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La raison du divorce de Cuba Gooding Jr. : infidélité, drogue et alcool

Le 23 avril dernier, l’acteur Cuba Gooding Jr., gagnant d’un Oscar, recevait les papiers de divorce de Sara Kapfer, sa femme des 20 dernières années.

Radar Online rapporte cependant les confessions d’une femme qui a demandé l’anonymat. Elle raconte les événements d’une soirée un peu trop arrosée et agrémentée de cocaïne.

« J’ai rencontré Cuba en 2007, pendant une sortie en boîte de nuit », rapporte l’inconnue. « Il était déjà pas mal ivre. » En fin de soirée, il l’a invitée, en plus d’autres gens, à finir la soirée chez lui. « Lorsque nous sommes arrivés, il s’est mis en sous-vêtements. »

Cuba Gooding Jr. a forcé la jeune femme à l’embrasser et a tenté de coucher avec elle. Elle a dû quitter la résidence à la hâte.

Lorsque la victime a appris que la femme de l’acteur demandait le divorce, elle s’est dit : « Il était temps », parce que selon ce qu’elle rapporte, Gooding affirmait que son épouse était au courant qu’il se tapait souvent d’autres femmes.

Lorsque Radar Online a joint l’agent de la star, celui-ci n’a émis aucun commentaire.

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Alcool et marijuana : une consommation transmise de génération en génération

Une nouvelle étude sur les risques intergénérationnels en matière de dépendance aux drogues et à l’alcool estime que la consommation est une habitude qui peut être transmises aux générations suivantes, rapporte Top Santé.

Tout comme les bonnes habitudes et les bons exemples, les mauvais sont aussi calqués par les enfants, et il semble que ce soit particulièrement vrai dans le cas de l’alcool et des drogues douces comme le cannabis.

L’étude américaine sondait près de 2000 parents et leurs enfants, demandant à ces derniers de remplir des questionnaires concernant leurs habitudes quant à l’alcool et au cannabis.

Le résultat est clair pour les chercheurs de la Sam Houston State University, Dre Kelly Chevalier en tête, et démontre que les risques sont nettement plus élevés pour les enfants de parents consommateurs et adeptes de ces drogues douces d’en faire eux-mêmes l’expérience sur une base régulière dans le futur.

On parle d’un risque cinq fois plus grand en matière d’alcool et deux fois plus grand concernant la marijuana, comparativement aux enfants de parents qui n’en consomment pas.

« Cette étude est unique et rare. Elle prédit l’usage de la substance sur plusieurs générations. Cette relation identifiée entre les générations peut fournir des informations importantes sur l’impact du comportement des parents dans l’adolescence et l’âge adulte de l’enfant », mentionne Dre Chevalier.

Les chercheurs croient donc qu’il est important pour les parents de revoir leurs habitudes à l’arrivée des enfants, ou de s’assurer de s’adonner aux vices des drogues douces et de l’alcool dans le plus grand secret, si absolument nécessaire.

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Tom Hardy détestait l’école

L’acteur de 36 ans Tom Hardy n’a jamais aimé l’école. Il préférait se donner corps et âme dans le sport et mettre le moins d’efforts possible sur ses résultats scolaires.

Cependant, quand on lui a dit qu’il « crèverait de faim » s’il ne faisait rien, il a été secoué et s’est inscrit à l’école d’art dramatique.

« Je n’étais pas un grand fan de la paperasse scolaire, de l’idée que si tu faisais ce qu’ils disaient, tu deviendrais intelligent », raconte-t-il au magazine Total Film. « Comme si un diplôme te rendait automatiquement fiable. »

Hardy se rend compte avec le recul qu’il était borné, mais dans sa jeunesse, il était plus « impulsif ». « J’étais jeune, j’étais stupide, ça n’avait rien de tangible ni de logique à mes yeux. »

Lorsqu’il est sorti de l’école d’art dramatique, il avait 24 ans et se rappelle à quel point il a eu de la difficulté à aborder l’industrie. Il devait d’abord se reprendre en main et sortir de sa dépendance à l’alcool et au crack.

C’est en 2003 que Tom Hardy est entré en désintoxication. Sa sobriété aura permis de le propulser vers des rôles comme ceux de The Dark Knight Rises et Lawless.

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Tom Hardy détestait l’école

L’acteur de 36 ans Tom Hardy n’a jamais aimé l’école. Il préférait se donner corps et âme dans le sport et mettre le moins d’efforts possible sur ses résultats scolaires.

Cependant, quand on lui a dit qu’il « crèverait de faim » s’il ne faisait rien, il a été secoué et s’est inscrit à l’école d’art dramatique.

« Je n’étais pas un grand fan de la paperasse scolaire, de l’idée que si tu faisais ce qu’ils disaient, tu deviendrais intelligent », raconte-t-il au magazine Total Film. « Comme si un diplôme te rendait automatiquement fiable. »

Hardy se rend compte avec le recul qu’il était borné, mais dans sa jeunesse, il était plus « impulsif ». « J’étais jeune, j’étais stupide, ça n’avait rien de tangible ni de logique à mes yeux. »

Lorsqu’il est sorti de l’école d’art dramatique, il avait 24 ans et se rappelle à quel point il a eu de la difficulté à aborder l’industrie. Il devait d’abord se reprendre en main et sortir de sa dépendance à l’alcool et au crack.

C’est en 2003 que Tom Hardy est entré en désintoxication. Sa sobriété aura permis de le propulser vers des rôles comme ceux de The Dark Knight Rises et Lawless.

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Chris Pine ira en cour pour conduite avec facultés affaiblies

Le nouveau Capitaine Kirk de la franchise Star Trek était en Nouvelle-Zélande pour le tournage de Z for Zachariah. La police a dévoilé dans un communiqué que l’acteur de 33 ans a été appréhendé le 1er mars tôt en matinée près de Methven, une ville située au sud de l’île.

On apprend aujourd’hui, selon pagesix.com, que Pine est appelé à paraître au tribunal lundi prochain, le 17 mars.

Le propriétaire du bar où la star fêtait la fin du tournage, Casey Crawford, a affirmé au journal local que Pine n’avait pas du tout l’air ivre en quittant l’établissement, vers 2 h 30 du matin. Il était en compagnie de sa copine, Iris Bjork Johannesdottir, et refusait de prendre des photos avec des fans.  « Il avait simplement l’air de vouloir passer du temps avec sa partenaire. »

Durant toute la soirée, le groupe de tournage qui accompagnait la star s’est bien comporté. « Chris était agréable. C’était des gens bien, tout le groupe », a poursuivi Crawford.

Le bar a même offert de les ramener chez eux, ce que Chris Pine aurait dû accepter.

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Les personnes impulsives plus à risque d’obésité

Une nouvelle étude américaine trace un parallèle entre l’impulsivité et une hausse des risques d’obésité, rapporte Santé Log.

Selon des chercheurs de l’Université de Géorgie, un comportement impulsif peut mener rapidement à une prise de poids. La même chose s’applique à l’abus d’alcool et de drogues, mais le phénomène serait particulièrement sournois en matière d’alimentation.

Ce lien a pu être tracé grâce à l’analyse de sujets volontaires, que l’on a soumis à deux types de tests. Le premier vérifiait le niveau de dépendance alimentaire et les habitudes de consommation, alors que le deuxième s’attardait au degré d’impulsivité des sujets. 233 de ces volontaires à l’étude ont permis d’établir le lien exposé par les chercheurs.

Ils croient ainsi qu’il est possible de s’attaquer à l’obésité et aux troubles alimentaires de la même façon qu’on le fait pour traiter d’autres dépendances découlant de l’impulsivité.

Cette étude s’ajoute donc à plusieurs autres qui ont précédemment établi que la surconsommation de nourriture et certains troubles alimentaires sont des phénomènes similaires aux autres dépendances.

Les aliments gras, salés, sucrés ou réconfortants permettent tous de créer une réaction dans la « zone de récompense » du cerveau, pavant ainsi la voie aux abus et à l’obésité.

D’autres études et recherches sont attendues afin d’analyser les possibles méthodes de traitements afin de venir en aide aux personnes impulsives qui souhaiteraient améliorer leurs habitudes de consommation de nourriture.

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Boisson énergisante : facteur de consommation de drogue, alcool et cigarette chez l’adolescent

Une étude publiée dans le Journal of Addiction Medicine et rapportée par Medical News Today affirme que le tiers des adolescents américains sont de fervents consommateurs des boissons énergisantes.

Selon la chercheuse Yvonne M. Terry-McElrath et ses collègues de l’Institute for Social Research à l’Université du Michigan, ces doses d’énergie instantanée sont consommées dans le même état d’esprit que pour la drogue, l’alcool ou la cigarette. Il y a les notions « de recherche de risque et de sensation ».

Les données analysées regroupent les informations de près de 22 000 étudiants du secondaire. Environ 30 % des répondants ont affirmé consommer des boissons énergisantes format régulier ou en shot. Les données rapportent également que ce sont les plus jeunes (secondaire 1) qui consomment le plus de ces boissons.

En plus, parmi les consommateurs de boissons énergisantes, on retrouvait de 2 à 3 fois plus d’adolescents utilisant d’autres substances (drogue, alcool, cigarette), comparativement aux étudiants qui ne prenaient pas ce type de boisson.

« Cette étude démontre clairement que la consommation de boissons énergisantes est très répandue chez les adolescents et qu’elle risque d’être reliée à d’autres dépendances », a écrit Terry-McElrath. 

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Cesser de boire complètement pourrait être moins bénéfique qu’une consommation modérée

Le Daily Mail (UK) fait état d’un phénomène baptisé le « Dry January », qui consiste à cesser complètement de boire lors du mois de janvier, afin de se libérer des « toxines » accumulées au cours du temps des fêtes.

Plusieurs personnes, et pas seulement en Angleterre, se lanceraient le défi chaque année depuis quelque temps, souvent avec succès. La manœuvre, qui peut sembler logique, ne serait pourtant pas la meilleure avenue, selon quelques spécialistes qui prônent plutôt une consommation d’alcool modérée tout au long de l’année.

« Plusieurs personnes ne réalisent pas que le fait de boire avec modération possède des bénéfices significatifs pour la santé, et que les buveurs modérés ont une plus grande espérance de vie que les non-buveurs », lance notamment le professeur Charles Bamforth, de l’Université de la Californie.

Bamforth sait bien que la consommation excessive d’alcool est très nocive pour la santé, mais croit que « la clé est de boire un peu, et souvent ».

Des propos un peu étonnants qui donnent envie de trinquer à sa santé, à condition de pouvoir s’arrêter après un verre ou deux.

On vante notamment les bienfaits de certaines bières et, bien entendu, du vin, qui possèdent plusieurs caractéristiques bienfaitrices pour la santé.

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Homosexualité reliée à la consommation de nicotine et d’alcool pendant la grossesse

Cette recherche effectuée par le Dr Dick Swaab soulèvera sans doute l’indignation rapidement. Comme l’indique Science World Report, il met de l’huile sur le feu du débat qui est déjà sur le tapis, soit la recherche de l’origine et la cause exacte de l’homosexualité.

Comme si l’orientation sexuelle était une conséquence malheureuse, ou encore aujourd’hui traitée comme une maladie. Qui plus est, la faute reviendrait à la mère, notamment si celle-ci n’a pas vécu une grossesse sans stress. Les hormones du stress viendraient altérer les hormones sexuelles du fœtus.

Selon le Dr Swaab, si la future mère utilise des amphétamines ou de la nicotine pendant la grossesse, elle a plus de chance de donner naissance à une fille lesbienne. D’autre part, plus nombreux sont les garçons d’une famille, et plus le petit dernier aura des chances d’être homosexuel. Selon le chercheur, cette théorie se vérifierait parce que la femme développe une réponse immunitaire accrue contre les hormones mâles d’une grossesse à l’autre.

Dans la recherche présentée au Britain’s Sunday Times, Dr Swaab est catégorique. Selon lui, l’orientation sexuelle se détermine dans le ventre de la mère et ne peut pas être altérée par la suite. Il décrit d’ailleurs toutes ses théories dans un livre qu’il a publié, intitulé We Are Our Brains.

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Quand l’alcool affecte sérieusement les capacités cognitives chez les hommes

Si une consommation d’alcool par jour peut toujours passer, il semble que quatre soit le seuil critique à ne pas atteindre chez les hommes, notamment ceux ayant franchi le cap de la cinquantaine.

Top Santé rapporte en effet les conclusions d’une étude sur le sujet, qui dévoile des conséquences potentiellement catastrophiques pour les hommes consommant de trois à quatre verres d’alcool quotidiennement.

Même si la cinquantaine peut sembler un âge plus avancé pour les plus jeunes, il s’agit somme toute d’un palier assez jeune, surtout si l’on considère que c’est la première fois qu’une étude du genre s’attarde à cette portion de la population (les études précédentes visant surtout les 65 ans et plus).

« Notre étude est basée sur des personnes âgées en moyenne de 56 ans lors des premiers tests cognitifs, ce qui est relativement jeune par rapport aux études précédentes sur ce sujet. Elle suggère qu’une forte consommation d’alcool serait associée à un déclin cognitif plus rapide dans tous les domaines cognitifs étudiés », résume Séverine Sabia de l’University College, auteure de la recherche.

Les conséquences d’une trop forte consommation d’alcool quotidienne chez l’homme peuvent varier entre un déclin de la mémoire, de l’attention et du raisonnement.

Les résultats de l’étude sont publiés dans le magazine Neurology.