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Le paracétamol ne soulage pas les maux de dos

Une étude l’Université de Sydney démontre qu’en cas de lombalgie aiguë, le paracétamol n’aide pas les patients souffrants. En effet, il semblerait que la douleur n’est pas apaisée avec ce médicament qui n’aide pas à reprendre du poil de la bête rapidement.

Des tests sur un groupe qui avait de forts maux de dos et qui prenait le placebo ont prouvé que ces personnes récupéraient plus vite après avoir pris le « faux médicament » que celles qui prenaient le paracétamol.

Bien que ce soit la première étude à parvenir à de tels constats, par ailleurs publiés dans The Lancet, elle remet en question le paracétamol et ses vertus analgésiques, explique Santé Log.

Il a également été remarqué qu’outre le nombre différent de jours (17 contre 16) de récupération entre les patients qui prenaient le placebo et le paracétamol, les effets négatifs sur les niveaux de douleur, de handicap, de mobilité, de qualité de sommeil ou de vie demeuraient les mêmes dans les groupes avec ou sans paracétamol.

Rappelons qu’un médicament efficace devra être trouvé, car la lombalgie est la principale cause d’invalidité sur la planète. « La lombalgie est la maladie chronique qui entraîne le plus d’arrêts de travail chez les personnes de plus de 45 ans. C’est aussi la 3e cause de handicap chronique chez les 45-64 ans. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la lombalgie touche à un moment donné environ 33 % de la population », écrit Top Santé.

En attendant de dénicher la pilule magique, les spécialistes conseillent un suivi efficace avec un médecin.

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La PAI : un phénomène rare mais sous-estimé

Si vous êtes une jeune femme aux prises avec de sérieux problèmes de maux de ventre ou que vous connaissez une personne dans votre entourage qui éprouve ce genre de problème de santé, et que plusieurs diagnostics et traitements se sont avérés vains, il serait possiblement utile de vous familiariser avec la PAI, ou la porphyrie intermittente aiguë.

Phénomène rare mais sous-estimé, note Top Santé, la PAI s’attaque surtout aux jeunes femmes de 15 à 35 ans, à cause de leurs hormones, et toucherait tout de même une femme sur 75 000 dans le monde, apprend-on.

« Il faut dire que les douleurs abdominales orientent les médecins, le plus souvent et à juste titre, vers des pathologies médicales ou chirurgicales moins rares. Or, si des médicaments inadaptés sont prescrits pour soulager la douleur, le risque de survenue de complications devient plus important », notent certains experts, qui souhaitent voir les patients et médecins se sensibiliser au phénomène.

Détectable par un simple test d’urine, la porphyrie intermittente aiguë demeure traitable, selon les informations proposées, et serait surtout déclenchée par une variation (ou un traitement) au niveau des hormones, du stress ou une alimentation trop riche en calories.

Si vous ou l’un de vos proches éprouvez des douleurs abdominales ou au ventre et qu’aucune solution n’a porté des fruits, on suggère de s’informer auprès de son médecin concernant la possibilité d’un diagnostic de porphyrie intermittente aiguë.