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Des aînés vulnérables voient leur loyer augmenté à à 7448$ par mois

Des aînés vivant dans un CHSLD privé de Québec ont failli voir leur loyer être augmenté à 7 448 $ par mois, rapporte TVA Nouvelles. Heureusement, cette hausse a été suspendue après que plusieurs locataires se soient confiés à la chaîne appartenant à Québecor et à La Presse.

Ce sont les enfants d’une femme de 92 ans qui réside au CHSLD qui ont dénoncé la situation. 

Jean et Carole Bédard avaient renouvelé le bail de leur mère à 3 488 $ par mois l’an dernier. En septembre, on les avait avertis que le loyer grimperait à 5 475 $. En janvier, le prix était plutôt de 7 448 $ par mois pour un total de 89 000 $ par année.

Une autre famille a de son côté raconté à La Presse que le prix d’une chambre en coûtera 97 000 $ par an. Les hausses auxquelles font face les résidents varient entre 30 et 50 %.

« C’est scandaleux, épouvantable, je ne connais personne qui pourrait tolérer une hausse comme ça sans rien dire sans rien faire. Je trouve ça encore pire qu’on le fasse à des personnes âgées, qui elles n’ont plus d’augmentation de revenus. Ce sont des victimes qui ne peuvent même pas se défendre », s’est indignée Carole Bédard, la fille d’une résidente, à TVA Nouvelles.

Mais la famille était incapable de changer la résidente d’endroit, faute de place.

La hausse des prix est due au fait que le gouvernement veut transformer l’endroit en CHSLD conventionné, a fait savoir à TVA Nouvelles la direction de l’établissement Domaine Saint-Dominique, qui fait actuellement l’objet d’une tutelle. 

La direction affirme également que le nouveau statut crée une hausse des coûts étant donné une augmentation des soins et que les frais ne sont pas absorbés par le gouvernement.

« Le ministère de la Santé et des Services sociaux travaille actuellement à trouver une voie de passage, en collaboration avec la direction du CHSLD Saint-Dominique, à la situation vécue par notre établissement et surtout, par nos résidents et résidentes. Ainsi, dans l’attention d’une solution viable, nous mettons un moratoire temporaire sur la hausse des tarifs en date d’aujourd’hui », a déclaré le président du CHSLD, Patrick Gilbert, en entrevue avec TVA Nouvelles. 

Mais la ministre déléguée à la Santé et aux Aînés, Sonia Bélanger, est intervenue dans le dossier. 

« La hausse de loyer envoyée à plusieurs résidents sous la base du conventionnement est complètement inacceptable ! J’ai demandé au CIUSSS-CN d’intervenir », a-t-elle annoncé sur Twitter.

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Des résolutions osées pour les aînés

En dehors des traditionnelles résolutions de nouvelle année, comme arrêter de fumer ou se mettre au sport, les aînés privilégieront leur vie sexuelle l’an prochain, à 44 %, selon un sondage réalisé par le site communautaire des 50 ans et plus, Quintonic.fr.

Pour près d’un quart des personnes interrogées, le recours à la chirurgie esthétique sera une autre résolution pour 2014. Et 17 % prévoient même de sortir davantage dans les boîtes de nuit.

 

Ce sondage a été mené en ligne auprès de 586 internautes, du 28 novembre au 3 décembre 2013.

Photo : RelaxNews/BIG

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L’anesthésie et la perte de mémoire

Sur le site britannique du Daily Mail, un article cite nombre de recherches de différentes institutions sur le sujet.

Alors qu’il était déjà connu que l’utilisation des drogues de Morphée avait un impact négatif sur le système immunitaire, de plus en plus de dommages sont répertoriés.

Non seulement le fait de subir une anesthésie générale pourrait être responsable de pertes de mémoire temporaires, mais il est démontré que les patients âgés ont un plus grand risque de souffrir de troubles permanents, de démence et d’Alzheimer.

De plus, un lien a été découvert entre des troubles de la parole et d’apprentissage chez les enfants ayant été sous ce type d’anesthésie.

Voilà qui explique certaines des raisons pour lesquelles plusieurs professionnels de partout dans le monde se montreraient plus favorables à l’utilisation de l’anesthésie locale. Une technique moins dangereuse est notamment l’épidurale, un processus qui implique l’injection de drogues autour des nerfs afin de bloquer le signal de douleur se rendant au cerveau.

L’abandon systématique de l’anesthésie générale est déjà en cours dans plusieurs pays, mais certains se montreraient plus conservateurs malgré l’évidence des risques.

Il s’agit là d’un important rappel de l’importance de bien se renseigner avant une opération afin de connaître toutes les options ainsi que leurs effets potentiels sur votre santé.

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Le bon choix pour les aînés en fin de vie

Une nouvelle étude, rapportée par nlm.nih.com, prétend que le tiers des aînés ne feraient pas le bon choix en matière d’établissement en fin de vie.

Certains endroits ne seraient pas équipés adéquatement pour prévenir la douleur et contrer la souffrance.

Ces soins palliatifs sont plus souvent présents dans les maisons du même nom, alors que les centres d’hébergement et de soins de santé sont moins bien équipés (et formés) pour accompagner une personne en fin de vie.

Les chercheurs à l’origine de l’étude, publiée dans Archives of Internal Medicine, affirment que les centres de soins publics devraient tous être dotés d’un centre de soins palliatifs.

« Souvent, l’important pour les médecins et infirmières est de garder les patients fonctionnels et indépendants le plus longtemps possible. On devrait parfois plutôt penser en termes de trajectoires de fin de vie, ce qui est un autre processus. »

D’abord basée sur des statistiques du Medicare américain, l’étude s’avère profitable à tous les pays, puisque tous seront aux prises avec un tel choix tôt ou tard. C’est encore plus vrai lorsque l’État paie certains frais (ou en totalité). Il a donc une responsabilité.

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Même les aînés fragiles retirent de grands bénéfices de l’entraînement physique

Une étude publiée dans le Journal of Gerontology démontre que même les personnes très âgées et considérées comme les plus fragiles peuvent retirer de nombreux bienfaits de l’exercice physique.

Les travaux, menés à l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal, montrent qu’après seulement trois mois d’exercices physiques, les personnes ont de meilleures facultés physiques et mentales et améliorent leur qualité de vie.

« Pour la première fois, des personnes âgées fragiles ont pu participer à une étude sur l’entraînement physique. Mon équipe a donc pu démontrer qu’une personne âgée, sédentaire et fragile peut bénéficier d’améliorations importantes de ses fonctions cérébrales, par exemple de sa mémoire, et de ses fonctions physiques, mais aussi de sa qualité de vie », mentionne le Dr Louis Bherer.

On souhaite donc mettre sur pied un programme d’entraînement adapté aux aînés fragiles qui pourra être recommandé à la population.

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La solitude augmente les risques de décès chez les aînés

Deux études parues dans les Archives of  Internal Medicine, mentionnent que les personnes âgées qui vivent seules ont plus de 40 % de risques de mourir que les autres.

Lors des évaluations de santé des patients de plus de 60 ans, on recommande donc aux médecins de tenir compte de la solitude des personnes afin de mieux détecter le déclin fonctionnel et la perte d’autonomie.

Pendant plus de six ans on a suivi 1604 personnes de plus de 60 ans. 59 % étaient des femmes, 18 % vivaient seules et 43 % disaient se sentir seules.

Dans la première étude, on a d’abord noté une augmentation considérable des risques de mobilité réduite, de déclin fonctionnel et de décès chez les personnes coincées dans la solitude.

Des facteurs qui sont en plus aggravés selon l’intégration sociale, le mode de vie et la santé physique et mentale.

Chez les aînés, donc, la solitude peut être un facteur prédicateur de déclin et de décès.

La deuxième étude, quant à elle, n’a fait que confirmer les premiers résultats.

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Les aînés voyagent de plus en plus

Les personnes âgées semblent vouloir rattraper le temps perdu. Selon un reportage du Old Age Travellers, 52 % des personnes âgées voyagent plus à cet âge qu’elles ne l’ont fait au cours de toute leur vie.

L’aéroport de Gatwick a questionné les passagers de 70 et plus. Principalement, les passagers d’un certain âge voyagent pour profiter de leur retraite et planifient des escapades au Royaume-Uni et ailleurs dans le monde.

« Voyager, en vieillissant, n’a pas à être une expérience intimidante. C’est une façon géniale de rester actif et de prolonger votre expérience du monde avec vos amis, votre famille et même seul », explique le membre du comité de passagers de l’aéroport de Gatwick, John Carter.

En fait, 63 % disent voyager parce que la retraite leur donne le temps de le faire, tandis que 22 % disent qu’ils ont plus d’argent pour voyager maintenant qu’ils sont à leur retraite.

Les destinations préférées des aînés seraient la France, en première position avec 43 % des votes, l’Espagne, avec 40 % des votes, ainsi que les États-Unis, avec 31 % des votes.

Cependant, les aînés, selon le sondage, préfèrent avoir une bonne assistance pour les aider à voyager.

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Une vie sexuelle active préserve la mémoire

Être satisfait sexuellement à un âge avancé préserverait la mémoire. C’est ce qu’une équipe de l’Université Rostock en Allemagne du Nord retient de sa recherche sur le sujet.
 
Selon le Daily Mail, on a interrogé 170 personnes de 63 à 75 ans sur leurs activités quotidiennes, y compris leur vie sexuelle. De plus, elles ont dû se soumettre à des tests neuropsychologiques.
 
57 % des 63 ans se disaient satisfaits sexuellement, alors que ce pourcentage grimpait à 70 % chez les 75 ans.
 
On note un lien clair entre la satisfaction sexuelle et un esprit jeune.
 
Même si les capacités physiques pour faire l’amour peuvent être réduites en vieillissant, le Dr Peter Kropp mentionne que l’intimité demeure essentielle. Le simple fait de tenir la main de son conjoint avec un regard amoureux est tout aussi important.
 
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Problème d’alcool en croissance chez les aînés

Que ce soit par ennui ou pour contrer la solitude, les personnes âgées sont de plus en plus nombreuses à boire trop d’alcool.
 
Selon une étude rapportée par le Telegraph, chez les gens âgés de plus de 65 ans, un homme sur cinq et 10 % des femmes boivent trop d’alcool.
 
Avec l’arrivée des baby-boomers dans le troisième âge, on s’attend à ce que le problème devienne plus important, car ces derniers sont déjà de plus grands consommateurs d’alcool que les générations précédentes.
 
Les personnes âgées sont plus à risque de succomber à l’attrait de l’alcool, car elles ont majoritairement plus de temps libre, sont souvent plus seules et ont parfois des revenus plus élevés.
 
Par contre, elles souffrent souvent de diabète, d’hypertension artérielle et prennent des médicaments qui ne doivent pas être mélangés à l’alcool.
 
De plus, les aînés sont souvent moins enclins à demander de l’aide, surtout par honte, et les problèmes d’alcool sont donc moins faciles à déceler chez eux.
 
Il ne faut pas oublier également qu’à 75 ans, le corps à beaucoup plus de mal à métaboliser l’alcool, ce qui expose à plus de risques de santé également.
 
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Les jeunes cuisinent plus que leurs aînés

Un sondage effectué auprès de 2000 adultes de 18 ans et plus aux États-Unis dévoile que les jeunes cuisinent davantage que les plus vieux.
 
En fait, le quart des 18-34 ans adorent cuisiner, alors qu’ils ne sont que 17 % chez les baby-boomers et les plus vieux.
 
Pour les jeunes, cuisiner est une marque de sophistication et de statut social, alors que les plus vieux cuisinent simplement pour des raisons de santé. D’ailleurs, la plus grande motivation de tous pour cuisiner est que les repas faits maison sont plus équilibrés.
 
Cuisiner est également un plaisir, une marque d’affection envers les proches et une occasion d’expérimenter.
 
Par contre, selon Mintel qui a réalisé le sondage, c’est en vieillissant que l’on se vante le plus de ses talents de cuisinier. 15 % des 55 ans et plus s’en vantent, alors qu’ils ne sont que 6 % à le faire chez les 18-34 ans.
 
« Les cuisiniers les plus jeunes semblaient s’intéresser davantage à l’expérimentation culinaire, alors que les Américains de 20 à 39 ans étaient plus enclins à cuisiner pour avoir l’air sophistiqué, ce qui suggère que l’apprentissage de la cuisine et le fait de cuisiner pour ses amis constituent des manières de se crédibiliser aux yeux de ses pairs », explique la porte-parole de Mintel, Fiona O’Donnell, dans un communiqué.