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La mauvaise humeur augmente les risques d’AVC

Selon des chercheurs de l’Université du Minnesota, les gens stressés, agressifs ou déprimés courent autant de risques que les personnes qui fument, souffrent d’un taux élevé de cholestérol ou de tension artérielle de développer des accidents vasculaires cérébraux et des accidents ischémiques transitoires (AIT) (ou blocage temporaire du flux sanguin vers le cerveau) indique Santé Log.

Selon Susan Everson-Rose, professeure agrégée de médecine à l’Université du Minnesota et auteure principale, la population devrait – pour diminuer les risques – apprendre à s’adapter positivement à certaines situations, notamment le stress lié aux problèmes de santé personnels, aux problèmes de santé des proches, au travail, aux relations et à l’argent.

Publiés dans la revue Stroke de l’American Heart Association, les résultats de l’analyse effectuée auprès de 6700 candidats âgés de 45 à 84 ans pendant une période de 8 à 11 ans démontrent que des symptômes dépressifs élevés peuvent augmenter de 86 % les risques d’AVC ou d’AIT.

Quant au stress chronique, les chances passent à 59 % d’AVC ou d’AIT. Ces dernières seraient multipliées par deux lorsqu’il y a signes d’agressivité ou d’hostilité élevés.

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Intervention chez l’enfant, moins d’agressivité à l’âge adulte

La recherche a débuté avec une équipe dirigée par le psychologue et scientifique Justin Carré de l’Université Nipissing en Ontario, au Canada. Elle a été publiée dans la revue Psychological Science.

Le programme Fast Track enseigne des aptitudes cognitives sociales aux enfants, telles que la régulation émotionnelle et la résolution de problèmes sociaux. Les résultats ont démontré une diminution de l’agressivité et du comportement antisocial chez les enfants et adolescents.

La raison, selon Medical News Today, réside dans l’altération d’un mécanisme biologique spécifique. Celui-ci étant lié à la modification de la réactivité de la testostérone à la provocation sociale.

En tout, 63 candidats ont participé à cette étude. Ils ont été choisis dans différentes écoles à Dunham, en Caroline du Nord. Tous des hommes afro-américains, ils étaient âgés de 5 à 17 ans au début de la recherche. La moitié d’entre eux a profité du programme Fast Track.

Huit ans après la première intervention, les spécialistes ont déterminé le niveau d’agressivité des candidats à l’aide d’un jeu. Il s’est avéré que ceux qui avaient reçu l’enseignement Fast Track présentaient moins de testostérone, et donc moins d’agressivité.

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Les jeunes qui font du bénévolat sont moins attirés par la délinquance

Non seulement préfèrent-ils les amis sur le droit chemin, mais ils sont même moins sujets à développer des troubles comportementaux.

L’étude effectuée par l’équipe d’experts en développement humain de l’Université du Missouri met en lumière les activités prosociales directement liées à la diminution de comportement antisocial.

Ce sont 650 adolescents qui ont été observés à Valence, en Espagne, par Gustavo Carlo et ses collègues. On évaluait le comportement prosocial, l’affiliation aux camarades peu recommandables et à leur tendance à la délinquance et l’agressivité.

Sur les 6 types de comportements prosociaux mesurés, seulement deux d’entre eux, l’altruisme et la conformité, contribuaient réellement à la diminution de troubles comportementaux et de violence.

Carlo explique que la conformité est reliée au respect de l’autorité et à la conformité sociale, alors que les comportements altruistes constituent de bonnes actions envers autrui, sans attente de récompense.

Comme l’indique Medical News Today, pour Gustavo Carlo, il est clair que ces informations seront utiles aux différents intervenants auprès des jeunes qui nécessitent un suivi pour délinquance et/ou agressivité.

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Puberté précoce reliée à l’agressivité chez les jeunes filles

Ce sont des chercheurs de l’Université d’Alabama à Birmingham qui sont arrivés à cette conclusion.

« La délinquance et l’agressivité placent les adolescents dans des situations négatives pour leur futur, incluant un faible niveau d’éducation, la consommation de drogue et d’alcool, la dépression et des problèmes relationnels », explique Sylvie Mrug, responsable de la recherche.

La puberté précoce chez les jeunes filles a déjà été reliée à différentes problématiques lors de précédentes recherches. Notamment, l’obésité, une plus petite stature, une vie sexuelle active précoce, un niveau de stress plus élevé, des troubles comportementaux et un risque un peu plus élevé de cancer du sein plus tard.

Les chercheurs ont découvert que bien que le niveau d’agressivité physique diminue au-delà de 16 ans, le comportement délinquant, lui, persiste.

Pour l’étude, les spécialistes ont interrogé 2600 adolescentes et leurs parents à 3 différentes périodes entre 11 et 16 ans. Il était également question d’influence de la part des meilleures amies, si celles-ci avaient des comportements défiant l’autorité, le respect et à tendance agressive.

Le détail de la recherche a été publié dans la revue Pediatrics.

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La fessée reliée à des problèmes d’apprentissage et de comportement

Même si les méthodes disciplinaires ont changé, certains parents prônent encore le châtiment corporel. Cependant, une nouvelle étude révèle que la fessée pourrait être associée à un retard d’apprentissage et à la présence d’agressivité.

Ce sont 1933 parents qui ont été interrogés par l’équipe du Dr Michael J. MacKenzie de la Colombia University School of Social Work. Leurs enfants avaient à l’époque environ 3 ans.

Ils ont été interrogés à nouveau lorsque les enfants avaient 5 ans, afin de déterminer la fréquence des épisodes de fessée.

Lorsque les enfants avaient atteint l’âge de 9 ans, ils étaient directement interrogés et devaient répondre à plus de 50 questions. Celles-ci déterminaient le niveau d’agressivité et la tendance à briser les règles de conduite. Les chercheurs évaluaient également l’étendue de leur vocabulaire.

Comme l’a mentionné MacKenzie, « les effets de la fessée perdurent. Ce n’est pas un problème que l’on peut éliminer du revers de la main ».

Les résultats ont démontré que les enfants qui recevaient la fessée plus de 2 fois par semaine étaient plus en difficulté que les autres, notamment en ce qui a trait au développement cognitif, au vocabulaire et à l’agressivité.

Science World Report révèle que 23 pays ont déjà banni le châtiment corporel par l’établissement d’une loi.

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Tabagisme passif et l’agressivité chez l’enfant

Le site Psychoenfants.com publie un article concernant les effets du tabagisme passif sur le comportement des jeunes.

La fumée secondaire ayant une plus grande concentration de polluants que celle inhalée par les fumeurs, c’est elle qui a été mise de l’avant dans cette recherche.

Linda Pagani et Caroline Fitzpatick de l’Université de Montréal ont lancé un sérieux cri d’alarme à la suite de leur recherche sur le sujet. L’étude menée par les deux femmes a analysé 2055 enfants canadiens exposés à la fumée de cigarette, de leur naissance jusqu’à l’âge de 10 ans.

Nous savons depuis longtemps que le tabagisme passif est nocif pour les non-fumeurs, adultes et enfants. Elle est mauvaise pour la santé physique, et les résultats de cette recherche ont démontré qu’une exposition à long terme ou temporaire à la fumée secondaire serait bel et bien liée à des comportements agressifs et antisociaux chez les enfants.

Les chercheuses sont même arrivées à prédire l’agressivité et l’anti-sociabilité des enfants uniquement par ce lien. C’est-à-dire que les troubles comportementaux étaient présents même s’ils n’étaient exposés que pendant la grossesse ou encore s’ils ne venaient pas d’un milieu agressif ou violent.

Le tabagisme passif est donc pointé du doigt directement comme étant une des causes principales de ces troubles comportementaux.

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Une psychologue suggère le concept de colère collective

Sommes-nous plus en colère que jamais? Sommes-nous victimes de la période la plus colérique de l’histoire de l’humanité?

C’est ce que semblent croire plusieurs spécialistes, dont des psychologues qui expliquent comment le monde moderne et tout ce qui l’entoure nous rendraient de plus en plus frustrés et colériques, quotidiennement.

Ces conclusions, rapportées par le Daily Mail (UK), sont initialement celles de la Dre Sandi Mann, de l’Université du Lancashire, qui avance que les nombreuses sources de stress connues commencent à sérieusement à affecter le moral collectif.

Pénuries de médecins ou problèmes en santé, bouchons de circulation de plus en plus gigantesques et syndrome de la performance et de la rentabilité ne sont que quelques exemples qui nous poussent à bout.

De plus, Dre Mann y va d’une théorie des plus intéressantes : comme l’humain n’en est plus au stade de simplement tenter de survivre et que chaque besoin est maintenant comblé au plus haut point, il se tourne dorénavant vers chaque petite source de stress avec une colère et une réaction démesurée.

Une conclusion fort logique qui se traduit par une moins grande compassion globale, une attirance croissante vers l’argent et le matériel ainsi qu’une agressivité urbaine évidente.

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Gérer l’agressivité de notre enfant

Sur le site PsychologyToday, Laura Markham, docteure en psychologie et blogueuse, explique sous forme d’exemple ce qu’elle juge être le meilleur moyen de faire face à une agression verbale et physique de nos enfants.

Elle précise que bien qu’il soit presque impossible de rester calme devant une telle agression, c’est pourtant ce qu’il faut faire. Comme les enfants apprennent à gérer leurs émotions selon notre propre capacité à le faire, elle suggère d’accepter les sentiments de l’enfant en crise, d’émettre une limite claire de ce qui est acceptable et d’apprendre à gérer nos propres émotions de façon à réagir de façon respectueuse.

Dans l’exemple utilisé par Dre Markham, il est question d’une mère qui n’a malheureusement pas le choix de revenir sur une promesse faite à son enfant. Enragé, il la frappe sur le bras.

La technique employée par la mère est de demander la motivation de son fils pour avoir réagi ainsi. Elle écoute et comprend ce qu’il lui dit. Une fois la discussion terminée et réglée, elle lui fait mention de sa blessure en expliquant bien pourquoi ce n’est pas acceptable et discute avec lui de différentes solutions de rechange pour exprimer sa colère.

Donc en résumé, on respire, on compte jusqu’à 10 et on intervient de façon calme et respectueuse, exactement comme on s’attend à ce que notre enfant le fasse la prochaine fois.

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Serrer son nouveau-né pour renverser les effets de stress prénatal

Cependant, si l’on se fie à une étude menée dans les universités de Liverpool et au King’s College à Londres, une solution simple et efficace a des effets positifs remarquables.

Selon eurekalert.org, les mères qui caressent ou frottent le corps de leur nouveau-né dans les premières semaines de vie renversent le processus de stress vécu pendant la grossesse. Donc, par exemple, en caressant la tête, le dos ou les bras du nouveau-né, les cellules associées enregistrent l’information et diminuent ou éliminent le sentiment de peur ou d’agressivité.

Des chercheurs du monde entier ont déjà fait état des conséquences postnatales du stress pendant la grossesse chez l’enfant. Or, cette nouvelle étude s’est attardée sur la solution à ce problème.

D’ordinaire, les enfants développent un comportement d’agressivité, d’instabilité émotionnelle ou de peur à la suite d’une grossesse où la mère vit un stress en permanence ou une dépression. La solution présentée jouerait donc directement sur le mécanisme émotionnel de l’enfant.

La Dre Helen Sharp, de l’University of Liverpool’s Institute of Psychology, Health and Society, explique : « Nous poursuivons notre étude sur le développement continu de l’enfant, à la suite des gestes de réconfort et d’affection prodigués par la mère. Nous voulons être certains que les effets ne s’estompent pas avec le temps ».

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Un comportement agressif augmente les risques d’AVC

Des chercheurs ont voulu mesurer le stress, la dépression et l’agressivité comme facteurs possibles d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) chez les moins de 65 ans.
 
En effet, ils peuvent augmenter les risques, mentionne le Journal of Neuro-surgery and Psychiatry.
 
Les données médicales de 150 personnes de 18 à 65 ans ayant eu un diagnostic d’AVC ont été recueillies. Chaque personne a dû remplir des questionnaires, notamment sur son niveau de stress et d’agressivité.
 
On conclut que les personnes les plus stressées ont deux fois plus de risque de faire un AVC que celles qui ne sont pas stressées.
 
Ce même risque est présent pour les personnalités agressives, mais des études plus approfondies sont nécessaires pour obtenir des données plus précises sur ce lien existant entre l’agressivité et les AVC.
 
Pour le moment, on constate que le risque est plus élevé chez les personnes agressives, nerveuses, organisées et compétitives.