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Un programme scolaire contre l’intimidation chez les enfants

Grâce à l’application de ce programme scolaire soutenu par le Département américain de l’éducation, les enseignants des écoles primaires ont signalé que le comportement de leurs élèves affichait moins d’actes d’agression, de taquineries et de rejet.

Bien que les résultats soient modestes et minimes pour une première expérience, les auteurs de l’étude américaine ont dévoilé au site Reuters Health qu’il ne fallait surtout pas attendre l’arrivée des enfants au secondaire pour les éduquer en matière d’intimidation, car il est souvent déjà trop tard.

Le programme, qui comporte quelques jours de formation pour les enseignants et le personnel scolaire, des affiches et du matériel, peut coûter environ 1000 $ à une école.

Après avoir recueilli des données d’enseignants pendant quatre ans dans différentes écoles qui utilisaient le programme ou non, les chercheurs ont constaté que des changements se sont produits dans les écoles pratiquant le programme. Selon eux, tout repose sur la façon dont la gestion et la discipline sont établies dans les écoles.

L’intimidation est devenue un problème de plus en plus saillant pour les enfants d’âge scolaire, et dans de rares cas, certaines victimes vont jusqu’à se suicider.

Une étude de Reuthers Health a démontré que l’intimidation au moyen de messages texte touchait 8 % des enfants en 2008 et ne cesse d’augmenter depuis les dernières années.
 

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Le châtiment corporel rend les enfants agressifs

Une étude à long terme de l’Université du Manitoba et de l’Hôpital pour enfants de l’est de l’Ontario, publiée dans le Canadian Medical Association Journal, révèle que les enfants qui ont été plus souvent giflés, qui ont reçu la fessée ou qui se sont fait souvent crier dessus sont plus susceptibles de reproduire ces gestes avec autrui lorsqu’ils seront grands, et ce, presque sans exception, démontre l’étude.

Les auteurs de l’analyse affirment que les enfants punis physiquement pourraient être contre-productifs. Il semblerait que le châtiment corporel pousse davantage l’enfant à remettre en cause les adultes et à développer des problèmes de santé mentale comme la dépression.

Aujourd’hui, les sociétés ne considèrent plus la punition physique comme le meilleur moyen de discipliner les enfants.

Mentionnons que la fessée est interdite et illégale dans certains pays de l’Europe, comme l’Allemagne, l’Espagne et les Pays-Bas. En Grande-Bretagne, depuis 2004, un « châtiment raisonnable » est toléré. Cela signifie que le geste physique ne doit pas laisser de marques ou de rougeurs.

Les chercheurs pensent que les médecins devraient aider les parents à mieux cerner le comportement des enfants, apprendre à se maitriser et adopter des solutions non violentes : des approches efficaces pour la discipline.

Selon eux, beaucoup d’adultes ne comprennent pas ce qui pousse le comportement d’un enfant. « Ils croient que les jeunes sont rebelles, mais ils font tout simplement ce qui est normal pour leur développement », expliquent-ils.

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La garde partagée et ses conséquences sur l’enfant

La garde partagée est maintenant un sujet de débats en France. Le principe d’une semaine chez le père et d’une semaine chez la mère ne fait pas l’unanimité, surtout lorsqu’il est question des conséquences sur la santé mentale et physique de l’enfant.

Selon la psychologue Caroline Merten, cette façon de vivre entre deux domiciles concerne aujourd’hui de 15 à 20 % des enfants de couples divorcés. Il y a 10 ans, on pouvait chiffrer ceux-ci à 5 %.

Personne-ressource à l’association Enfance et Partage, cette psychologue dit recevoir de nombreux appels de la part de parents divorcés. Ces derniers remarquent des changements de comportements importants chez leurs enfants. L’agressivité et les problèmes de sommeil sont les sujets les plus fréquents.

La psychanalyste Claude Boukobza insiste, quant à elle, sur l’importance de la maison : « Le jeune enfant a besoin de continuité et de stabilité, qui se construisent dans un espace ».

Si la garde partagée est la seule solution, il semblerait qu’elle soit mieux vécue lorsque l’enfant a environ 8 ans.

Rappelons qu’une centaine de députés français ont déposé, à la fin octobre, une proposition de loi visant à ce que la garde partagée soit désormais décidée à défaut d’un accord entre les parents.

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L’éducation parentale influence l’agressivité

Des chercheurs de l’Université du Manitoba soutiennent que les enfants d’âge préscolaire qui font preuve d’agressivité maintiennent une relation négative avec leur mère depuis leur tendre enfance.

C’est la conclusion à laquelle ils sont arrivés après avoir suivi plus de 260 mères et leurs enfants, et ce, de la naissance à la première année du primaire, lit-on dans Child Development.

Ils ont évalué si les enfants avaient un tempérament difficile alors qu’ils n’étaient que des poupons, puis ce comportement a été relié à la façon dont ils étaient élevés entre leur première semaine et leur sixième mois de vie. Mentionnons que ces évaluations ont été faites selon des observations, de même que des commentaires des parents.

Quand les enfants ont eu deux ans et demi puis trois ans, les chercheurs ont alors observé la relation entre la mère et l’enfant durant des tâches au cours desquelles ce dernier était porté à demander l’assistance de ses parents.

Finalement, lorsque les enfants sont arrivés en maternelle puis en première année, les chercheurs ont demandé aux mères et aux enseignants de relever et d’évaluer leurs problèmes de comportement.

Il a été remarqué, selon un réel schéma cyclique, qu’une relation mère-enfant négative aboutissait à des comportements colériques plus évidents chez les tout-petits, ce qui aura engendré plus d’hostilité chez la maman en retour.

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D’où vient l’agressivité des jeunes enfants?

Des psychologues de l’Université Cardiff ont tenté de cerner les raisons poussant un bébé à avoir un comportement agressif. Pour ce faire, ils ont suivi 271 enfants et leurs parents.

La famille était rencontrée durant la grossesse, puis lorsque l’enfant avait atteint l’âge de 6, 12, 21 et 33 mois. Certaines corrélations ont ensuite pu être faites, quoiqu’elles demeurent d’une importance moyenne.

On a remarqué, entre autres, que les bébés qui tiraient souvent sur les jouets d’autres enfants étaient nés d’une mère ayant traversé une dépression durant sa grossesse. D’autre part, ceux qui employaient leur corps pour faire du mal aux autres avaient une mère qui avait vécu une enfance trouble.

Ces résultats, quoique partiels, en disent un peu sur les influences génétiques et environnementales. Malgré tout, les psychologues rappellent que de tels comportements demeurent une exception.

Les facteurs familiaux prédisant des comportements agressifs durant l’enfance et l’adolescence sont par ailleurs les mêmes que ceux qui concernent les bébés d’environ un an. L’étude complète paraîtra sous peu dans Psychological Science.

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La dépression de maman est un facteur de stress

Selon Psychological Science, un tout-petit peut ressentir beaucoup de stress par rapport au comportement et à l’état de santé de ses parents, et ce, lorsqu’il est à peine âgé de trois ans.

Une étude parue dans cette revue scientifique a en effet démontré qu’une hormone de stress était fortement présente dans la salive d’enfants de cet âge.
 
Les jeunes participants qui étaient confrontés à des situations stressantes, même si elles étaient inoffensives, accusaient ainsi de hauts taux de cortisol.
 
On prenait cette mesure tout de suite après avoir provoqué un événement causant un certain stress aux enfants. Les chercheurs ont donc conclu que déjà à trois ans, les enfants étaient stressés par un parent dépressif qui les entourait d’émotions négatives.
 
Les réponses les plus fortes ont été observées avec la maman, lorsque celle des enfants avait un historique de dépression ou qu’elle démontrait de l’agressivité en jouant avec eux.
 
Toutefois, on note qu’il n’y avait pas suffisamment d’hommes dans le cadre de cette recherche pour détailler comment ils interagissent avec leur enfant. La dépression était aussi moins présente dans ce groupe.

Malgré tout, cette étude expose l’un des effets que la dépression d’un parent peut entraîner sur l’enfant.

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Un lien clair entre les jeux vidéo et la violence

Une étude a en effet prouvé le lien entre l’agressivité des garçons et les activités qu’ils pratiquent, nous apprend MailOnline.

Des scientifiques affirment que jouer à des jeux vidéo violents ou regarder des émissions de télévision et des films du même genre rend vraiment plus agressif.

Pour ce faire, ils ont observé l’activité cérébrale de garçons âgés de 14 à 17 ans après qu’ils aient regardé des vidéoclips.

Les résultats ont été probants. Si l’effet sur l’activité du cerveau est visible, il semble en plus qu’à la longue, les sujets soient moins affectés par ce qu’ils voient.

Les enfants deviendraient moins sensibles à la violence au fur et à mesure qu’ils en voient, ce qui pourrait les pousser à commettre de tels actes sans penser aux conséquences.

De plus, les films avec peu ou aucune violence ont retenu l’attention des garçons. Cela signifie que la perte d’intérêt remarquée avec les films violents n’était pas due à la perte d’attention pour l’histoire en général.

Il semble donc que plus ils en consomment, plus les enfants deviennent insensibles à la violence.

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Incidence du stress de la mère sur l’asthme

Les enfants dont la mère est stressée souffriraient d’un asthme plus sévère, nous apprend le Daily Mail.

Les femmes qui sont agressives, irritées ou qui retiennent leurs émotions auraient une influence néfaste sur leurs enfants, surtout lorsqu’ils sont très jeunes.

Une étude étalée sur une année a servi à évaluer le niveau de stress de 223 mères. Elles avaient toutes de 2 à 12 enfants asthmatiques.

Les participantes ayant été évaluées selon un questionnaire, celles qui avaient tendance à dominer, rejeter ou surprotéger leurs enfants ont pu être reconnues.

Il en est ressorti que les jeunes de 7 ans qui vivaient avec une mère surprotectrice avaient des crises d’asthme plus sévères.

D’autre part, les enfants dont la mère démontrait plus d’agressivité ou aucune émotion allaient souffrir plus fortement d’asthme durant leurs années futures.

Jun Nagano, de l’Institut de la science de la santé de l’Université Kyushu au Japon, relève que le comportement de la mère a donc un effet psychosomatique sur l’enfant, qui peut être aussi important que la réaction à des allergènes ou une vulnérabilité aux infections respiratoires.

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Le sucre rend moins agressif

Les collations sucrées peuvent nous aider à faire passer une mauvaise nouvelle, selon le Daily Mail.
 
Une nouvelle étude d’une équipe de l’Université du Kentucky mentionne que le sucre nous rend plus doux et plus susceptibles de pardonner lorsque nous sommes lésés.
 
On croit que les sucreries fournissent au cerveau le carburant dont il a besoin pour repousser les pensées de blâme et de vengeance et nous permettent donc d’oublier plus facilement. Ainsi, tout dépendrait de la façon dont notre corps utilise le glucose.
 
Les chercheurs ont tenté de connaître ce résultat en examinant le lien entre les symptômes courants du diabète et la capacité de pardonner. Le diabète de type 2 est surtout lié à l’obésité et se développe souvent à un âge moyen. Après quatre tests, on a constaté que les personnes diabétiques étaient moins indulgentes et plus réticentes à aider une personne qui les irrite.
 
Le cerveau a toujours besoin d’un peu de glucose, mais pour l’autocontrôle, il en aurait besoin davantage.
 
Il a été démontré par le passé que le sucre diminuait le stress, l’agressivité et rendait les gens moins argumentatifs.
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Les enfants les plus beaux sont souvent les plus agressifs

Le Journal of School Psychology publie une étude qui révèle que les enfants les plus beaux sont souvent plus agressifs et plus populaires à l’école.
 
Les chercheurs ont présenté les photos de 140 élèves à des étudiants afin qu’ils déterminent l’attractivité de leur visage, alors que les enseignants ont évalué l’agressivité et le taux de popularité des jeunes.
 
On dénote que les plus attrayants sont souvent ceux qui ont le plus d’amis, et ce, malgré le fait qu’ils sont également ceux qui sont les plus agressifs envers les autres. Nous aurions donc tendance à être plus indulgents, dès notre plus jeune âge, envers les belles personnes.
 
Les experts affirment que cela pourrait également expliquer pourquoi les minorités visibles sont davantage victimes d’intimidation, car elles ne sont pas conformes aux normes populaires.
 
Cette étude concorde également avec une précédente recherche qui disait qu’une apparence soignée procurait un faux sentiment de sécurité quant à l’agressivité d’une personne.