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Denise Richards se libère de tous soupçons

L’actrice de 42 ans, Denise Richards, était la cible d’accusations de violence physique et de négligence envers ses enfants et les jumeaux de son ex, Charlie Sheen, dont elle a eu la garde temporaire.

La cour avait récemment redonné le droit de garde à Brooke Mueller, après sa sortie du centre de désintoxication. Les jumeaux ont dès lors montré des signes d’agressivité envers Richards et ses propres enfants, ce qui l’a poussée à abandonner la garde.

Une lettre de l’actrice avait même été adressée en ce sens auprès des Services sociaux. Elle blâmait Mueller et son frère Scott pour le changement de comportement des garçons.

Selon Radar Online, c’est la seconde fois que la mère de Bob et Max retourne les accusations contre Richards. « Les officiels ont rapidement compris que les allégations de Brooke n’étaient pas fondées, et ont conclu que le dossier ne méritait pas la poursuite de l’enquête. »

Pendant que Denise Richards doit se défendre contre Brooke Mueller, Charlie Sheen file le parfait bonheur avec l’ex-vedette porno Brett Rossi, 24 ans, qu’il considère depuis peu comme la femme de sa vie.

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Comment réagir à un enfant qui réplique

Comme le rappelle parentsociety.com, il faut être constant lorsqu’on veut régler cette problématique. Il faut à tout prix éviter d’engager une joute verbale avec l’enfant.

En public

Si la situation se produit ailleurs qu’en privé, par exemple chez des amis ou même au magasin,  respirez et indiquez à l’enfant que vous allez avoir une discussion en arrivant à la maison.

À quel moment se questionner

Ne passez pas trop de temps à vous demander pourquoi il a réagi ainsi, sauf dans le cas où le comportement est répétitif ou survient toujours dans une situation précise. Il se peut qu’un problème sous-jacent, comme le stress ou de l’intimidation à l’école, soit la cause première.

Fais ce que je dis, pas ce que je fais

Ne perdez pas toute crédibilité en réprimandant les répliques et comportements agressifs si vous agissez vous-même de la sorte. Corrigez votre comportement et cessez de piquer des colères avant de dire à votre enfant comment se comporter.

Expliquez aux plus jeunes

Punir un enfant pour un mauvais comportement, un mauvais agissement ou des paroles désobligeantes doit être expliqué aux plus jeunes. Ils doivent comprendre ce qu’ils ont fait pour mériter la punition, et quel est le comportement à adopter la prochaine fois pour éviter la réprimande.

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La fessée : La violence engendre la criminalité?

Cette affirmation peut sembler extrême, mais il s’agit des résultats obtenus à la suite d’une étude relative aux conséquences de la fessée sur la vie future d’un enfant.

Les chercheurs ont décortiqué les tendances criminelles d’étudiants universitaires dans 15 pays, en utilisant 9 « unités de mesure » criminelles. On vérifiait notamment les tendances à la criminalité, si l’étudiant avait agressé l’un ou l’autre de ses parents dans les années précédentes, ainsi que tout autre personne, ami, partenaire, etc.

Les facteurs tenus en compte dans l’enfance comprenaient entre autres l’éducation parentale, les mesures correctives utilisées, ainsi que l’approche positive et aimante des parents.

« Beaucoup de parents et psychologues croient que si la fessée est donnée dans un cadre positif, par des parents aimants, il n’y aura pas de conséquence négative chez l’enfant », rapporte Straus, l’un des chercheurs. Cette croyance est fausse.

En fait, selon les résultats rapportés, Science World Report affirme que même si l’approche positive du parent diminuait la prédominance criminelle de l’étudiant, chaque cas rapportant avoir eu droit à la fessée était relié à certains comportements criminels.

Dans les cas où les 2 parents avaient donné la fessée, la prédisposition criminelle augmentait considérablement dans 8 des 9 unités de mesure considérées.

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Le somnambulisme comporte ses dangers

Le somnambulisme, ou le fait de marcher ou d’évoluer durant l’état de sommeil, n’est pas toujours un phénomène bénin. S’il peut parfois être sans risque, il comporte aussi son lot de dangers.

C’est ce que l’on apprend d’une étude sur le sujet, rapportée par The National Library of Medicine, qui affirme que plusieurs incidents sont rapportés par des gens aux prises avec ce trouble du sommeil.

Du nombre des gens qui marchent en dormant,  58 % en moyenne auraient expérimenté des comportements violents ou agressifs. On craint donc pour l’intégrité physique de ces patients, en plus de celle de leurs proches, qui ne se rendent pas toujours compte de ces comportements nocturnes.

Outre ces conséquences potentiellement dangereuses, les somnambules sont souvent victimes de sévères fatigues durant le jour et sont souvent portés vers la dépression.

Pour contrer le phénomène, les experts français en tête de l’étude conseillent de se documenter sur le sujet et d’éviter les déclencheurs de ce trouble, comme de mauvaises habitudes de sommeil ou un stress trop important.

On conseille vivement à ces patients de bien verrouiller les portes et de même dormir au niveau du sol, s’il le faut. Installer une cloche aux portes n’est pas une mauvaise idée, puisque cela pourrait réveiller le dormeur qui tente d’en franchir une.

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Plus de fruits et légumes abaisseraient les risques de cancer du sein

La réputation des fruits et légumes en matière de santé et nutrition n’est plus à faire, mais voilà que The National Library of Medicine propose une nouvelle étude qui parle d’une vertu bien précise de ces aliments.

Il s’agit du cancer du sein, plus particulièrement dans certaines de ses formes les plus agressives, qui pourraient voir ses chances de se développer baisser dramatiquement chez les femmes qui consomment régulièrement des fruits et des légumes.

Bien que les chercheurs précisent qu’ils ne sont pas parvenus à prouver directement une cause à effet, et que ce comportement ne ferait pas baisser les chances de développer un cancer du sein en général, ils sont convaincus qu’il est tout de même efficace contre les formes les plus difficiles à traiter de la maladie.

Ces formes, notamment, sont définies comme des « cancers du sein de type récepteur œstrogène négatif ». Ces tumeurs ne réagissent donc pas au flux d’œstrogène chez la femme et compteraient pour 15 à 20 % de tous les cancers du sein.

Les chercheurs du département de nutrition de Harvard avancent que les femmes qui mangent quotidiennement des fruits et légumes présentent des statistiques inférieures en ce qui a trait à ce type de cancer que leurs consœurs qui n’en consomment pas ou peu.

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Discuter de la fin de vie mènerait à des traitements moins agressifs

Les patients en phase terminale, comme ceux atteints du cancer, seront moins enclins à opter pour des traitements agressifs en fin de vie s’ils ont des discussions ouvertes sur le sujet.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui reprend les propos d’une étude récente sur le sujet. On parle entre autres de l’importance du lien patient-médecin, et de celle de bien communiquer.

Ainsi, plusieurs patients en fin de vie laisseront tomber les traitements qui n’ont pour but que de leur ajouter quelques jours, mais qui n’améliorent pas leur situation ou qui ne leur procurent pas de soulagement réel. De telles méthodes acharnées sont par ailleurs onéreuses.

La Dre Jennifer Mack, auteure principale de l’étude et médecin au Dana-Farber Cancer Institute de Boston, explique : « Les soins agressifs individuels en fin de vie ne sont pas nécessairement mauvais. C’est juste que la plupart des patients qui acceptent le fait qu’ils sont en train de mourir ne veulent souvent plus recevoir ce type de traitement. Nous devrions nous assurer que de bonnes discussions sur le sujet ont lieu rapidement après un diagnostic de cancer incurable ».

L’étude analysait les cas de 1231 patients en phase terminale et note que les discussions à cet effet ont souvent lieu trop tard.

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Les antioxydants encore en vedette dans la lutte contre le cancer

Les antioxydants se retrouvent encore cités dans une nouvelle étude, eux qui sont déjà abondamment mis en vedette dans la lutte contre le cancer, cette fois en lien avec le cancer de la prostate.

Ces recherches tendent à démontrer que les hommes qui consomment des fruits, des légumes et du thé (et les antioxydants qu’ils contiennent) sont moins à risque de développer la forme la plus agressive de cancer de la prostate.

Les taux de survie seraient donc augmentés dans le cas d’un diagnostic de cancer de la prostate, rapporte www.nlm.nih.gov. Cependant, de l’aveu même des chercheurs, ces résultats sont partiels et limités. Il faudra donc attendre avant de pouvoir conclure qu’un régime alimentaire à base de fruits, légumes et autres végétaux protège vraiment contre le cancer.

Par contre, à la suite de l’examen de 1900 patients atteints, ceux qui avaient une meilleure diète et consommaient des fruits et légumes (et/ou du thé) avant l’apparition de la maladie ont donc réduit de 25 % leurs chances de développer la forme la plus ravageuse du cancer de la prostate.

« Nous voyons bien que même si cela ne vous prévient pas du cancer, les antioxydants permettent de se protéger de sa version la plus agressive », conclut la professeure Susan Steck de l’University of South Carolina’s Arnold School of Public Health.

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Fécondation in vitro : les médicaments utilisés peuvent-ils causer la mort de la mère?

De plus en plus de preuves démontrent que la stimulation de la production d’ovules par le biais de forts médicaments peut provoquer des anomalies dans les embryons et nuire à la santé de la mère, rapporte le Daily Mail.

Par la prise de ces médicaments, la femme court un risque accru de développer un syndrome de l’hyperstimulation ovarienne (SHO), une maladie rare et potentiellement mortelle qui peut aussi causer de l’insuffisance rénale et de graves problèmes respiratoires.

Le SHO est désormais l’une des plus grandes causes de mortalité maternelle en Angleterre et au Pays de Galles. Entre 1991 et 2007, 30 000 cas de cette maladie ont été enregistrés au Royaume-Uni, affirmait Geeta Nargund, professeure et chef du département de procréation médicalement assistée de l’hôpital St George à Londres, lors d’une conférence annuelle à Copenhague.

Selon elle, le Royaume-Uni, comme bien d’autres endroits dans le monde où la technique de fécondation in vitro est « agressive », devrait s’inspirer de pays comme la Hollande, la France et la Belgique qui adoptent une technique plus « douce » consistant à utiliser des médicaments moins forts.

Cette méthode peut réduire légèrement les chances de tomber enceinte, mais elle est moins dangereuse pour la santé et permet de mieux récupérer après les traitements.

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La perception des autres enfants

On lit dans le Journal of Genetic Psychology les résultats d’une fascinante étude sur la perception que des enfants peuvent avoir de leurs pairs. Il semble que si un autre enfant a des caractéristiques qu’il ne peut changer, les autres auront plus d’empathie pour lui.

C’est ce que l’on a remarqué en questionnant 137 enfants de la 3e année du primaire à la 2e année du secondaire. On a demandé aux jeunes de répondre quant à des situations hypothétiques impliquant un élève qui était soit pauvre, mauvais dans les sports, obèse (en surpoids important), très agressif, extrêmement timide ou présentant des symptômes du TDAH.

On a ainsi relevé que les enfants étaient portés à avoir moins d’empathie envers ceux qui avaient des caractéristiques qu’ils pouvaient changer, comme être obèse ou agressif. Ils tendaient à donner le tort de ces traits aux enfants eux-mêmes, alors qu’ils dénotaient un manque de motivation de leur part à les changer.

L’attribution de la faute semble donc très importante pour les enfants quant à leur attitude, et elle semble anticiper leurs réactions quant aux autres.

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Les enfants s’habituent-ils à la violence?

Au fil des recherches, on se contredit sur les jeux vidéo et la violence qu’ils présentent. Cette fois, des chercheurs de l’Université du Missouri parlent de l’habitude à la violence que peut entraîner ce type d’activité.

Ils abordent en fait la question de la montée de l’agressivité par ces jeux d’un autre côté. Ils ont remarqué chez des joueurs de jeux vidéo violents que leur cerveau présentait une moins grande réponse à la violence.
 
C’est finalement cette plus faible réaction cérébrale qui mènerait à un comportement plus agressif. Il y a donc lieu de se questionner quant à l’usage de ces divertissements chez les enfants.
 
En ce moment, on évalue que les enfants à l’école primaire passent en moyenne plus de 40 heures à jouer sur une console de jeux vidéo. Il s’agit là de l’activité qu’ils font le plus, après le temps passé à dormir.

La recherche en question comprenait 70 participants. Les résultats complets sont parus dans le Journal of Experimental Social Psychology.