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Allaitement : réduisez la caféine et le chocolat

Selon une experte de l’allaitement maternel, Dre Ruth Lawrence, rédactrice en chef du Breastfeeding Medicine Journal, consommer des boissons gazeuses, du café et du thé, et même manger du chocolat, augmente le niveau du stimulant dans le sang des bébés.

Les petits qui boivent du lait maternel contenant une caféine quelconque peuvent devenir plus agités, éveillés et irritables que les autres.

En effet, les bébés ont des difficultés à décomposer et éliminer la caféine de leur corps, en particulier dans les deux premières semaines de vie.

« La mère doit essayer d’annuler les excès de caféine », dit la spécialiste.

En médecine générale, il est conseillé aux mères de ne pas dépasser 300 mg de caféine, soit l’équivalent de trois tasses de café par jour. « Mais encore là, le résultat peut différer d’une femme à l’autre. Si vous avez des problèmes avec votre bébé que vous allaitez, songez à réduire ou éliminer la caféine en premier », précise Dre Lawrence.

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L’alcool perturbe le sommeil

Si vous croyez que boire de l’alcool avant de vous coucher vous aidera à avoir une bonne qualité de sommeil, vous avez tort.
 
Une étude dévoilée par le journal Alcoholism: Clinical and Experimental Research affirme que l’alcool vous permettra effectivement de vous endormir plus rapidement et peut-être de bien dormir durant la moitié de la nuit, mais vous pouvez ensuite souffrir d’insomnie, avoir un sommeil agité et vous réveiller beaucoup plus tôt que prévu.
 
Selon l’équipe de l’Université d’Akita au Japon, l’alcool avant d’aller dormir peut également causer des effets nocifs sur le système digestif et entraîner des maladies.
 
Donc, pour mieux dormir, mangez bien, faites de l’exercice et établissez une routine qui prépare votre corps à la détente et au sommeil qui suivra.

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Les neuroleptiques et antidépresseurs ne sont d’aucune aide pour la démence

Les études sur la démence et la maladie d’Alzheimer se font plus nombreuses ces derniers jours avec la Conférence internationale sur la maladie d’Alzheimer qui se tient en ce moment à Paris.
 
Deux études publiées dans des revues médicales britanniques pointent du doigt l’usage des neuroleptiques et antidépresseurs pour traiter la démence.
 
La première étude, dévoilée par The Lancet, rapporte que le professeur Sube Banerjie du King’s College de Londres affirme que deux des antidépresseurs les plus prescrits pour la démence n’apportent aucun bienfaits, mais plutôt des effets secondaires. Ce même professeur avait, en 2009, pointé du doigt l’usage abusif des neuroleptiques dans la maladie d’Alzheimer.
 
« Les deux classes d’antidépresseurs les plus prescrits pour la dépression dans la maladie d’Alzheimer ne sont pas plus efficaces qu’un placebo. Les médecins doivent repenser le traitement des patients Alzheimer dépressifs et reconsidérer leurs habitudes de prescriptions d’antidépresseurs », dit-il.
 
Une autre étude publiée dans le British Medical Journal démontre que les antidouleurs, comme le paracétamol, seraient beaucoup plus efficaces que les neuroleptiques pour calmer les patients déments agités, souvent en raison de leur douleur qu’ils n’arrivent plus à exprimer.
 
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Détecter les signes du stress chez l’enfant

Il est important de déceler les symptômes du stress chez notre enfant, car cela peut cacher d’autres problèmes latents.

Contrairement à ce que l’on pense, les enfants souffrent autant du stress que les adultes. Les signes en sont simplement différents.

C’est pourquoi l’Académie américaine de pédiatrie a résumé les indices majeurs à remarquer chez notre enfant afin de déceler sa souffrance. Ils ont été publiés dernièrement sur HealthDay News.

Des douleurs physiques comme les maux de tête et de ventre sont de bons indicateurs que quelque chose ne va pas. On recommande aussi aux parents d’être attentifs si leur enfant ressent une grande fatigue, vit de l’anxiété ou si, au contraire, il est plus agité que d’habitude.

On doit aussi investiguer si notre enfant devient plus agressif et s’il perd soudainement son intérêt pour le sport ou une autre activité qu’il aimait beaucoup auparavant.

Ces changements dans son comportement peuvent aussi consister en du vol à l’étalage ou des mensonges.

Il est aussi possible que l’enfant entre dans un mutisme complet ou qu’il soit beaucoup moins volubile qu’avant. Il s’agit d’un signe de dépression, donc que le problème est assez avancé.

À l’observation de ces symptômes, il est important d’en parler avec son enfant et de consulter rapidement un médecin. Vivre du stress sur une longue période peut avoir des répercussions importantes sur la santé.

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Maîtrise de soi de l’enfant : le meilleur indicateur?

Selon des chercheurs de l’Université Duke en Caroline du Nord, certains paramètres comportementaux de l’enfant prévoiraient sa vie adulte.

Dans cette étude, 1 000 enfants de la Nouvelle-Zélande on été suivis pendant près de 30 ans.

Les participants ont été évalués par des adultes s’occupant d’eux, comme leurs parents et leurs enseignants notamment. Ils se sont aussi évalués eux-mêmes.

Parmi les critères de l’évaluation, on devait relever des signes d’hyperactivité, d’incapacité à maîtriser sa colère, de manque de motivation, d’agitation et d’impulsivité, par exemple.

Selon les corrélations observées dans cette recherche, les enfants qui ont accusé les plus faibles résultats ont plus souvent eu des problèmes respiratoires, d’hypertension artérielle et de cholestérol ainsi que des MTS à l’âge adulte.

Il semble même que ces enfants deviendraient plus fréquemment des parents seuls et qu’ils auraient plus de problèmes d’alcool, de drogue et judiciaires.

Les résultats de cette étude sont parus dernièrement dans le Proceedings of the National Academy of Sciences.

Le problème à la source relevé dans cette recherche semble être la maîtrise de soi, un facteur qui peut facilement être amélioré.