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Fin des journaux à bord d’Air Caraïbes qui passe au tout numérique

L’offre, baptisée iZipress, est une application gratuite proposée sur l’App Store pour iPad et iPad mini et sur Google Play pour tablette Android, précise la compagnie dans un communiqué.

Les passagers y trouveront 6 titres de presse quotidienne, un choix de 14 magazines, un roman renouvelé tous les mois ainsi que le magazine de bord de la compagnie, Arc-en-Ciel, et le catalogue des articles proposés sans taxes à bord des vols long-courriers.

L’accès à iZipress est possible 48 heures avant le départ du vol. Le nombre de titres offerts à chaque passager varie en fonction de son degré de fidélité : de 2 titres pour les non-abonnés à 21 pour les clients les plus fréquents.

Seuls les passagers munis d’une tablette pourront accéder à cette offre pour le moment, mais elle sera déclinée progressivement pour PC et MAC.

En avril, Air France avait lancé une application similaire. Cette offre destinée aux seuls voyageurs très fréquents devait être étendue tout au long de l’année à l’ensemble des clients de la compagnie équipés d’écran personnel, de téléphones intelligents ou de tablettes iOS, Android ou Windows 8.

Pour ne pas heurter les éditeurs, Air France avait alors précisé qu’elle ne supprimerait pas les journaux et magazines qu’elle met à disposition à travers le monde, dans ses salons, ses salles d’embarquement et à bord de ses classes avant.

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Des billets d’avion gratuits pour les plus démunis

En cette journée de la Saint-Valentin, Air Caraïbes a décidé de démontrer une belle preuve « d’amour » à certains futurs passagers.

La compagnie aérienne a signé une entente avec l’association La case sociale antillaise, sous l’égide du délégué ministériel pour l’égalité des chances des Français d’outre-mer, dans laquelle elle s’engage à offrir une centaine de billets à des ultramarins démunis, rapporte Le Quotidien du Tourisme.

Gratuits et toutes taxes comprises, ces billets, qui pourront même être des aller-retour, seront destinés à aider les immigrants les plus défavorisés installés dans l’Hexagone.

Ces derniers auront le libre choix d’utiliser leurs billets pour visiter leur pays d’origine occasionnellement ou encore pour y retourner vivre définitivement.

La case sociale antillaise, une association basée à Paris qui oeuvre auprès des personnes en difficulté originaires d’outre-mer, sera chargée de sélectionner les chanceux qui auront droit à ce privilège.