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L’autisme des bébés est influencé par l’âge de la mère

Contrairement à une précédente étude qui disait que l’autisme des enfants était lié à l’âge du père, c’est plutôt celui de la mère qui est déterminant pour ce trouble envahissant du développement.
 
L’âge du père n’aurait aucune incidence sur l’autisme de l’enfant, excepté si la femme a moins de 30 ans.
 
Une étude américaine dirigée par la Dre Janie Shelton démontre que les risques d’autisme augmentent avec l’âge de la mère lors de la conception de l’enfant.
 
Après avoir analysé 4,9 millions de naissances sur dix ans, on conclut que les risques de donner naissance à un enfant autiste augmentent de 18 % pour chaque tranche de cinq ans. Ainsi, une femme de 40 ans a 50 % plus de chances d’avoir un enfant autiste qu’une femme âgée de 25 à 29 ans.
 
Rappelons que l’autisme se définit par un manque d’attention et cause des problèmes dans les relations sociales. Ce trouble peut aussi provoquer des comportements répétitifs et stéréotypés. On estime qu’un enfant sur 165 sera touché par l’autisme.
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L’autisme, lié à l’âge de la mère

Selon une équipe de chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université de l’Utah, il y a davantage de cas d’autisme lorsque le bébé se présentait par le siège lors de l’accouchement ou quand la mère était âgée de 35 ans et plus lors de la grossesse.

« Un nouveau-né qui se présente par le siège est deux fois plus à risque de développer l’autisme, comparé aux enfants qui se présentent par la tête », a précisé l’un des auteurs, la Dre Deborah Bilder.

Quant à l’âge de la mère pendant la gestation, il fait augmenter de 1,6 fois le risque d’être touché par ce trouble envahissant du développement.

« Le risque d’autisme chez l’enfant est tout de même relativement mince. Il est inutile pour les futures mères de 34 ans et plus de s’inquiéter », a voulu rassurer Mme Bilder, dont l’étude est publiée dans Pediatrics.

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Les vertus d’un médicament gastro-intestinal

Un médicament mis au point il y a plus de 80 ans pour le traitement de la diarrhée et d’autres troubles gastro-intestinaux, le clioquinol, aurait des vertus anti-vieillissement, selon des chercheurs de l’Université McGill à Montréal.

En agissant sur la protéine CLK-1, appelée familièrement « clock-1 », le médicament semble ralentir la progression des maladies d’Alzheimer, de Parkinson et de Huntingdon.

« Le clioquinol est un puissant inhibiteur de CLK-1. Comme la protéine CLK-1 influence la longévité chez les invertébrés et les souris et comme il s’agit de trois maladies neurodégénératives liées à l’âge, nous avons formulé l’hypothèse que le clioquinol a un effet sur celles-ci parce qu’il ralentit le processus du vieillissement », a expliqué l’auteur derrière ces résultats, le Dr Siegfried Hekimi.

Ce dernier apporte tout de même un peu de nuances sur les effets du clioquinol sur le vieillissement. « Nous ne souhaitons pas que les gens commencent à expérimenter le produit sur eux-mêmes. Le clioquinol présente un potentiel de toxicité élevé si on en fait un emploi abusif; des recherches plus poussées devront être réalisées », a-t-il conclu.