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Un test d’urine pour prédire les caillots sanguins

Une recherche, publiée dans le Journal of the American Medical Association, nous apprend qu’un simple test d’urine pourrait servir à prédire le risque de souffrir de caillots sanguins, dans les poumons et les jambes, qui pourraient éventuellement mener à une embolie pulmonaire.

En effet, il semble qu’un taux élevé d’albumine, une protéine dans l’urine, indique une incidence élevée de caillots sanguins.

« La microalbuminurie est un facteur de risque connu en matière de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral. Maintenant, on sait que c’est aussi le cas pour la thrombose veineuse profonde », a souligné l’auteur de cette étude, M. Bakhtawar K. Mahmoodi, qui a travaillé avec plus de 8 600 sujets pour en arriver à ces conclusions.

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Les boissons gazeuses, mauvaises pour les reins

Une recherche, effectuée auprès de 9 358 adultes et publiée dans la revue médicale PLoS One, nous apprend que les femmes auraient tout intérêt à ne pas trop consommer de boissons gazeuses quotidiennement.

En effet, le risque de maladie du rein double lorsqu’elles boivent deux canettes de boissons gazeuses quotidiennement, que ce soit sans sucre ou non.

24 heures après avoir bu les boissons, les chercheurs ont trouvé des traces d’albumines, une protéine dans les urines souvent associée aux maladies du rein.

Ce constat ne semble toutefois pas s’appliquer aux hommes, selon les chercheurs de l’Université Loyola de Chicago qui ont analysé des échantillons d’urine pour en arriver à ces conclusions.

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Le poisson, bénéfique pour les diabétiques

Une recherche menée auprès de 22 000 adultes, dont 517 aux prises avec le diabète, conclut que le poisson, au menu deux fois par semaine, peut réduire l’incidence de maladies aux reins chez ces derniers.

Les chercheurs ont aussi observé que ceux qui consommaient du poisson une fois par semaine avaient des traces d’albumine (une protéine) dans leur urine dans 18 % des cas, tandis que les diabétiques qui mangeaient du poisson deux fois par semaine avaient cette même protéine dans seulement 4 % des cas.

« La présence de protéines dans l’urine est l’un des premiers signes d’une maladie aux reins. Changer son alimentation est relativement simple et peut diminuer le risque », a indiqué la Dre Amanda Adler, du Centre hospitalier Addenbrooke à Cambridge.

Tous les détails se retrouvent dans l’édition de novembre de l’American Journal of Kidney Diseases.