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Parents stressés, enfants asthmatiques

Selon Ketan Shankardass, un chercheur associé au Centre for Research on Inner City Health de l’hôpital St. Michael de Toronto, la pollution atmosphérique augmente le risque d’asthme chez l’enfant, mais lorsque ses parents sont stressés, cette incidence grimpe.

« La cause de l’asthme est toujours inconnue. C’est une condition qui touche des gens de partout dans le monde et nous ignorons encore toutes les causes de la maladie, ce qui fait que nous ne pouvons pas bien la traiter », a suggéré monsieur Shankardass.

Cette étude, qui est publiée dans la version en ligne du Proceedings of the National Academy of Sciences, a été commentée par le Dr Clifford Bassett, qui ne se dit pas très surpris par les effets du stress sur l’asthme. « Le stress agit sur le système immunitaire. Cela démontre donc que la combinaison entre le stress, le tabac et la pollution est nocive pour la santé », a-t-il conclu.

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Nous respirons des milliers des champignons par jour

Des chercheurs allemands viennent de découvrir que la quantité et la diversité des champignons qui flottent dans l’atmosphère sont beaucoup plus importantes qu’on ne le croyait. Chaque fois que nous respirons, nous inhalons en moyenne de 1 à 10 spores fongiques.

Ces données recueillies par l’Institut Max Planck sont importantes, car certains champignons déclenchent des allergies ou des maladies et nuisent aux plantes, en plus de jouer un rôle dans la formation des nuages.

Les chercheurs ont collecté des échantillons de matière particulaire fine et grossière qui flotte dans l’air pendant un an et ont ensuite identifié les espèces fongiques. Dans chaque mètre cube d’air, il y a en moyenne 1 000 à 10 000 champignons.

Cette découverte aura sans doute des incidences sur différents domaines comme la médecine humaine et animale, l’environnement et l’agriculture. On pourrait même en arriver un jour à utiliser les spores fongiques pour déclencher des précipitations en cas de nécessité.

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Nouvel album de Air

Baptisé Love 2, cet album a été enregistré dans le studio du groupe à Paris, Atlas Studio, et succédera à Pocket Symphony lancé en 2007, rapporte NME.com.

Le groupe a entièrement produit l’album, alors que le mixage a été réalisé par Stéphane « Alf » Briat.

Soulignons que le groupe doit reprendre la route au début de l’année 2010.

Voici la liste des pièces qui se retrouveront sur Love 2 :

Do The Joy
Love
So Light Is Her Footfall
Be A Bee
Missing The Light Of The Day
Tropical Disease
Heaven’s Light
Night Hunter
Sing Sang Sung
Eat My Beat
You Can Tell It To Everybody
African Velvet

 

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La qualité de l’air et l’influenza

Selon le Dr Jeffrey Shaman, oeuvrant pour le ministère de la Santé de l’Oregon, l’air sec et froid serait responsable de la survie plus longue du virus de la grippe. À l’inverse, l’air chargé d’humidité empêcherait la prolifération des cas d’infection au virus.

« Les fortes corrélations entre le niveau d’humidité absolue et la survie du virus de la grippe ont été surprenantes. Quand l’humidité absolue est faible, le virus de la grippe saisonnière survit plus longtemps et le taux de transmission augmente », a mentionné M. Shaman.

Le chercheur a observé que la survie du virus de l’influenza augmente de 90 % et son taux de transmission hausse de 50 % par temps sec et froid.

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La pollution dans nos maisons

Une enquête menée auprès de 25 femmes afin de mesurer le degré de toxicité de leur demeure a permis de conclure que la majorité d’entre elles ignorent complètement le nombre de produits chimiques que recèle leur maison.

En moyenne, les chercheurs ont trouvé 20 produits toxiques par demeure. Parmi ceux-ci, il y a ceux à base de phtalates et bisphénol A, des produits largement utilisés dans les matières en plastique.

« Les produits chimiques qui s’accumulent dans la poussière proviennent d’une multitude de sources, ce qui ne nous permet pas de préciser comment réduire l’exposition à ces produits », a fait savoir l’auteur de la recherche, la Dre Rebecca Altman.

Tous les détails sont publiés dans le Journal of Health and Social Behavior.

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Une autre conséquence de la mauvaise qualité de l’air

Les travaux menés par le Dr Gil Kaplan et son équipe de l’Université de Calgary ont démontré qu’il existe un lien significatif entre la pollution de l’air et le risque d’appendicite.

En observant 5 000 adultes ayant subi une appendicectomie à Calgary entre 1999 et 2006, le chercheur conclut que cette inflammation de l’appendice est en hausse dans les pays industrialisés comme le Canada, les États-Unis et le Royaume-Uni depuis plus de 100 ans.

En effet, environ une personne sur 12 au pays devra subir l’ablation chirurgicale de son appendice au cours de sa vie.

Le Dr Kaplan a aussi conclu que l’amélioration de la qualité de l’air ne pourrait que contribuer à prévenir certains cas d’appendicite.

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Les effets de la piètre qualité de l’air sur la santé

Selon l’Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie, une mort sur 11 est reliée à la pollution atmosphérique de cette région du Québec. La mauvaise qualité de l’air est aussi responsable de 3 % des hospitalisations de courte durée en Montérégie.

« Il faut agir ensemble dès maintenant! Tout le monde peut contribuer à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) : chaque citoyen peut faire des choix de transports plus écologiques; chaque municipalité peut adopter des politiques qui limitent l’étalement urbain; chaque palier de gouvernement peut investir dans l’amélioration des réseaux de transports en commun; chaque industrie peut s’assurer de faire des choix qui respectent l’environnement », a confié Jocelyne Sauvé, directrice de l’Agence.

La principale source de pollution atmosphérique en Montérégie est attribuée aux transports, qui contribuent à 60 % des émissions polluantes liées notamment aux GES. Viennent ensuite le chauffage au bois et l’industrie, qui causent respectivement 16 % et 13,8 % des GES.

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Et si les désodorisants rendaient infertiles?

Une enquête, menée par le réseau CBC, démontre que des produits chimiques que l’on retrouve dans les désodorisants d’air, les phtalates, pourraient causer des cancers ou l’infertilité.

Les phtalates sont utilisés afin que l’odeur des désodorisants reste le plus longtemps possible dans l’air.

19 produits ont été analysés par l’équipe de journalistes, qui a trouvé deux types de phtalates, le DEP et le DBP, dans 7 échantillons.

Des chercheurs de l’Université Harvard, arrivés à des conclusions similaires, affirment que les phtalates réduisent le nombre de spermatozoïdes chez les hommes adultes. Ils sont également associés à des anomalies génitales chez les bébés mâles.

La CBC a tenté de joindre l’Association canadienne des produits de consommation spécialisés, qui représente l’industrie des désodorisants au Canada. Cette dernière a refusé d’accorder une entrevue au réseau.

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Les conséquences de la pollution en chiffres

Selon un rapport publié par l’Association médicale canadienne (AMC), la pollution atmosphérique a de graves conséquences sur l’état de santé de la population canadienne, particulièrement chez les personnes âgées de plus de 65 ans.

Le document L’air qu’on respire : Coût national des maladies attribuables à la pollution atmosphérique nous apprend qu’environ 21 000 personnes vont décéder des effets de la piètre qualité de l’air et, qu’à court terme, ce chiffre sera de 3 000 morts par année.

9 000 hospitalisations, 30 000 visites à l’urgence et 620 000 consultations auprès d’un médecin sont directement associées à la pollution atmosphérique selon les auteurs du rapport, ce qui représente des coûts de 8 milliards de dollars pour les contribuables canadiens, uniquement pour l’année 2008.

C’est au Québec et en Ontario que l’on va répertorier le plus décès, à raison de 70 % sur l’échelle canadienne.

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Les difficultés respiratoires s’aggravent chez les asthmatiques

Une enquête commandée par l’Association pulmonaire du Canada dévoile que 62 % des Canadiens asthmatiques souffrent de plus en plus des complications de leur maladie respiratoire, particulièrement lors des journées de smog.

Si la majorité d’entre eux évitent d’aller à l’extérieur lorsque la qualité de l’air est mauvaise, bien peu connaissent un moyen pour améliorer leur santé respiratoire.

« Le lien qui existe entre l’air pollué et l’asthme est souvent sous-estimé. Une exposition de courte durée à l’ozone – principal ingrédient du smog – peut aggraver des affections pulmonaires, causer des maux et nécessiter une hospitalisation. L’exposition chronique à l’ozone peut causer le décès prématuré chez les personnes atteintes de maladies respiratoires ou cardiaques », a noté Carmelle Mulaire, présidente du conseil d’administration de l’Association pulmonaire.