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Engager un(e) nutritionniste… pourquoi pas?

L’Académie de Nutrition américaine lance une invitation aux Nord-Américains qui ont des problèmes de poids, rapporte www.nlm.gov.

L’agence fait remarquer que si vous avez des problèmes à maintenir votre poids ou à en perdre, il vous serait peut-être fort utile de penser à réserver les services d’un spécialiste de la question, soit un(e) nutritionniste.

Et pourquoi pas? Après tout, nous dépensons de petites fortunes pour mieux manger et tâcher de faire de l’exercice, sans parler de toutes les autres dépenses inutiles.

Investir dans un spécialiste de la nutrition pourrait bien devenir un investissement sur vous-même, suggère l’Académie. Il peut vous apporter conseils et soutien, en plus de créer un plan de match détaillé, selon vos goûts et objectifs.

Il s’agit d’un élément de motivation supplémentaire pour les gens qui veulent s’occuper de leur poids ou de leur santé. En effet, un(e) nutritionniste peut également vous aider à mieux gérer les problèmes chroniques comme le cholestérol et la haute pression, ainsi que les allergies alimentaires.

Plus important encore, le spécialiste en nutrition pourra convenir avec vous d’un plan à long terme, car s’il est parfois simple d’améliorer sa santé à court terme, conserver les bonnes habitudes est souvent une autre paire de manches.

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Plus de chances de survivre à un arrêt cardiaque selon la classe sociale

Même s’il semble discriminatoire de tenir de tels propos, www.nlm.nih.gov avance une étude qui prétend que les chances de survie lors d’un arrêt cardiaque peuvent varier selon l’endroit où vous vous trouvez et votre classe sociale.

En fait, il semble que les gens issus ou résidants d’un milieu plus aisé soient plus enclins à tenter des manœuvres de réanimation (RCR) sur une victime que les autres.

La Dre Comila Sasson, de l’école de médecine de l’Université du Colorado, résume : « L’endroit où vous aurez une crise cardiaque aura un impact sur vos chances de survie, et celles-ci peuvent même varier selon le côté de la rue où vous vous trouvez. Il s’agit d’un phénomène psychosocial et économique réel ».

Chaque année en Amérique, plus de 300 000 personnes sont victimes d’un arrêt cardiaque, et l’endroit où la crise se produit influence les chances de voir un pur étranger leur venir en aide.

Plus de 14 225 de ces cas ont été étudiés, tous en milieux urbains, et la moyenne statistique des chances qu’un inconnu tente des manœuvres de réanimation seraient de 29 %. Celles-ci passeraient à 55 % dans les quartiers les plus favorisés, un écart très significatif.

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La dépression fait craindre la discrimination

Beaucoup de gens hésiteraient à demander de l’aide lorsqu’aux prises avec des symptômes indiquant une dépression nerveuse, craignant le jugement et la discrimination d’autrui, affirme une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Les recherches démontrent que 79 % des gens qui souffrent de dépression pensent devoir faire face à une forme de jugement ou de discrimination durant le processus.

L’étude, publiée en Angleterre, utilisait des questionnaires afin d’amasser de l’information sur la discrimination que vivent les gens atteints de dépression, et ce, dans 35 pays différents. Le nombre total de gens sondés dépasse le millier.

Les réponses aux questionnaires révèlent des statistiques troublantes. En effet, 34 % des patients disent avoir été évités par des proches, 37 % affirment que la peur de se faire juger les a empêchés de créer des liens solides ou une relation intime avec une autre personne, et 25 % disent avoir évité de travailler, de peur de faire face à de la discrimination.

Par contre, plusieurs patients qui anticipaient le jugement des autres ne l’ont pas vraiment expérimenté, poursuit l’étude. Il s’agit donc d’une peur fondée, mais qui s’avère moins lourde en réalité.

71 % affirment vouloir ou avoir gardé le diagnostic pour eux-mêmes, ce que les spécialistes déconseillent vivement. Les gens qui croient vivre une dépression doivent s’exprimer et rechercher de l’aide rapidement.

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La dépression fait craindre la discrimination

Beaucoup de gens hésiteraient à demander de l’aide lorsqu’aux prises avec des symptômes indiquant une dépression nerveuse, craignant le jugement et la discrimination d’autrui, affirme une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Les recherches démontrent que 79 % des gens qui souffrent de dépression pensent devoir faire face à une forme de jugement ou de discrimination durant le processus.

L’étude, publiée en Angleterre, utilisait des questionnaires afin d’amasser de l’information sur la discrimination que vivent les gens atteints de dépression, et ce, dans 35 pays différents. Le nombre total de gens sondés dépasse le millier.

Les réponses aux questionnaires révèlent des statistiques troublantes. En effet, 34 % des patients disent avoir été évités par des proches, 37 % affirment que la peur de se faire juger les a empêchés de créer des liens solides ou une relation intime avec une autre personne, et 25 % disent avoir évité de travailler, de peur de faire face à de la discrimination.

Par contre, plusieurs patients qui anticipaient le jugement des autres ne l’ont pas vraiment expérimenté, poursuit l’étude. Il s’agit donc d’une peur fondée, mais qui s’avère moins lourde en réalité.

71 % affirment vouloir ou avoir gardé le diagnostic pour eux-mêmes, ce que les spécialistes déconseillent vivement. Les gens qui croient vivre une dépression doivent s’exprimer et rechercher de l’aide rapidement.

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Stevie Nicks au Gala d’Elton John contre le SIDA

Elton John a pu compter sur la chanteuse de Fleetwood Mac, Stevie Nicks, pour le gala de sa fondation qui lutte contre le SIDA, rapporte Rolling Stone.

Cette 11e édition du gala de Sir Elton John avait lieu lundi dernier (15 octobre) à New York. Cette soirée a pour but de récolter des fonds pour la fondation du chanteur pour la recherche sur le SIDA, qui vient également en aide aux gens qui en sont atteints.

Nicks était donc du nombre des artistes qui ont contribué à amasser deux millions de dollars cette année, un chiffre qui rend l’interprète de Candle in The Wind et Rocket Man très satisfait.

« Je crois que je peux me rappeler que nous passions du temps ensemble et prenions de la drogue il y a plusieurs années », blaguait Elton John à propos de sa relation avec Stevie Nicks.

Il ajoute : « Nous avions des artistes R&B les autres années, et ils étaient merveilleux. Cette année, nous désirions simplement changer un peu de direction et nous avons pensé à Stevie. Nous lui avons demandé, et elle a dit oui ».

Du nombre des invités présents, il y avait aussi Anderson Cooper (CNN), Brooke Shields, Alan Cumming, Courtney Love, Lance Bass et Cheyenne Jackson, pour ne nommer que ceux-là.

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L’aspect financier, important pour arrêter de fumer

Il semble que l’aspect financier soit un incitatif qui fonctionne pour les gens qui tentent d’arrêter de fumer, rapporte nlm.nih.gov.

Outre le coût des cigarettes, il semble que lorsque le gouvernement participe et débourse les frais médicaux divers liés à l’arrêt du tabagisme, les chances de succès augmentent.

C’est ce que rapporte une étude hollandaise, alors que le gouvernement en place a décidé de défrayer les coûts des thérapies et produits que les fumeurs utilisent pour arrêter cette habitude.

Durant une année, donc, la Hollande y est allée d’une grande campagne contre le tabagisme, mettant en place plusieurs plans d’action, dont une ligne téléphonique de soutien sans frais.

Après 12 mois, les résultats sont concluants : on constate une hausse radicale des personnes qui ont arrêté de fumer. Il semble donc facile de dresser le portrait de la situation.

« Les gens apprécient le remboursement des différentes méthodes pour arrêter de fumer. », affirme l’auteur en chef de l’étude, Marc Willemsen, chercheur et professeur à l’Université Maastricht.

Il ajoute qu’en démontrant qu’ils prennent le problème au sérieux et en enlevant la barrière financière, les gouvernements peuvent agir directement sur le problème.

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6 façons de rendre les devoirs moins pénibles

Voici 6 trucs qui vous aideront à rendre la tâche moins fastidieuse et qui fera comprendre à vos enfants qu’ils doivent se responsabiliser.

Devoirs pour petits et grands : Instaurez un climat de devoirs familiaux. Pendant que votre enfant fait ses devoirs, indiquez-lui que vous devez faire les vôtres : liste d’épicerie, paiement de comptes, rebords de pantalon, etc.

À chacun ses forces : Partagez les matières scolaires avec votre conjoint/conjointe. Vous êtes bon en mathématiques, elle est bonne en français et en anglais. Responsabilisez votre enfant à consulter le bon parent, selon la matière qu’il maîtrise.

Laissez-lui vous expliquer le problème plutôt que de le régler pour lui : Votre enfant ne comprend pas? Demandez-lui quel est le problème à régler, et ce qu’il ne saisit pas. Vous serez surpris de voir que bien souvent, il trouvera lui-même la réponse. N’oubliez pas de le féliciter!

Aidez-le à trouver la réponse : S’il est tout près, mais n’arrive pas à résoudre puisqu’il manque un élément, aidez-le à formuler d’autres hypothèses, ou d’autres façons d’approcher le problème.

N’étirez pas la sauce : Il est bien de laisser l’enfant trouver lui-même ses réponses, mais si vous étirez la sauce, plutôt que de parfois lui donner les réponses, vous risquez des tensions en escalade. L’important, c’est de conserver une ambiance d’entraide.

Respectez vos limites : Sachez à quel moment l’enfant est réellement en difficulté et qu’il ne vous est plus possible de l’aider. Un spécialiste ou de l’aide aux devoirs sera peut-être nécessaire.

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Autisme : quand le salaire de la mère écope

Selon une récente étude parue dans Reuters Santé, effectuée par des chercheurs du Centre de recherche pour l’autisme au Centre hospitalier pour enfants de Philadelphie, les familles à la charge d’un enfant autiste gagneraient en moyenne 17 763 $ de moins annuellement que les autres ménages.

En effet, en comparant plusieurs éléments sociodémographiques (âge des parents, éducation, race, etc.), il a été démontré que le père d’un enfant autiste avait autant de chances d’être embauché et de gagner le même salaire qu’un autre homme.

Toutefois, il en était très différent pour la mère. Selon l’étude et conformément aux autres mères, celle qui a un enfant autiste était 6 % moins susceptible d’être employée, travaillait en moyenne sept heures de moins par semaine ou avait moins de la moitié du revenu annuel.

Les chercheurs ne peuvent dire avec certitude que l’écart est causé par le fait d’avoir un enfant atteint d’autisme. Ils concluent tout de même que devant ce problème de santé de plus en plus diagnostiqué (1 enfant sur 110), on se doit de trouver un moyen de mieux venir en aide à ces familles et éviter que l’enfant ne soit un fardeau financier pour les parents qui désirent venir en aide à leur petit (équilibre travail-famille, subventions, etc.).

Aux États-Unis, on estime à 3,2 millions de dollars les coûts engendrés par l’autisme au cours d’une vie.

L’étude repose sur des données provenant d’enquêtes nationales sur les ménages réalisées chaque année entre 2002 et 2008.

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Les enfants de parents qui se sont enlevé la vie ont plus de chance de se suicider

Voilà ce qui ressort de la plus grande étude américaine jamais réalisée à ce jour sur ce sujet. De plus, il semblerait que les enfants qui vivent le deuil de parents qui se sont suicidés ont également jusqu’à deux fois plus de risque d’être hospitalisés à la suite d’une tentative de suicide, d’une grave dépression, d’une psychose ou de troubles de la personnalité.

Selon les chercheurs de l’étude publiée dans le Journal of the American Academy of Child and Adolescent Psychiatry, les adultes vivent de façon très différente le suicide, si l’on compare aux réactions infantiles.

Un éventail d’émotions négatives et lourdes telles que la peine, la culpabilité, la colère et la honte, après avoir perdu un parent à cause d’un suicide, pousse les jeunes à s’isoler au lieu de demander de l’aide. Selon les spécialistes, cela peut entrainer les enfants à commettre l’impardonnable encore plus que l’aspect héréditaire ou génétique.

En 2002, l’Organisation mondiale de la santé a affirmé que ceux qui restent après un suicide souffrent plus intensément que s’ils devaient affronter toute autre situation de deuil.

De plus en plus de programmes d’aide pour les enfants sont développés, dans divers pays, pour les soutenir après une telle tragédie. Au Québec, selon un article de La Presse, l’intervenante de la Ressource régionale suicide de Laval du CSSS local, Josée Lake, se démarque par la qualité de son programme et vient en aide à plusieurs enfants à travers la province.

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Une hormone capable d’aider les timides

Si vous devenez rouge écrevisse à la moindre occasion, les résultats de cette nouvelle étude devraient vous intéresser.

Des chercheurs de l’Université Concordia à Montréal ont étudié l’impact de l’ocytocine sur cent hommes et femmes âgés de 18 à 35 ans. Ces personnes n’avaient pas d’antécédents médicaux et ne consommaient pas de cigarettes ni de drogues.

Lors des tests, les injections nasales d’ocytocine ont démontré notamment que ces personnes avaient la capacité de lutter contre la timidité et étaient plus sociables qu’auparavant, explique l’étude parue dans la revue Pharmacology.

L’ocytocine, qui est sécrétée lors de rapprochements sociaux ou au moment de l’accouchement pour la femme, est même étudiée pour soigner certains cas d’autisme.

Pour le moment, on ne connaît pas encore les effets négatifs liés à l’utilisation à long terme de l’ocytocine.