qui partagent la même classe ou le même autobus…

Trop jeunes, diront certains parents, perplexes devant la situation. Selon un article en ligne du journal Le Parisien, il faut savoir quand prendre les choses à la légère et au sérieux. Selon les divers âges, le quotidien donne des trucs.

Des émotions amoureuses avant l’âge de trois ans, il n’est pas rare d’en voir se traduire sous forme de bisous sur la joue et de main dans la main chez plusieurs bébés. Toutes les techniciennes en service de garde peuvent en témoigner, mais à cet âge, le geste demeure touchant et drôle.

De trois à six ans, l’amour part et revient. En une minute, si une activité plus intéressante que l’amoureux(euse) est proposée, les enfants oublient rapidement pourquoi leur cœur palpite. Toutefois, c’est à 6 ans que le tout devient plus officiel. « Julien est MON amoureux! » est crié dans la cour d’école. Les parents ne doivent pas en faire un plat.

De 6 à 8 ans, place aux larmes et au chagrin. Pour le parent, il ne faut pas se moquer ni se mêler de ce qui ne vous regarde pas. Il faut plutôt être à l’écoute sans forcer votre petit à se confier, car il s’agit peut-être là du premier grand amour. Même s’il n’y a encore rien de charnel, les déceptions et les scénarios tordus de peine d’amour se font déjà bien vivants.

De 9 à 12 ans, c’est le secret absolu. Les baisers sont rares, voire inexistants. Les filles rougissent à la vue de leur âme sœur et partagent leurs émotions dans un journal intime. Les garçons font les durs à cuire et font semblant de ne pas s’intéresser à la gent féminine.

Et arrive l’adolescence où tout rejaillit avec la puberté, les comptes Facebook et la curiosité de la sexualité.

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Le stress augmenterait le risque d’obésité chez les filles

C’est ce qu’une étude publiée dans l’édition du mois de mai de Pediatrics révèle.

L’étude s’est faite sur 1605 enfants de niveau préscolaire. Les experts ont noté différents facteurs de stress, comme les symptômes dépressifs chez la mère, la consommation de substances par celle-ci, l’insécurité à la maison ou encore la violence conjugale.

À l’issue de leur recherche, ils ont découvert que les filles qui vivaient plus d’un de ces facteurs de stress avaient un risque accru d’être obèses à l’âge de cinq ans.

Les fillettes avec plus de deux de ces facteurs étaient encore plus à risque de développer l’obésité.

Cependant, du côté des garçons, aucune donnée significative pouvant relier le stress à l’obésité n’a été relevée par les chercheurs.

Selon les auteurs de l’étude, ces facteurs de stress sont souvent vécus par des familles plus fragiles.

Ils estiment que les adultes qui côtoient des enfants, une fois mis au courant de ces facteurs, pourraient reconnaître plus facilement les enfants à risque et aider à développer des programmes d’intervention.

Rappelons que le diabète de type 2, l’hypertension et l’obésité, qui sont des problèmes qui ne touchaient que les adultes il y a 30 ans, atteignent même les bébés aujourd’hui.

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Le stress augmenterait le risque d’obésité chez les filles

C’est ce qu’une étude publiée dans l’édition du mois de mai de Pediatrics révèle.

L’étude s’est faite sur 1605 enfants de niveau préscolaire. Les experts ont noté différents facteurs de stress, comme les symptômes dépressifs chez la mère, la consommation de substances par celle-ci, l’insécurité à la maison ou encore la violence conjugale.

À l’issue de leur recherche, ils ont découvert que les filles qui vivaient plus d’un de ces facteurs de stress avaient un risque accru d’être obèses à l’âge de cinq ans.

Les fillettes avec plus de deux de ces facteurs étaient encore plus à risque de développer l’obésité.

Cependant, du côté des garçons, aucune donnée significative pouvant relier le stress à l’obésité n’a été relevée par les chercheurs.

Selon les auteurs de l’étude, ces facteurs de stress sont souvent vécus par des familles plus fragiles.

Ils estiment que les adultes qui côtoient des enfants, une fois mis au courant de ces facteurs, pourraient reconnaître plus facilement les enfants à risque et aider à développer des programmes d’intervention.

Rappelons que le diabète de type 2, l’hypertension et l’obésité, qui sont des problèmes qui ne touchaient que les adultes il y a 30 ans, atteignent même les bébés aujourd’hui.

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Jusqu’à quel âge un bébé est-il mignon?

Des psychologues chinois et des chercheurs de l’Université de Toronto se sont posé la question suivante : jusqu’à quel âge l’enfant provoque-t-il une réaction d’attendrissement, et quel effet cette réaction peut-elle avoir sur lui?

Il s’est avéré que leur étude a confirmé que les enfants ne seraient plus considérés comme mignons entre le préscolaire et la maternelle.

Est-ce la perte de leur corps « potelé », de leurs joues croquantes, de leurs grands yeux curieux et de leurs premiers pas amusants qui font en sorte que les adultes de leur entourage les trouvent moins attirants?

Pour arriver à la conclusion que ce sont les visages des plus petits qui font battre le cœur des grands, les chercheurs ont demandé à des adultes d’évaluer l’attractivité des visages d’enfants, de la naissance jusqu’à l’âge de 6 ans.

Il a été démontré que durant les quatre premières années de vie du bébé, alors que c’est le moment où son visage change le plus, les adultes – qu’ils soient parents ou non – seraient portés à cajoler et protéger davantage l’enfant, profitant de chaque instant. Cela aurait d’ailleurs pour effet inconscient d’offrir un meilleur bien-être au petit également.

Par contre, une fois dépassé le cap des 4 ans, les détails jugés auparavant attendrissants commencent alors à être moins visibles, d’où cette différence de réaction chez les adultes, explique-t-on dans la revue Journal of Experimental Child Psychology.

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Un lien entre les défauts génétiques et l’autisme chez l’enfant?

Trois nouvelles études à grande échelle, avec des chercheurs provenant des universités Yale et Harvard, ont mis en évidence l’importance des erreurs dans l’ADN des ovules et des spermatozoïdes comme l’une des causes de l’apparition de l’autisme.

Les résultats des études, publiés dans la revue Nature, démontrent qu’un cas d’autisme sur sept serait dû à ces erreurs.

La croyance générale veut que certaines maladies viennent d’erreurs génétiques présentes dans l’ADN des parents et transmises aux enfants. Toutefois, on parle ici de mutations de novo. Celles-ci apparaissent en premier dans l’ADN de l’enfant et sont causées par des problèmes de spermatozoïdes et d’ovules.

Les chercheurs ont constaté que ces mutations de novo proviennent majoritairement du sperme. Pour quatre mutations provenant du sperme du père, une seule était attribuable à l’ovule de la mère.

Ainsi, plus l’homme est âgé, plus son sperme risque de présenter des anomalies, et plus il a de chances d’engendrer un enfant autiste.

Pour en arriver à ces conclusions, l’ADN de centaines de parents, d’enfants autistes et de leurs frères et sœurs a été analysé.

 « Ces résultats démontrent clairement le potentiel de la technologie de séquençage de l’ADN pour définir les facteurs de risque spécifiques de l’autisme. Nous avons seulement gratté la surface, mais avec la poursuite des efforts de collaboration, ces découvertes génétiques nous montreront les racines biologiques sous-jacentes de l’autisme », a déclaré Mark Daly du Massachusetts General Hospital, un des auteurs.

Rappelons que l’autisme est une réalité 10 fois plus présente qu’il y a 30 ans.