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Quand l’eau du robinet pose un danger

L’eau potable retrouvée dans toutes les chaumières fait souvent l’objet d’études ou de controverse, mais une nouvelle recherche s’attarde cette fois à la température de celle-ci.

Selon l’étude rapportée par The National Library of Medicine, plusieurs régions contrôlent mal les écarts de température entre l’eau froide et l’eau chaude, ce qui pourrait mettre en danger la sécurité des jeunes enfants et des personnes âgées, plus sensibles à ces écarts de température.

Aux États-Unis seulement, on rapporte 1500 cas d’hospitalisation pour des brûlures dues à l’eau du robinet! Pire encore, on rapporte une moyenne de 100 décès pour les mêmes raisons, annuellement…

Des révélations étonnantes de la part des chercheurs de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, qui suggèrent certaines solutions au problème.

Du nombre, on croit qu’il serait possible d’installer des systèmes de prévention des brûlures à même le robinet dans les endroits qui abritent de jeunes enfants ou des aînés.

Les conclusions ont été publiées dans l’édition du mois de mars du Journal of Burn Care Research.

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Les rayons du soleil pour prévenir l’arthrite

Un nouveau moyen de prévention contre l’arthrite retient l’attention des chercheurs, rapporte The National Library of Medicine.

Et celui-ci s’avère peu coûteux, puisqu’il provient d’un élément présent chaque jour dans nos vies, et ce, gratuitement. On parle bien sûr ici du soleil et de ses rayons qui, selon une nouvelle étude sur le sujet, permettraient de contrer certains effets du vieillissement comme le développement de l’arthrite rhumatoïde.

On attribuerait cet effet aux rayons UVB, et l’effet serait plus vérifiable chez les femmes d’un certain âge.

Publiées dans Annals of the Rheumatic Diseases, ces recherches estiment que l’exposition à ces rayons UVB est bénéfique sur la santé, au point de faire baisser les risques d’arthrite de 21 % en moyenne chez les femmes.

Les chercheurs tiennent à préciser qu’il s’agit d’une autre pièce importante pour démontrer les effets des UVB sur la santé, mais qu’il est trop tôt pour parler de cause à effet. On croit pour l’instant que la réponse épidermique en vitamine D observée en réaction au soleil pourrait expliquer le phénomène.

De plus, on rappelle qu’une surexposition au soleil peut également mener à des problèmes de santé.

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Des capacités cérébrales améliorées grâce à la bonne humeur

On cherche de plus en plus de moyens pour contrer les effets du vieillissement sur le cerveau, et une solution partielle pourrait s’avérer aussi simple qu’efficace.

En effet, The National Library of Medicine propose une étude sur le sujet, initialement publiée dans la plus récente édition du magazine Cognition and Emotion.

Cette étude parle des bienfaits de la bonne humeur ou d’émotions positives sur le cerveau des gens plus âgés, et de comment cet état esprit peut influencer la qualité de prise de décisions et de la mémoire chez les aînés.

Ainsi, selon les chercheurs de l’Université de l’Ohio, tous les petits bonheurs sont bons! Un sac de friandises, une visite inopinée, un nouveau passe-temps, bref, tout ce qui peut améliorer l’humeur d’une personne âgée peut s’avérer hautement bénéfique.

Encore une fois, on constate les effets et conséquences des différentes émotions ressenties par l’être humain sur la santé.

« Il y a eu plusieurs études qui ont démontré que les jeunes adultes sont plus créatifs et ont de meilleures performances cognitives lorsqu’ils sont de bonne humeur. Mais à cause du déclin observé pour le cerveau des personnes plus âgées, nous n’étions pas certains si le même phénomène s’appliquait. Les résultats sont donc une bonne nouvelle », conclut Elle Peters, professeure en psychologie.

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On envisage un classement des résidences pour personnes âgées

Les histoires d’abus, de problèmes de salubrité et bien d’autres dans les résidences pour personnes âgées sont de plus en plus communes et il faut réagir, s’accorde pour dire une majorité de citoyens.

Le Devoir rapporte que des pistes de solution sont envisagées, notamment par le Regroupement québécois des résidences pour aînés (RQRA) et la Corporation de l’industrie touristique du Québec (CITQ).

Ces associations aimeraient bien voir l’implantation d’un système de classification des établissements qui accueillent les aînés au Québec.

Ainsi, à l’image des complexes hôteliers, chaque établissement recevrait une note, un nombre d’étoiles, ce qui permettrait aux consommateurs et à la population de connaître la qualité et la progression de ces différents endroits.

Outre la qualité du service, les gens seraient ainsi informés des commodités et activités offertes, de la qualité des repas et d’autres caractéristiques.

Au final, on souhaite voir les établissements prendre leur vocation plus au sérieux, et un système compétitif comme celui-ci pourrait pousser plusieurs centres à améliorer les services offerts.

L’idée est pour l’instant bien reçue par le public en général, mais il faudra préciser le concept avant de l’implanter officiellement.

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Les personnes âgées ne sont pas à l’abri de la déshydratation en hiver

Les aînés doivent veiller à demeurer bien hydratés même en hiver, rappelle Top Santé, puisque le phénomène ne serait pas vérifiable que lors des périodes de chaleur estivale.

Quelques conseils s’imposent, et on souligne l’importance des produits laitiers. Le centre en nutrition CERIN suggère que l’hydratation ne passe pas que par l’eau, mais aussi par les autres boissons. Donc, le lait s’impose naturellement, car il comprend des vitamines importantes, en plus de son apport en calcium. Le yogourt est aussi un allié, en plus du fromage.

On conseille ensuite un apport alimentaire riche en féculents, retrouvés dans les pâtes, le pain et le riz, notamment.

Il faut aussi veiller à bien intégrer les viandes et substituts à ses repas, poursuit le centre, puisque ceux-ci permettent d’obtenir l’énergie nécessaire pour traverser la saison hivernale en santé.

Bienvenue à la volaille, aux œufs et aux poissons, qui apportent plusieurs vitamines nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme.

La liste se termine par une série d’idées de boissons, comme le thé et le chocolat chaud.

Bref, toutes les occasions sont bonnes pour les aînés de manger et boire de bonnes choses, croient les spécialistes.

 

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Un rapport sur le vieillissement en santé déposé au Nouveau-Brunswick

Les autorités du Nouveau-Brunswick ont mandaté un groupe d’experts pour déterminer les meilleures façons de garder sa population vieillissante en bonne santé le plus longtemps possible.

Le rapport a finalement été déposé cette semaine et souligne plusieurs actions possibles afin de donner une meilleure qualité de vie aux aînés, rapporte Radio-Canada.

Entre autres, on parle des soins et de la résidence à domicile, qui seraient de loin préférables à l’institutionnalisation ou la vie en résidence, surtout du point de vue psychologique.

« Le Nouveau-Brunswick est la province où les gens de 65 ans et plus sont les plus âgés. Il faut faire quelque chose, avoir un plan pour l’avenir. Il faut trouver un moyen où les gens pourront demeurer chez eux plutôt que d’être au foyer de soins. La province n’a pas les moyens de construire des foyers de soins à tout jamais, malgré que 97 % des gens demeurent dans leur résidence. C’est une stratégie globale. On parle par exemple de transport, de logement, il faut avoir la collaboration de tous les groupes », lance Pierre LeBouthillier, porte-parole du groupe de chercheurs et d’experts dont il fait partie.

Il veut aussi que le gouvernement crée un comité sur la question, afin d’effectuer un suivi du dossier au fil de la prochaine décennie. D’autres rapports et recommandations sur le sujet sont donc à prévoir.

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La solitude pourrait mener à la démence

C’est une bien triste étude que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs tracent un lien possible entre la solitude et la démence. On signale ce phénomène notamment chez les personnes âgées.

Selon l’étude, les aînés qui vivent seuls et qui n’ont pas fréquemment de la visite sont plus sujets à sombrer dans la démence.

Les chercheurs tiennent à spécifier qu’il existe une différence entre « se sentir seul » et « vivre seul ».

L’étude a été publiée dans la plus récente édition du Journal of Neurology, Neurosurgery and Psychiatry et retraçait le parcours de plus de 2000 personnes de l’âge d’or n’ayant aucun signe préalable de démence ou de maladie dégénérative.

Près de la moitié des participants à l’étude vivaient seuls, alors que les trois quarts affirmaient n’avoir aucun soutien social. 20 % d’entre eux avouaient se sentir seuls.

Après trois ans de suivi, 13 % des gens qui disaient se sentir seuls ont développé des symptômes de démence, le plus haut total de tous les groupes. Tous les autres groupes ont également eu des statistiques similaires.

Au final, les chercheurs parlent d’un risque de démence 70 % plus élevé chez ceux qui vivent seuls ou qui n’ont pas de contexte social, comparativement à ceux qui sont mariés ou qui vivent avec d’autres personnes.

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L’exercice serait plus bénéfique que les activités sociales pour le cerveau

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui prétend que faire de l’exercice physique régulièrement serait encore plus efficace que les activités sociales ou les exercices mentaux pour contrer les effets du vieillissement sur le cerveau.

Pour cette étude, des chercheurs écossais ont examiné les dossiers de 638 patients nés en 1936 et ayant subi une numérisation du cerveau en 1973. Ces dates bien précises permettent un résultat plus précis que d’autres études effectuées sur le même sujet.

Déjà, bien sûr, les chercheurs faisaient un lien entre le vieillissement et les problèmes cérébraux, comme la perte de mémoire. Cependant, sur une période de trois ans, les spécialistes ont constaté, chez les patients qui suivaient un programme d’exercice physique régulier, un effet du vieillissement beaucoup moins présent et ravageur que chez ceux qui ne bougeaient pas.

Ainsi, on peut conclure que l’exercice peut bel et bien contrer les effets du vieillissement sur le cerveau.

L’auteur Alan Gow, de l’Université d’Édimbourg, explique : « Les gens de 70 ans et plus qui pratiquent des activités physiques, incluant la marche quotidienne, démontrent moins de signes de vieillissement ou d’affaiblissement du cerveau que les autres, inactifs. En contrepartie, nous avons constaté que les activités sociales et les exercices mentaux n’ont pas d’impact réel sur ce phénomène ».

La relation de cause à effet de l’exercice versus la conservation des facultés cérébrales demeure toutefois à prouver hors de tout doute.

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Une étude suggère aux ophtalmologistes d’être plus vigilants envers les aînés

Les spécialistes des yeux devraient-ils être plus vigilants envers les aînés, afin de détecter les situations potentiellement dangereuses au volant?

C’est ce que suggère une étude, rapportée par www.nlm.nih.gov, qui presse les ophtalmologistes et autres experts à bien questionner leurs patients concernant leurs habiletés à prendre le volant.

Plusieurs accidents sont causés par des gens plus âgés, parfois sans mauvaise volonté, qui tardent trop à accepter de ne plus conduire. Très souvent, le problème en est un de vision, et c’est là que les spécialistes peuvent intervenir.

Ils en auraient même le mandat, poursuit l’étude, en avançant qu’il s’agit d’un « sérieux problème de santé publique ». Après tout, il est vrai que d’ici 2020, le nombre de gens en âge d’or aura bien grossi (on parle de 40 millions aux États-Unis), puisque cette statistique de « vieillissement de la population » est toujours en hausse.

Les cas de conduite dangereuse risquent donc d’augmenter en conséquence. Les conclusions de l’étude sont claires : prendre le temps de poser des questions approfondies sur le sujet aux patients à risque lors des examens visuels peut sauver des vies.

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L’aîné est plus sujet aux allergies

Une étude du Centre médical pour enfants de Shiga, au Japon, suggère que le risque d’allergie alimentaire baisserait au fil des grossesses, lit-on sur Relax News.

Ainsi, l’aîné d’une famille serait plus sujet aux allergies alimentaires que ses frères et sœurs. Il aurait plus souvent des symptômes tels que les démangeaisons, l’écoulement nasal et l’inflammation des yeux.
 
On a pu en venir à ces conclusions après avoir observé 13 000 enfants âgés de 7 à 15 ans. Les aînés avaient des allergies alimentaires dans 4 % des cas, contre 3,5 % pour les cadets. Ce taux chutait au fil des naissances suivantes, pour atteindre 2,5 %.
 
Afin d’éviter que les allergies alimentaires se reproduisent au sein d’une même famille, on recommande aux femmes de ne pas consommer d’arachides (étant considérées comme les plus allergènes) durant leur troisième trimestre de grossesse. L’allaitement est aussi recommandé pour les prévenir.
 
De plus, lorsqu’il y a apparition d’une allergie alimentaire chez le premier enfant, il faut éviter de donner des arachides aux enfants suivants, et ce, jusqu’à ce qu’ils aient deux ans.

Ces nouvelles données nous indiquent la possibilité d’une origine prénatale des allergies alimentaires. La baisse du taux de cas d’allergies serait due au système immunitaire maternel, qui change d’une grossesse à l’autre.