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L’alcool serait aussi un facteur de développement du cancer du sein

La consommation d’alcool n’est pas assez reconnue pour ses propriétés cancérigènes, notamment en ce qui concerne le cancer du sein, croient des chercheurs américains.

Ces derniers, issus de l’École de médecine de Boston, viennent de publier une étude sur le sujet, qui parle du danger lié à la consommation d’alcool chez la femme, un danger qui serait vérifiable à partir de deux consommations par jour, rapporte Top Santé.

Si cela peut sembler peu, il appert que cela est suffisant pour placer les femmes à risque, croit l’équipe de spécialistes.

« Boire deux verres d’alcool par jour est suffisant pour augmenter le risque de développer un cancer. Même s’il s’agit d’une consommation qui peut sembler modérée, voire raisonnable, cela suffit à multiplier le risque de souffrir d’un cancer, et notamment de développer un cancer du sein », résume l’équipe de chercheurs bostonnais.

Classé comme substance cancérigène depuis 1988 par l’OMS, l’alcool doit donc être pris au sérieux en tant que facteur de risque du cancer du sein, selon l’étude en question.

Cette dernière avance également que plusieurs décès liés au cancer du sein et potentiellement développés par l’alcool sont « cachés » dans les statistiques de cancer, alors qu’ils découlent d’un problème d’alcool.

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Alcool et déprime vont de pair

Si vous buvez parce que vous êtes déprimé et que vous ne semblez jamais voir le fond (du problème), c’est peut-être parce que vous buvez que vous êtes déprimé.

C’est au fond le constat que proposent des chercheurs de l’Université de Californie à San Diego en publiant une étude sur le sujet dans la prochaine édition du Journal of Studies on Alcohol and Drugs, rapportée par Santé Log.

Pour eux, le lien entre déprime et alcool est très facile à établir. L’inverse ne serait pas nécessairement vrai, cependant, c’est-à-dire de « boire parce qu’on est déprimé ». Les gens qui utilisent cette excuse pourraient bien retrouver un peu de joie de vivre en lâchant le goulot, concluent les spécialistes américains.

Ces derniers croient également qu’il faudrait regarder du côté des habitudes de consommation d’alcool des patients avant de prescrire des antidépresseurs pour les plus déprimés et dépressifs.

Peu importe la façon dont on analyse les données de l’étude, les résultats sont clairs : l’alcool déprime. Et elle sera difficile à contrer, cette étude, puisqu’elle comptabilise des données sur 397 sujets masculins depuis 30 ans!

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Les boissons diètes augmentent la puissance de l’alcool

On serait porté à croire que l’utilisation des boissons diètes pour les cocktails de fin de soirée est une bonne chose.

Voilà que selon une étude américaine en provenance du Kentucky, les boissons gazeuses diètes ne font pas que faire baisser le nombre de calories dans votre verre : elles en augmentent aussi la puissance.

Ainsi, après plusieurs tests effectués à l’aide d’un analyseur d’alcoolémie, on a pu constater cet état de fait, qui a de quoi surprendre, rapporte The National Library of Medicine.

« La clé est d’être sensibilisé au phénomène. Les gens croient souvent que d’abaisser le nombre de calories est important, mais quand vous buvez de l’alcool, ces mêmes calories aident à ralentir le relâchement de l’alcool dans votre foie et au cerveau », explique l’auteure en chef de l’étude, Cecile Marczinski.

Selon Marczinski et ses collègues de la Northern Kentucky University, il faudrait donc éviter d’utiliser les boissons diètes lorsqu’on prépare des boissons alcoolisées, ou alors de s’assurer de bien manger avant de se lancer.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Alcoholism: Clinical and Experimental Research du 5 février dernier.

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Boire jeune, boire trop

Il appert que plus un individu commence à consommer de l’alcool tôt dans sa vie, plus il a de chance de boire trop et d’éprouver des problèmes de consommation.

C’est Santé Log qui rapporte une étude sur le sujet, qui cible particulièrement ce phénomène moderne qu’on appelle binge drinking. Les recherches, publiées dans la plus récente édition du magazine Alcoholism: Clinical & Experimental Research, démontrent des statistiques qui en disent long.

Ainsi, les 39 000 dossiers analysés par l’équipe de chercheurs de l’Université de Washington tendent à démontrer que les sujets qui ont commencé à boire de l’alcool avant l’âge de 21 ans sont aussi moins portés à en consommer avec modération.

Le binge drinking est un phénomène défini par le fait d’une personne qui consomme des quantités abusives d’alcool sur une période de temps donnée, un comportement de plus en plus populaire et remarqué chez les jeunes, particulièrement les étudiants.

Ce comportement mènerait, dans bien des cas, à des problèmes qui suivent les individus jusque dans leur vie d’adulte.

Cette étude avait pour but de déterminer si le fait de permettre à des jeunes de 18 ans de consommer de l’alcool légalement était une mesure responsable.

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Une invention qui permet de consommer avec modération

Santé Log fait état d’une invention qui vous permettrait de consommer de l’alcool avec une plus grande modération. Il s’agit d’un glaçon pour le moins spécial, qui clignote au rythme de la musique… et de vos abus.

Ainsi, le cube de glace se place dans votre verre, bien sûr, et propose une série de messages par clignotements, qui indiquent notamment le nombre de gorgées d’alcool absorbées jusqu’à maintenant, ainsi que le temps total passé à boire.

On peut même lier l’invention à notre téléphone intelligent, qui envoie un message à une personne-ressource pour la prévenir qu’elle aura probablement à venir nous chercher durant la nuit.

« Après un malaise provoqué par l’alcool, j’ai développé des glaçons intelligents qui clignotent au rythme de la musique. Leur système électronique indique à quelle vitesse et combien vous buvez. Les cubes passent du vert à l’orange et au rouge, et indiquent la limite à ne pas dépasser. Et si vous buvez au-delà des limites, le glaçon envoie un message à votre meilleur ami via votre téléphone intelligent », explique avec enthousiasme l’inventeur de ce glaçon intelligent, Dhairya Dand, du MIT Media Lab.

Il reste à voir si le public réagira favorablement à ce genre d’idée.

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L’alcool nuit à la qualité de votre sommeil

Top Santé rapporte une étude qui démontre clairement que l’alcool nuit à la qualité du sommeil.

Bien sûr, boire quelques verres peut permettre de rejoindre le pays des rêves plus rapidement, mais ce n’est pas un gage de « bon sommeil », loin de là.

En fait, selon les spécialistes du London Sleep Center en tête de cette étude, l’alcool affecte les cycles du sommeil et ouvre la porte à une panoplie de troubles subséquents. Insomnie, sommeil agité, cauchemars, voilà des problèmes qui peuvent apparaitre à la suite d’une consommation d’alcool trop importante ou trop tardive.

Les sujets qui se sont prêtés au jeu de l’étude en question ont tous confirmé avoir ressenti des troubles du sommeil dans la deuxième partie de la nuit, et ce, peu importe la quantité ingérée. Cette dernière n’aurait pas vraiment d’incidence sur la qualité de vos nuits, et le fait que l’alcool semble donner un accès plus simple vers Morphée ne serait qu’une arme à deux tranchants.

Les experts londoniens concluent qu’il faudrait attendre environ deux heures avant d’aller au lit si l’on a consommé de l’alcool le soir même.

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Lacunes observées dans la prévention de l’alcoolisme

Une étude rapportée par The National Library of Medicine fait état de certaines lacunes dans le dépistage ou la prévention de l’alcoolisme.

Les praticiens ne parviendraient pas, dans une majorité de cas, à diagnostiquer avec précision les cas d’alcoolisme chez leurs patients, explique l’étude.

Au lieu de se fier simplement à leur instinct et aux indices présentés par les patients, les médecins devraient utiliser certaines méthodes de dépistage connues, croient les auteurs de l’étude.

Après avoir compilé les données des dossiers de près de 1700 patients, les auteurs constatent que l’absence de diagnostic d’alcoolisme est observable dans 70 % des cas.

Il s’agit d’un constat alarmant, comme l’explique Bruce Goldman, directeur des Substance Abuse Services de l’hôpital Zucker Hillside de Glen Oaks (États-Unis).

« La consommation massive et à haut risque d’alcool est un contributeur majeur à plusieurs graves problèmes de santé observables dans notre société. Les praticiens sont parfaitement positionnés pour déceler ces troubles et diagnostiquer des problèmes de consommation chez leurs patients. »

Si plusieurs experts corroborent ces dires, d’autres affirment qu’il est plus difficile d’y parvenir en pratique qu’en théorie. Selon eux, plusieurs patients seraient réticents à consulter s’ils constataient que leur médecin se concentre davantage sur un problème d’alcool possible que sur leurs symptômes du moment.

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Musique

Le Mondial des cidres de glace reçoit Sylvain Cossette et Luce Dufault

Le 8 février prochain s’entamera la toute nouvelle édition du Mondial des cidres de glace, présenté par la SAQ, à Rougement.

La ville de la Montérégie ne recevra pas que des cidres cette année, puisque l’organisation annonce également la participation spéciale de Luce Dufault et de Sylvain Cossette comme artistes invités.

C’est donc dès le début de l’événement, le 8 février, que Sylvain Cossette tentera de réchauffer le cœur des spectateurs présents en présentant son matériel des années 60, 70, et 80. La prestation doit débuter à 21 h 30.

Luce Dufault aura la tâche de répéter l’exploit dès le lendemain, accompagnée sur scène par une panoplie de musiciens, dont ses acolytes qui la suivent depuis longtemps. La chanteuse devrait fouler les planches dès 20 h 30.

On peut donc s’attendre à un excellent spectacle de la part des deux artistes québécois, qui sont en grande forme.

Le Mondial des cidres de glace est un événement incontournable pour les amateurs de boissons et d’événements hivernaux. Les billets sont en vente sur le réseau Admission, au coût de 36 $.

L’organisation est fière de présenter cet événement, unique en hiver, et de réunir presque tous les cidriculteurs québécois au même endroit.

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Potins

Amy Winehouse – la deuxième analyse n’a servi à rien

La cause du décès d’Amy Winehouse demeure inchangée. La nouvelle coroner en place doit désormais se ronger les sangs à la suite de ses allégations et de sa demande de réouverture de l’enquête.

C’est ce matin, 8 janvier, que l’information a été confirmée à la cour du coroner de St Pancras, le même endroit que lors du premier verdict. Ainsi, digitalspy.ca rapporte que la chanteuse, décédée à l’âge de 27 ans, le 23 juillet 2011, a bel et bien succombé à un empoisonnement accidentel à l’alcool.

Une poursuite a été lancée contre le Dr Andrew Reid, destitué de son poste de coroner après avoir embauché son épouse « non qualifiée » pour l’analyse des preuves.

À la suite de ce second verdict, aucune information n’a été dévoilée, à savoir si la poursuite demeure.

Quant au père de la défunte, Mitch Winehouse, il était furieux de cette nouvelle requête, après les démarches déjà controversées du mandat du premier coroner. Il avait fait mention qu’il ne serait pas présent lors de l’annonce du second verdict.

« Je ne ferai pas traverser cela à ma famille une fois de plus. Je n’irai pas. Et je peux déjà vous dire que le résultat sera le même », avait alors déclaré Winehouse qui, somme toute, avait raison.

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Arrêter l’alcool : d’une pierre deux coups

De plus en plus d’études viennent confirmer l’impact négatif de l’alcool sur l’organisme. On parle bien sûr ici d’une surconsommation, qui vient alors nuire à plusieurs systèmes du corps et peut même entraîner des troubles de la mémoire à long terme, entre autres.

Il y a aussi l’aspect calorique de l’alcool, rapporte topsante.com. C’est justement pour cette raison que le WCRF conseille vivement à ceux qui souhaitent perdre du poids, ou le maintenir, de songer sérieusement à arrêter l’alcool complètement.

Si une association qui lutte contre le cancer se mêle de la partie, c’est qu’une perte de poids ou un maintien du poids santé est un gage d’une bonne santé en général et contribue à faire baisser les risques de développement de différents cancers.

Kate Mendoza, du WCRF, lance : « Réduire sa consommation d’alcool peut jouer un grand rôle dans la perte de poids ou le maintien d’un poids normal. Des études récentes ont montré que les consommateurs d’alcool n’ont pas souvent conscience des calories dans les boissons alcoolisées et ne les prennent pas en compte dans leur apport calorique quotidien ».

Parions que plusieurs se reconnaissent dans ce comportement…