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L’âge joue un rôle dans les traitements de fertilité

Si elle suit un traitement de fertilité avant ses 38 ans, une femme aurait plus de chances de mener sa grossesse à terme.

En fait, en passant d’avant 37 ans à entre 38 et 40 ans, les taux d’avortement spontané, de fausse couche et de perte du fœtus durant le 1er trimestre basculent abruptement. Ils passent respectivement de 8,5 %, 6,8 % et 16,9 % à 13,8 %, 16,6 % et 33,8 %.

Mentionnons que ces chiffres correspondent à un traitement de fertilité particulier, celui-ci consistant en l’extraction d’au moins 11 ovules des ovaires des femmes lors d’une stimulation de cycle ovarien.

Basés sur des données recueillies de 1992 à 2009, ces résultats obtenus par le Centre de médecine reproductive UZ Bruxelles proviennent de 23 354 cycles de stimulation.

Les chercheurs ont présenté leurs découvertes dernièrement lors du congrès annuel de l’European Society of Human Reproduction and Embyology, rapporte Medical News Today.

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La dépression n’a pas d’âge

Une étude controversée nous démontre que des enfants âgés d’à peine trois ans pourraient recevoir un diagnostic de trouble dépressif majeur.

Des chercheurs auraient en effet décelé certains modèles cérébraux chez des enfants dépressifs qui ressemblent beaucoup à ceux d’adultes atteints du même trouble.
 
Cette découverte est des plus surprenante, car on parle ici d’enfants âgés de seulement trois ans. La recherche menée par l’Université de Washington porte à croire, pourtant, que les enfants ont déjà les capacités cognitives et émotionnelles pour vivre une dépression.
 
Les chercheurs ajoutent qu’une dépression en bas âge laisse certaines marques au cerveau. Les enfants dépressifs semblent donc prédisposés à vivre une dépression une nouvelle fois, une fois qu’ils sont adultes.
 
Une analyse hâtive de ces marques cérébrales, soit dès l’âge de quatre ou cinq ans, permettrait une intervention plus rapide auprès des enfants atteints.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dans le Journal of Affective Disorders.

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La morale, une affaire d’âge

Notre réponse à des situations faisant appel à notre morale changerait au cours de la vie en raison de modifications dans nos circuits cérébraux.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Université de Chicago. Leurs résultats sont parus dans Cerebral Cortex.
 
L’expérience a porté sur 127 personnes âgées de 4 à 36 ans. Les outils d’évaluation consistaient en des imageries du cerveau et des mesures optiques ainsi que comportementales.
 
On a remarqué que les réactions à différentes situations correspondaient aux stades de développement du cerveau, c’est-à-dire au fur et à mesure qu’il pouvait faire des jugements de raison.
 
La réponse émotionnelle d’un enfant serait donc plus forte que celle d’un adulte, parce qu’elle précède le jugement.

Adulte comme enfant est donc capable de distinguer un dommage accidentel d’un autre qui serait intentionnel. Toutefois, un enfant aurait plus tendance à penser que quelqu’un devrait subir une punition dans l’un ou l’autre cas, si un objet est endommagé.

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Salma Hayek récolte encore des rôles à Hollywood

Salma Hayek, l’actrice, réalisatrice et productrice de 44 ans, confie à Starpulse qu’elle n’a pas peur de vieillir : « À Hollywood, ils m’ont fait peur. On m’a dit qu’après 30 ans, ce serait fini pour moi ». Comme ce n’est manifestement pas le cas, l’actrice se sent privilégiée.

Même si Salma Hayek ressent les effets physiques du vieillissement, notamment le port de lunettes pour lire ses textes, elle affirme être fière de les porter.
 
Lors de son passage à Cannes pour la sortie du nouveau film d’animation Puss in Boots, dans lequel elle prête sa voix à la chatte Kitty, l’actrice mexicaine était vêtue d’une robe de cuir rouge qui lui seyait à la perfection.
 
Elle affirme ne jamais avoir tant travaillé. « Il s’agit du meilleur moment de ma carrière », confiait-elle.
 
Selon Hayek, l’âge a de l’importance uniquement lorsque ce que l’on fait ne nous stimule plus. Pour l’instant, ce n’est pas son cas et elle n’est pas prête à jeter la serviette, même si les rôles ne sont pas toujours devant la caméra.

Salma Hayek prêtera sa voix au personnage de Cutlass Liz dans le film d’animation The Pirates! Band of Misfits. La production, signée Aardman Animations pour Sony Pictures Animation, sera sur nos écrans en mars 2012.

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N’attendez pas trop avant de concevoir un enfant

Le journal Obstetrician and Gynaecologist rapporte que les experts mettent en garde les couples de ne pas trop tarder avant de concevoir un enfant.
 
À 35 ans, les femmes ont six fois plus de difficultés à concevoir qu’à 25 ans. Même chose chez les hommes; leur fertilité diminue après 25 ans. En moyenne, à 40 ans, cela prend deux ans avant que leur conjointe tombe enceinte, même si cette dernière est dans la vingtaine.
 
De plus, à 40 ans, les risques pour la mère et le bébé sont beaucoup plus grands, tant durant la grossesse qu’à l’accouchement. Les femmes peuvent souffrir de prééclampsie, de grossesse extra-utérine, de fausses couches ou avoir un bébé mort-né. Si elles donnent naissance à un enfant, celui-ci peut être prématuré, plus petit ou il peut souffrir du syndrome de Down ou d’autres maladies génétiques.
Selon les résultats de l’étude, les experts croient que les risques de grossesses tardives devraient être enseignés aux jeunes, tout comme on le fait avec l’importance d’avoir des relations sexuelles protégées.
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Les effets de l’éducation sur la santé

Des programmes d’éducation précoce auraient des effets bénéfiques sur la santé future, tant au point de vue physique que comportemental.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Université de Columbia à la suite d’une étude longitudinale ayant porté sur 111 enfants à partir des années 70 jusqu’à ce qu’ils aient 21 ans.

Parue dans l’American Journal of Public Health, elle la première du genre à non seulement démontrer les effets de l’éducation en bas âge sur le comportement, mais aussi sur la santé en général.

Pour mesurer l’état de santé des jeunes participants, on a ciblé trois paramètres. Il s’agissait des problèmes de santé à l’âge de 15 ans, une mesure de la dépression et le nombre d’hospitalisations dans la dernière année.

Selon les chercheurs de cette récente recherche, les effets de l’éducation précoce sur la santé étaient notables.

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Les filles, à l’école plus tôt pour contrer l’obésité?

Selon une étude récemment parue dans le Journal of Adolescent Health, on aurait tout intérêt à faire entrer les filles à l’école dès que possible.

C’est que ces mêmes enfants auraient tendance à ne pas souffrir d’obésité à l’adolescence, selon une analyse de données portant sur près de 6 000 filles et réalisée par des chercheurs de l’École de médecine de l’Université de Rochester.

Un tel lien n’a pas été remarqué chez les garçons. Ce fut pourtant le cas chez les filles, lesquelles souffraient plus de surpoids une fois adolescentes si elles avaient commencé l’école plus tard.

Une explication possible serait que les filles qui entrent à l’école à un plus jeune âge se retrouveraient avec des copines plus vieilles qu’elles. Ces dernières auraient une influence sur leur poids, ayant des préoccupations quant à leur silhouette et leur apparence.

De plus, ces mêmes fillettes seraient exposées plus tôt aux différents préceptes de la bonne alimentation et aux différents programmes de mise en forme offerts.

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L’entraînement peut être bénéfique pour les enfants

On a longtemps cru que la levée d’haltères nuisait à la croissance des enfants, en plus de pouvoir leur causer des torts aux jointures et des blessures physiques.

Pourtant, une étude basée sur la littérature scientifique sportive des 60 dernières années, à propos du sport chez les 6 à 18 ans, prouve maintenant le contraire, apprenons-nous dans Pediatrics.

Il semble donc que ce type d’entraînement pourrait même être bénéfique pour les enfants et les adolescents, si les exercices sont adaptés à leur groupe d’âge et qu’ils les pratiquent avec l’encadrement d’un adulte.

Le système nerveux serait donc amélioré grâce à l’entraînement, provoquant ainsi un gain de masse musculaire plus aisé une fois l’âge adulte atteint.

Finalement, la constance de l’exercice semble être la réponse : les enfants qui s’entraînent deux fois par semaine connaissent une nette augmentation de leur force physique que ceux qui ne le font qu’une seule fois.

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L’écart d’âge entre les époux réduit l’espérance de vie des femmes

Le mariage semble être plus bénéfique aux hommes. Récemment, on mentionnait que les hommes plus vieux que leur épouse voyaient leur espérance de vie être allongée de 11 %. Pourtant, la tendance est tout autre chez les femmes.
 
Une équipe de l’Institut Max Planck pour la recherche démographique en Allemagne publie les résultats d’une étude dans le journal Demography.
 
Selon eux, une femme qui a sept à neuf ans de plus que son époux diminue son espérance de vie de 20 % et le résultat est le même si la femme est plus jeune que son mari.
 
Ceci est tout le contraire de ce que croyaient les spécialistes. Ils pensaient qu’avec un partenaire plus jeune, les personnes vivaient plus longtemps, mais ce n’est pas le cas et les causes ne sont pas claires.
 
Pour les couples où la femme est plus âgée, on croit qu’une des raisons qui pourrait expliquer une espérance de vie plus courte chez la femme serait que ce genre d’union va à l’encontre des normes sociales, donc il y aurait plus de pression de la part de l’entourage sur un tel mariage.
 
L’idéal pour une femme est de choisir un partenaire du même âge. Quoi qu’il en soit, se marier est en général plus bénéfique que de ne pas le faire. Une étude antérieure a révélé que les personnes mariées vivaient plus longtemps que celles qui ne l’étaient pas, et ce, tous sexes confondus.
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L’amour serait plus fort en vieillissant

Des psychologues de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) se sont penchés sur les relations amoureuses des personnes âgées.
 
Sur l’échelle Spanier, qui mesure la satisfaction conjugale, la moyenne nationale est de 114 points. Or, les personnes de 65 ans et plus obtiennent environ 120 points.
 
Cette échelle tient compte de la satisfaction sexuelle, de la communication au sein du couple, de sa cohésion, ainsi que du fonctionnement général de l’union.
 
Le fait est que pour certains couples, la retraite signifie une deuxième lune de miel. Les conjoints ont plus de temps à passer ensemble, à se redécouvrir, à pratiquer des activités. Chez d’autres couples, cela provoque davantage une rupture.
 
Ce bon résultat à l’échelle Spanier pourrait aussi s’expliquer par le fait que les couples ayant des difficultés se sont simplement séparés et ceux qui restent sont parvenus à résister au temps.
 
Les psychologues notent aussi que dans les dernières années, il y a une augmentation du taux de divorce chez les aînés. Quasi inexistants auparavant, près de 6 % des 70 ans et plus se séparent maintenant, notamment en raison de coup de foudre extraconjugal.