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L’alcool est calorique, mais pourrait ne pas vous faire engraisser

L’alcool comporte, outre ses plaisirs évidents, une bonne dose de calories, confirment tous les spécialistes. Mais selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), l’alcool ne ferait pas systématiquement engraisser, ce qui a de quoi surprendre.

C’est en effet la conclusion à laquelle arrivent plusieurs chercheurs, à commencer par l’éminent et regretté Charles S. Lieber, de Harvard.

Ce dernier était tout sauf un allié de l’alcool, martelant les effets potentiellement dangereux de la surconsommation et établissant pour la première fois le lien direct entre celle-ci et des problèmes aux reins et au foie.

Or, il a également affirmé en 1991 que l’alcool n’avait pourtant pas d’effet direct sur la prise de poids, une théorie maintenant récupérée et démontrée de nouveau par certains de ses homologues.

C’est le cas de Tony Edwards, qui publie un livre dans lequel on retrouve ses observations en matière d’alcool. Après avoir suivi le cas de 9000 femmes au cours d’une période de 13 ans, il dépose ses conclusions qui démontrent de façon évidente que celles qui ont pris le plus de poids n’étaient pas les plus grosses buveuses, au contraire. En fait, les femmes ayant consommé le plus d’alcool étaient celles qui affichaient les tailles les plus minces, un résultat stupéfiant.

Bien entendu, tout cela ne demeure que des études isolées, et le phénomène reste à prouver, mais de plus en plus de spécialistes en arrivent au constat que l’alcool ne fait pas systématiquement engraisser, sans toutefois parvenir à l’expliquer clairement.

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Refuser le dernier verre préviendrait certains ennuis de santé

Top Santé rapporte une nouvelle campagne de sensibilisation, lancée en France, qui s’attaque au « verre de trop », après qu’une recherche ait démontré que refuser une seule consommation supplémentaire pouvait grandement aider à prévenir certains problèmes de santé.

Juste à temps pour le temps des fêtes, cette campagne vise ce qu’on appelle communément la tranche des « 18-34 », c’est-à-dire les jeunes adultes qui ont l’habitude des nuits en boîte et des soirées bien arrosées.

« Déjà utilisée dans des campagnes de prévention contre l’alcool aux États-Unis ou en Australie, cette technique permet de renforcer la capacité de celui qui ose dire non à un verre supplémentaire sans aucune stigmatisation. S’il est communément admis que refuser un verre peut donner l’impression de gâcher le moment festif, les publicités de cette campagne de prévention s’emploient à montrer justement l’inverse. Dire non à l’alcool devient simple, possible sans passer pour un ringard », explique l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes), instigatrice de cette campagne.

On souhaite ainsi sensibiliser aux bienfaits d’une consommation modérée non seulement sur la santé, mais aussi en matière de sécurité routière, dont le bilan s’alourdit souvent au cours du temps des fêtes.

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Josh Brolin entre en désintoxication

C’est en exclusivité qu’Us Weekly a reçu l’information selon laquelle l’acteur Josh Brolin vient de s’inscrire dans un centre de désintoxication en Caroline du Nord pour traiter son alcoolisme.

« Il a réalisé qu’il avait besoin d’aide et s’engage à demeurer sobre désormais », a révélé une source.

Cette démarche survient à la suite de deux récents incidents qui se sont produits le même weekend, les 2 et 3 novembre. Selon TMZ, la star ivre a été mêlée à une altercation avec un autre homme à l’entrée du Pub O’Brien à Santa Monica. Ils ont fini par faire la paix dans une étreinte fraternelle. Le lendemain, Josh Brolin a été filmé alors qu’il criait après un chauffeur de taxi de Los Angeles.

TMZ a interrogé l’acteur, lui demandant s’il regrettait les incidents et s’il comptait régler sa dépendance à l’alcool. « Absolument, je regrette, et ça n’arrivera plus », a répondu Brolin.

Rappelons que la star a été arrêtée trois fois pour des cas d’ivresse. En 2004, sa femme, l’actrice Diane Lane, avait appelé la police pour une altercation survenue entre eux. Puis, on l’avait mis en détention en 2008 et à la veille du jour de l’an de 2013 pour ivresse publique et altercation.

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4 % de la population du Québec seraient considérés comme dépendants

Radio-Canada rapporte une nouvelle étude québécoise qui affirme que 4 % de la population de la province seraient dépendants à quelque chose, que ce soit à une substance ou à un comportement.

350 000 personnes donc, si on fait le calcul, qui seraient aux prises avec une forme ou une autre de dépendance sur le territoire québécois, notamment aux drogues ou au jeu.

Si le nombre ne semble pas si alarmant, il n’en demeure pas moins que sur ces 350 000 personnes, seulement 55 000 auraient cherché de l’aide au cours de la dernière année, des statistiques qui semblent se répéter depuis un certain moment.

L’Association des centres de réadaptation en dépendance du Québec (ACRDQ), qui publie l’étude, croit que les deux tiers de la population du Québec ignorent carrément qu’il existe des organismes et un réseau de soutien qui vient en aide aux personnes dépendantes, ce qui ajoute au problème.

D’autres auront du mal à accepter qu’il existe un problème dans leur comportement, alors que plusieurs seront envahis d’un sentiment de honte et seront gênés de demander de l’aide.

Les trois phénomènes peuvent être contrés par des efforts de sensibilisation, croit l’ACRDQ, comme l’instauration de la Semaine de prévention de la toxicomanie, qui s’entame ce lundi (18 novembre).

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4 % de la population du Québec seraient considérés comme dépendants

Radio-Canada rapporte une nouvelle étude québécoise qui affirme que 4 % de la population de la province seraient dépendants à quelque chose, que ce soit à une substance ou à un comportement.

350 000 personnes donc, si on fait le calcul, qui seraient aux prises avec une forme ou une autre de dépendance sur le territoire québécois, notamment aux drogues ou au jeu.

Si le nombre ne semble pas si alarmant, il n’en demeure pas moins que sur ces 350 000 personnes, seulement 55 000 auraient cherché de l’aide au cours de la dernière année, des statistiques qui semblent se répéter depuis un certain moment.

L’Association des centres de réadaptation en dépendance du Québec (ACRDQ), qui publie l’étude, croit que les deux tiers de la population du Québec ignorent carrément qu’il existe des organismes et un réseau de soutien qui vient en aide aux personnes dépendantes, ce qui ajoute au problème.

D’autres auront du mal à accepter qu’il existe un problème dans leur comportement, alors que plusieurs seront envahis d’un sentiment de honte et seront gênés de demander de l’aide.

Les trois phénomènes peuvent être contrés par des efforts de sensibilisation, croit l’ACRDQ, comme l’instauration de la Semaine de prévention de la toxicomanie, qui s’entame ce lundi (18 novembre).

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Les adolescents prennent plus de risques lorsqu’ils sont fatigués

Selon une nouvelle étude, rapportée par MedicalXpress, les adolescents qui ne dorment pas suffisamment et qui présentent des signes de fatigue sont plus enclins à prendre des risques ou à faire des bêtises.

On note à cet effet : avoir des relations sexuelles non protégées, consommer alcool et drogues, et conduire malgré la fatigue ou avec les facultés affaiblies.

C’est Kalina Rossa, chercheuse spécialisée au niveau du sommeil au Centre de recherche sur les accidents et la sécurité routière du Queensland (CARRS-Q), qui a mesuré les effets de la privation de sommeil.

Selon elle, c’est la partie décisionnelle du cerveau qui est la plus affectée, surtout chez les jeunes, puisqu’avant l’âge de 25 ans, elle n’est pas pleinement mature.

« Ce que cela signifie, c’est que la partie du cerveau qui est responsable de la résolution de problème et du contrôle des impulsions change avec le manque de sommeil. Comme cette partie est encore en développement, les jeunes qui sont fatigués prennent de mauvaises décisions. »

Attention, cela ne veut pas pour autant dire qu’il faut mettre toute la faute sur la fatigue!

 
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L’acétaminophène et l’alcool ne font vraiment pas bon ménage

On sait depuis longtemps qu’il ne faut pas mélanger médicaments et alcool, la plupart du temps, mais cette règle s’applique également aux médicaments retrouvés en vente libre et qui semblent de prime abord inoffensifs.

Du coup, rapporte The National Library of Medicine, plusieurs personnes consomment régulièrement ou quotidiennement du Tylenol pour de multiples raisons, et boivent tout de même quelques verres d’alcool à l’occasion.

Or, selon une étude récemment publiée, la quantité d’acétaminophène ou d’alcool ingurgitée ne serait pas gage de sécurité. Selon des chercheurs américains, qui présentaient leurs conclusions lors de la rencontre annuelle de l’American Public Health Association à Boston, une posologie normale de Tylenol et une faible quantité d’alcool sont suffisantes pour causer de sérieux problèmes de santé.

Notamment aux reins, rapportent les chercheurs impliqués dans l’étude en question, alors que les risques de déficience ou d’insuffisance rénale augmenteraient de 123 % dans ces circonstances données.

Les chercheurs s’inquiètent d’autant plus que les statistiques de consommation d’acétaminophène et d’antidouleurs sont en hausse depuis quelques années. 

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Ces régimes ruinés par l’alcool

Le DailyMail (UK) rapporte des statistiques intéressantes concernant les régimes et ceux qui les suivent, et les conséquences d’une consommation d’alcool simultanée.

Un sondage réalisé par la firme Forza révèle qu’une bonne proportion de ceux qui tentent de perdre du poids en se mettant au régime ruinent leurs efforts en sortant le soir et en consommant trop d’alcool.

C’est quatre individus sondés sur dix, et ayant répondu oui à la question « Suivez-vous un régime? », qui admettent continuer de boire de l’alcool.

Le problème, c’est qu’une virée dans une boîte de nuit peut se transposer en plus de 1000 calories, ce qui peut contrer les effets d’un régime en un rien de temps. Plus du quart des répondants consommerait d’ailleurs le quart de leurs calories en alcool chaque semaine, un problème souvent mésestimé par les gens qui désirent perdre du poids.

De plus, il existe une corrélation claire entre faire la fête et sombrer dans la nourriture grasse et calorique par la suite, ce qui rend la statistique alors complètement catastrophique. 

Ce sondage confirme donc la vision d’une majorité de chercheurs et de spécialistes, qui conseillent justement de d’abord couper dans l’alcool lorsqu’une personne entame un régime!

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Jessie J fête un an de sobriété

Selon Standard.co.uk, la chanteuse de 25 ans, Jessie J, a pris son dernier verre d’alcool le 15 octobre 2012. L’artiste affirme que cette année d’abstinence a « nettoyé son mental ».

La chanteuse va ainsi à contre-courant des données statistiques des habitudes sociales des Britanniques. Dans les 3 dernières décennies, la consommation d’alcool a augmenté de 9 % au Royaume-Uni. Les résidents disent d’ailleurs que leur vie sociale se trouve diminuée lorsqu’ils cessent de boire.

« Dans mon cas, ça n’a pas fait une grande différence », a confié Jessie J au Daily Mirror. « Je n’ai pas beaucoup d’amis, je ne sors pas beaucoup. »

Elle se rattrape en disant qu’elle a les amis dont elle a besoin, et qu’elle n’en a pas besoin de plus.

Récemment, la chanteuse a également mentionné qu’elle souhaitait s’investir « à 100 % dans le cinéma ». Des offres ont déjà été proposées à Jessie J, mais son horaire surchargé ne lui permettait pas de combiner les deux métiers.

Changement de carrière à l’horizon?

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La crise de la quarantaine frappe aussi en santé

La fameuse crise de la quarantaine frappe une bonne partie de la population qui arrive à cette étape importante de la vie, et ce virage apporte souvent son lot de comportements nouveaux et de bilans sérieux.

Le phénomène n’en serait pas qu’un social ou psychologique, selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), mais frapperait aussi l’imaginaire en termes de santé physique, selon les conclusions d’une étude sur le sujet.

En fait, il appert que les trois quarts des individus, ici des Britanniques, s’inquièteraient fortement de leur bilan au tournant de la quarantaine, à un point tel que la moitié d’entre eux affichent des changements de comportements radicaux lorsque la trentaine se termine.

Arrêt du tabagisme, réduction de la consommation d’alcool, activité physique plus abondante et régulière, meilleure alimentation, voilà quelques-unes des mesures prises par une quantité phénoménale de jeunes quarantenaires, soucieux des impacts de leurs choix de vie antérieurs.

Il semble que ce soit aussi une période qui apporte son lot de remords et d’inquiétudes, alors que 64 % affirment regretter ne pas avoir fait ces choix plus jeunes, et 50 % s’interrogent sur leur capacité à inverser les dommages causés à leur corps.

Bien qu’il n’y ait pas d’âge pour commencer à s’occuper de soi, commencer jeune à penser à sa santé semble permettre d’éviter tout un volet d’une crise qui parait déjà plutôt intense.

Par ailleurs, il semble que le phénomène touche cette fois autant les femmes que les hommes.