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Comment gérer l’intolérance au fructose

L’intolérance au fructose est probablement moins connue que celle au lactose, mais elle n’en demeure pas moins bien réelle.

On appelle intolérance au fructose la réaction du corps qui ne tolère pas la présence de fructose, retrouvé notamment dans les fruits, les légumes et le miel.

Il s’agit d’un état très difficile à vivre pour les gens qui en souffrent, vu le nombre de produits qui contiennent du fructose. Selon www.nlm.nih.gov, qui reprend des suggestions de l’American Gastroenterological Association, il est toutefois possible d’éviter le pire.

D’abord, il faut réduire sa consommation de jus de fruits et, malheureusement, de fruits. Les jus sont par ailleurs souvent trop sucrés. Même chose du côté du miel, qui est à proscrire.

Un autre ennemi majeur des intolérants au fructose est certainement les boissons gazeuses, qui contiennent des parts importantes de fructose ajoutées. Voilà probablement une bonne chose que d’éviter ces boissons, de toute façon.

L’alcool est aussi à éviter, ce qui n’est pas une mauvaise chose pour votre santé en général non plus.

On conseille de tenir un journal de vos consommations de sucre et de fructose dans la journée, afin de savoir où vous en êtes et de garder l’absorption du produit dans le corps au minimum.

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L’alcool fait perdre la mémoire, ce qui complique le sevrage

(AFP) – Les alcooliques souffrent souvent de troubles de la mémoire qui compliquent singulièrement leur prise en charge, mais sont pour la plupart réversibles après abstinence, ont indiqué des spécialistes à Paris.

« Les atteintes sont très variables », a dit Hélène Beaunieux, une chercheuse en neuropsychologie lors d’une rencontre-débat organisée par l’Inserm avec les associations d’entraide aux personnes en difficulté avec l’alcool.

Selon Mme Beaunieux, qui travaille sur l’impact de l’alcoolisme sur la mémoire depuis plusieurs années à l’Université de Caen, la prise en charge hospitalière n’est pas adaptée pour les troubles cognitifs.

« On demande actuellement aux malades d’oublier leurs habitudes et de mettre en place d’autres automatismes en l’espace de 15 jours, ce qui est juste impossible du point de vue cognitif », souligne-t-elle.

L’alcool peut en effet avoir des effets sur la mémoire à court terme, qui permet de stocker et de manipuler les informations pendant quelques minutes, mais aussi sur la mémoire épisodique, qui permet de se rappeler des évènements vécus dans un contexte précis.

Il agit également sur « la métamémoire », qui permet de connaître et de contrôler le fonctionnement de sa mémoire et de s’auto-évaluer, une fonction souvent perturbée chez les alcooliques, qui ont tendance à « se surestimer », selon la chercheuse.

Lorsque la mémoire épisodique est déficitaire, par exemple, les patients arrivent à l’hôpital alors qu’ils « n’ont pas encore pris conscience de leur problème », explique la chercheuse.

Mais bonne nouvelle, cette perte de mémoire est généralement réversible chez les patients abstinents, à l’exception de ceux atteints du syndrome de Korsakoff, la forme la plus sévère de l’alcoolo-dépendance.

« Une amélioration significative » des capacités cognitives a ainsi été observée chez 14 patients revus six mois après le début de leur abstinence, alors qu’une dégradation des fonctions exécutives (permettant un comportement flexible et adapté au contexte) était observée chez les 20 patients qui avaient rechuté.

Mme Beaunieux préconise une stratégie prévoyant une évaluation de la mémoire chez tous les patients après le sevrage et un allongement ou une adaptation de la prise en charge pour ceux ayant des troubles cognitifs.

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Le bacoflène serait bel et bien efficace pour contrer l’alcoolisme

On vous parlait récemment de l’optimisme des spécialistes concernant le bacoflène, un médicament qui pourrait bien s’avérer un précieux allié dans le traitement de l’alcoolisme.

Voilà que l’on confirme ses propriétés, selon topsante.com, alors que des chercheurs français viennent de publier une étude sur le sujet.

Originalement, le bacoflène est un traitement neurologique utilisé dans certains cas, mais on lui a découvert récemment des propriétés qui faisaient croire aux spécialistes qu’il pourrait aussi servir de traitement contre l’alcoolisme.

Depuis, on a testé cette théorie sur une centaine de patients du Groupe Hospitalier Paul-Guiraud, tous diagnostiqués avec des problèmes de dépendance liés à l’alcool.

Les conclusions sont faciles à tirer pour les chercheurs : le bacoflène fonctionne vraiment.

Pratiquement tous les patients ont vu leur consommation d’alcool baisser, et « l’envie de boire » serait bel et bien moins envahissante.

Cependant, on note certains effets secondaires possibles. De la somnolence, des vertiges, des hallucinations, des nausées, de l’hypotension, de l’énurésie et des réactions dépressives sont tous des symptômes qui ont pu être observés chez les patients sous bacoflène.

Ceux-ci ne seraient cependant pas observables de façon systématique.

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Colin Farrell a vu la mort de près à cause de l’alcool

L’acteur de Seven Psychopaths a senti qu’il se dirigeait vers la mort, en 2005, remarquant que son corps ne suivait plus.

Régulièrement, en effet, tant mentalement que physiquement, Colin Farrell ne contrôlait plus ce qu’il faisait. Il a longtemps mené le combat contre ses dépendances à l’alcool et aux drogues. C’est après son expérience de 2005 qu’il a décidé d’y mettre un terme définitif.

Il a expliqué au magazine Sunday Times : « Évidemment, je ne suis pas médecin, mais inutile d’avoir des études en médecine pour savoir que votre corps a abandonné la bataille. J’ai compris que je n’en avais plus pour longtemps ».

Farrell a poursuivi : « J’en étais au point où les seules voix qui faisaient leur chemin jusqu’à mon esprit étaient celles de la destruction et de l’oblitération ».

L’acteur de 36 ans a insisté, cependant, sur le fait qu’il a toujours eu une personnalité dépendante, surtout concernant la nourriture. « Demandez à ma mère, je suis dépendant d’un tas de choses depuis que je suis tout jeune. Sans blague. »

Farrell explique que tout ce qui lui « faisait du bien », dès l’âge de 7 ans, était une raison pour s’y coller pendant des mois. Qu’il s’agisse de Lion Bar, de Coco Pops, de purée de pommes de terre ou de thon en boîte, dès qu’il accrochait, c’était sans arrêt pour un minimum de 6 mois.

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Madonna se prive d’alcool en tournée

La chanteuse de Turn Up the Radio, Madonna, a fait des changements de style de vie nécessaires pour maintenir une santé optimale. Du moins, ces changements lui permettent de tenir le coup pendant sa longue tournée, qui se dirige maintenant vers le Brésil.

Même si au début, éviter toute boisson alcoolisée semblait nécessaire, Madonna a déclaré à l’émission brésilienne Caldeirao do Huck : « Depuis le début de ma tournée, je n’ai pas pris un seul verre, absolument rien. Ma vie est tellement ennuyeuse en ce moment. Je crois que je me permettrai une consommation lorsque j’arriverai au Brésil ».

Rappelons également que Madonna fait suivre ses 4 enfants dans la longue route de la tournée. Ainsi, Lourdes, Rocco, David et Mercy doivent eux aussi faire des sacrifices.

Ce dont la star de 54 ans rêve vraiment en ce moment, c’est de prendre des vacances. Elle pourra enfin se payer du bon temps après le 22 décembre, date du spectacle qui mettra fin à la tournée MDNA, en Argentine.

Lorsqu’elle a été interrogée sur ce qu’elle ferait, Madonna a répondu : « Dormir au moins 8 heures sans être réveillée, passer du temps avec les enfants, monter mes chevaux, nager à la plage, un massage et des traitements complets pour le corps ».

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Les bébés exposés à l’alcool durant la grossesse ont une structure du cerveau différente

Des chercheurs polonais ont fait passer un test de résonnance magnétique à 200 enfants dont la mère avait bu de l’alcool durant la grossesse, ainsi qu’à 30 enfants qui n’avaient pas été exposés à l’alcool.

Les tests leur ont permis de mesurer la taille et la forme d’une partie du corpus callosum, une zone du cerveau responsable de la communication entre les deux hémisphères.

Les enfants qui avaient été exposés à l’alcool avaient un corpus callosum beaucoup plus mince que les autres. « Les changements que nous avons observés sont très fortement associés à des problèmes psychologiques chez les enfants », a indiqué l’auteur de l’étude, le Dr Andrzej Urbanik, selon Science Daily.

Le syndrome d’alcoolisme foetal, une maladie qui affecte le développement physique et psychologique des enfants dont la mère a bu de façon importante durant la grossesse, a une incidence de 0,1 à 1,5 cas par 1000 naissances.

Les résultats de l’étude ont été présentés lors du récent congrès de la Radiological Society of North America.

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100 calories de trop par jour dues à l’alcool

Une nouvelle étude, rapportée par www.nlm.nih.gov, affirme que les Nord-Américains moyens ingèrent 100 calories de trop par jour à cause de leur consommation d’alcool.

L’étude ne fait pas de distinction entre les types d’alcool. La bière, le vin et les spiritueux se retrouvent tous au banc des accusés dans cette recherche.

Les chercheurs estiment donc à 100 le nombre de calories superflues ajoutées quotidiennement par les Nord-Américains qui consomment de l’alcool. Bien sûr, on souligne que ce n’est pas tout le monde qui a les mêmes habitudes concernant les boissons alcoolisées, mais les recherches parlent également d’un 30 % d’hommes et 18 % de femmes qui prennent de l’alcool quotidiennement.

La moyenne globale, par contre, lance un signal intéressant en concluant que l’Américain moyen consomme moins d’un verre par jour.

Selon la Dre Samara Joy Nielsen, du National Center for Health Statistics (NCHS), les gens ne sont pas conscients que même une faible consommation d’alcool par jour peut mener à des gains de poids.

« Les boissons caloriques comptent. On l’a peut-être oublié, et surtout oublié d’examiner l’apport calorique de ces boissons dans le décompte final des calories ingérées par un adulte », conclut Nielsen.

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Un médicament à l’essai pour contrer la dépendance à l’alcool

Un médicament pour tenter de contrer la dépendance à l’alcool reprend la route des essais cliniques, annonce topsante.com.

C’est que ce n’est pas la première série de tests que connait ce médicament, appelé Bacoflène, celui-ci ayant été mis à l’essai pour la première fois en mai dernier.

On parle donc ici d’un essai complémentaire, dirigé par Michel Reynaud, en France.

Si ces tests s’avéraient concluants, on pourrait voir apparaitre sur le marché (en tout cas celui de l’Europe pour commencer) le fameux « remède » pour traiter l’alcoolisme.

Le Bacoflène est déjà utilisé comme relaxant musculaire en centre hospitalier. Cette fois, on vérifiera les effets du médicament sur 320 patients qui recevront des doses élevées. On pourra noter ses impacts selon la capacité des sujets à demeurer sobres.

On veut bien sûr également éviter les pires effets secondaires et vérifier le type de tolérance que le corps peut développer avec la présence du Bacoflène dans l’organisme.

M. Reynaud mentionne : « Le taux de réussite attendu est de 50 % concernant l’abstinence complète. Nous étudierons aussi la diminution de la consommation, mais ce n’est pas l’objectif principal de l’étude ».

Un peu d’espoir, donc, pour les gens qui ont tenté de se sortir de l’alcoolisme sans toutefois y parvenir.

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La Russie devrait interdire les bouteilles d’alcool dans les avions

Le journal russe Rossiyskaya Gazeta rapporte que le ministre des Transports du plus grand pays au monde planifie une loi visant à interdire aux passagers de transporter de l’alcool dans les avions.

Il sera toujours possible de boire en vol, mais les bouteilles achetées par les passagers, aux boutiques hors taxes comme ailleurs, ne seront plus permises au sein de la cabine. Les agents de bord les prendront plutôt au moment de l’embarquement et les redonneront à l’atterrissage.

Cette mesure aurait pour effet de « limiter les débordements en vol », selon le Routard. Le pays serait ainsi aux prises avec une recrudescence des actes violents dans les airs.

La compagnie aérienne Aeroflot rapporte ainsi que depuis 2009, plus de 1000 incidents se sont produits dans les avions, la plupart reliés à un état d’ébriété avancée des passagers.

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Même une quantité d’alcool modérée durant la grossesse peut avoir un effet sur le QI de l’enfant

PLoS ONE publie les résultats d’une nouvelle étude britannique portant sur les données de plus de 4000 mères et leurs enfants. Les femmes ont rempli des questionnaires sur leur consommation d’alcool à deux reprises durant leur grossesse, et le QI de leur enfant a été mesuré à l’âge de 8 ans. Les enfants ont ensuite subi des tests pour détecter des variantes génétiques précises reliées à la métabolisation de l’alcool.

En moyenne, les enfants avaient un QI de deux points moins élevé pour chaque modification génétique vérifiée. Puisqu’elle portait sur le code génétique et non sur des facteurs qui peuvent aussi être reliées au mode de vie (comme l’alimentation ou le tabagisme de la mère), cette étude est considérée comme plus aboutie que plusieurs précédentes, qui relevaient plutôt du domaine de l’observation.

L’auteure de l’étude, la Dre Sarah Lewis, a noté que « nos résultats suggèrent que même à des niveaux qui sont normalement considérés comme inoffensifs, la consommation d’alcool durant la grossesse entraine des différences au niveau du QI. Ceci dépend de l’aptitude du fœtus à éliminer l’alcool. Cela prouve que même à des niveaux modérés, l’alcool influence le développement du cerveau », rapporte ScienceDaily.