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Permettre aux mineurs de goûter à l’alcool serait positif

Plus d’une mère sur quatre soutient que de faire goûter l’alcool à son enfant le découragerait d’en abuser une fois adolescent, selon une étude publiée dans Archives of Pediatrics and Adolescent Medicine.

« L’idée que l’exposition précoce à l’alcool peut décourager les enfants de boire est très présente chez les parents d’enfants qui fréquentent l’école primaire », explique l’auteure principale de la recherche, Christine Jackson.

En fait, ces mères estiment que leur jeune enfant, n’aimant pas le goût des boissons alcoolisées, en garderait un mauvais souvenir et serait moins tenté d’en consommer plus tard dans la vie.

Toutefois, 40 % des mères interrogées croient que cette pratique pourrait avoir l’effet contraire et encourager les jeunes à davantage consommer d’alcool.

Rappelons que les enfants indisciplinés seraient plus à risque de développer des dépendances à différentes substances, dont à l’alcool.

L’étude a démontré qu’à l’âge de 21 ans, 13,4 % des enfants dans cette situation abusaient ou étaient dépendants à l’alcool.

Le sexe n’a aucune incidence sur la susceptibilité de développer ces dépendances. Toutefois, les filles consommeraient davantage de cigarettes, tandis que les garçons consommeraient du cannabis et de l’alcool.

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Une petite quantité d’alcool suffit pour augmenter les risques de cancer

Jusqu’à maintenant, les études se sont penchées sur une consommation excessive d’alcool et ses impacts pour accroître les risques de certains cancers comme, ceux de l’oropharynx, de l’œsophage et du sein.
 
Après une méta-analyse de 222 publications totalisant 150 000 participants, on constate que même une légère consommation d’alcool augmente légèrement, mais de façon significative les risques de développer le cancer.
 
Cette étude, bien qu’elle ait besoin d’être approfondie, apporte une nouvelle compréhension des effets de l’alcool sur le développement du cancer.
 
Par contre, on ne note pas de lien significatif pour un risque accru du cancer du foie, colorectal et du larynx avec une faible consommation d’alcool.
 
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L’alcool pendant la grossesse réduit la réponse du foetus aux stimuli

Les études précédentes, rapporte santelog.com, s’attardaient aux conséquences postnatales. Il a été constaté que les enfants de mères ayant consommé de l’alcool pendant la grossesse étaient plus enclins aux troubles comportementaux tels que l’hyperactivité et divers troubles d’attention.

Par contre, la nouveauté qu’apporte la recherche effectuée à l’University of New South Wales est que certaines zones du cerveau du fœtus s’habituent à la consommation régulière d’alcool et diminuent ainsi la réponse à divers stimuli responsables de l’apprentissage. Donc, l’alcool affecte directement le système nerveux central de l’enfant.

Professeur de psychologie à l’Université Queen de Belfast, Peter G. Hepper explique l’objectif de cette étude : « La stabilité dans le fonctionnement de notre cerveau est fondamentale pour notre capacité d’apprentissage. En observant ces effets comportementaux avant la naissance, nous pouvons commencer à trouver les zones du cerveau touchées par l’alcool et peut-être développer des traitements ».

Les résultats, basés sur un échantillonnage de 78 femmes enceintes, ont été publiés dans la revue Alcoholism: Clinical & Experimental Research.

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Distributrice de tests de grossesse dans les bars

Tom Frederick, propriétaire du Pub 500 à Mankato, au Minnesota, a accueilli l’idée avec enthousiasme. « Mon épouse est infirmière en salle d’accouchement. L’objectif, c’est d’aider le futur enfant en sensibilisant la femme enceinte en regard de la prise d’alcool. »

Selon thebump.com, Jody Allen Crowe, fondatrice de l’organisme à but non lucratif Healthy Brains for Children, abonde en ce sens : « C’est une réelle épidémie. Le nombre de femmes exposées à l’alcool durant la grossesse est un sujet tabou. Les gens n’osent même pas en parler ».

En fait, selon une étude du mois de juillet dernier, menée par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), une femme enceinte sur 13 admet avoir consommé de l’alcool alors qu’elle attendait un enfant. De ces femmes, 1 sur 5 avouait qu’elle était allée dans une beuverie.

La distributrice de tests de grossesse, située dans la salle de bain des femmes, est loin du regard du public et accepte les cartes de crédit. Un maigre 3 $ suffit, ce qui est beaucoup moins cher qu’en pharmacie, en plus d’offrir toute l’intimité recherchée.

En seulement quelques mois, au Pub 500, plusieurs douzaines de tests avaient été achetés dans la machine distributrice.

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Affaissement de la poitrine : n’attribuez pas cela uniquement l’allaitement

L’étude menée par les chercheurs de la Case Western Reserve University School of Medicine constate que l’alcool, la cigarette et la variation de poids sont aussi responsables de changements importants au niveau de votre poitrine.

Depuis 1976, il existe le Twins Days Festival, un rassemblement important de jumeaux à Twinsburg, dans l’Ohio. Les chercheurs ont profité de l’occasion, en 2009 et en 2010, pour demander à des mères de jumeaux de participer à un sondage. 161 d’entre elles ont accepté de se prêter à la recherche et de faire photographier leurs seins.

Les photographies ont ensuite été montrées aux chirurgiens de la Case Western Reserve. En évaluant les images et les questionnaires remplis par les participantes, ils sont arrivés à la conclusion qu’au contraire, l’allaitement avait des effets bénéfiques sur la qualité de la peau. Les mères qui allaitaient quotidiennement affichaient moins de signes de vieillissement.

En outre, selon ce que rapporte famili.fr, la consommation d’alcool, le tabagisme et la prise de poids étaient autant de facteurs influençant la fermeté de la poitrine et à son degré d’affaissement et de vieillissement.

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Trop d’alcool accentue les risques d’AVC précoce

Une consommation de trois boissons alcoolisées ou plus par jour accentue les risques de subir un accident vasculaire cérébral (AVC) 14 ans plus tôt que les personnes qui ne boivent pas beaucoup d’alcool, révèlent des chercheurs de l’Université de Lille.
 
« L’abus d’alcool a toujours été considéré comme un facteur de risque de l’AVC, causé par un saignement dans le cerveau plutôt que par un caillot de sang », mentionne l’auteure, Charlotte Cordonnier, à Neurology.
 
540 personnes ayant en moyenne 71 ans, qui avaient eu une hémorragie intracérébrale, ont été interrogées sur leurs habitudes de consommation d’alcool. Elles ont aussi passé un scanneur, et leurs proches ont également été questionnés sur leurs habitudes de consommation.
 
Un patient sur quatre était considéré comme un buveur excessif.
 
En fait, on note qu’en moyenne, les AVC surviennent vers l’âge de 60 ans, soit 14 ans avant la moyenne générale.
 
« Il faut garder à l’esprit que la consommation de grandes quantités d’alcool contribue à une forme plus grave d’AVC à un plus jeune âge chez des patients sans antécédent médical significatif », rappellent les chercheurs.
 
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La forme du verre influence notre façon de boire

Voici une étude qui peut paraître anodine, mais qui est importante si l’on souhaite contrôler sa consommation d’alcool.
 
Selon une équipe de l’Université de Bristol, pour ralentir la vitesse de consommation, il vaut mieux boire dans des verres droits, indique la revue PLoS ONE.
 
Après avoir filmé 159 personnes buvant une bière ou une boisson sans alcool dans des verres droits ou courbés, on constate que la forme du verre influence notre façon de boire.
 
Avec la boisson sans alcool, peu importe le verre, les personnes buvaient en 7 minutes. Pour la bière, c’était aussi 7 minutes avec les verres courbés, mais 11 minutes avec les verres droits.
 
« La vitesse à laquelle on boit diminue de presque 60 % quand la boisson est présentée dans un verre droit par rapport à un verre incurvé », mentionne l’étude.
 
En fait, il serait plus difficile également de savoir la quantité exacte de boisson consommée avec les verres courbés. Donc, pensez-y!
 
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70 % des 11-15 ans déclarent avoir déjà consommé de l’alcool

(Relaxnews) – Sept jeunes de 11 à 15 ans sur dix affirment avoir déjà bu de l’alcool au cours de leur vie, d’après l’étude Health Behaviour in School-aged Children (HBSC) présentée mardi (4 septembre).

Menée tous les quatre ans, l’enquête HBSC est réalisée par un réseau international de chercheurs sous l’égide de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La version 2010 française a été coordonnée par le service médical du rectorat de Toulouse, en collaboration avec l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes).
 
Dès l’entrée au collège, 53 % des élèves en provenance du CM2 disent avoir déjà expérimenté l’alcool. Une consommation qui ne cesse de progresser jusqu’à la troisième (83 %). Autre constat négatif : près d’un collégien sur six a déjà été ivre.
 
Le collège est également la période durant laquelle les adolescents fument leur première cigarette. Trois collégiens sur dix ont déjà essayé de fumer. Un chiffre qui grimpe à 52 % pour les élèves de troisième. Il se trouve même 16 % des personnes interrogées qui fument quotidiennement en troisième.
 
La consommation de cannabis est moins courante chez les adolescents : seulement 10 % des collégiens affirment avoir déjà testé cette drogue dite « douce » en 2010.
 
L’enquête HBSC fait état d’une augmentation du nombre de rapports sexuels non protégés, avec une proportion passant de 7 % en 2006 à 10 % en 2010. De fait, les adolescents se tournent de plus en plus vers la pilule du lendemain (16,5 % en 2010 contre 14 % en 2006).
 
Ultime constat : le préservatif demeure le moyen de contraception le plus utilisé par les jeunes âgés de 11 à 15 ans. 85,5 % de l’ensemble des adolescents affirment privilégier le préservatif en 2010. à noter : 62 % des répondants déclarent n’avoir utilisé qu’une seule méthode de contraception lors de leur dernier rapport sexuel.

L’enquête HBSC-France 2010 a été réalisée auprès de 11 638 élèves âgés de 11 à 15 ans, scolarisés en France métropolitaine dans 568 classes du CM2 à la première année de lycée, dans 347 établissements publics et privés.

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L’alcool peut déformer certains neurones du cerveau

Déjà, on savait que l’alcoolisme avait un lien avec les troubles anxieux, mais le Nature Neuroscience pousse plus loin les observations.
 
L’alcoolisme peut augmenter les risques d’anxiété et réduire les capacités de récupération psychologique après une expérience traumatisante.
 
Un alcoolisme prolongé cause une déficience du contrôle cognitif sur l’émotionnel. Cela détruit un mécanisme essentiel pour la récupération des traumatismes, ce qui accroît le stress post-traumatique.
 
Des souris ont reçu une dose d’alcool équivalant au double de la limite chez l’homme, elles entendaient un son qui était suivi d’une petite décharge électrique. Même longtemps après avoir cessé de donner des décharges, les souris « alcooliques » demeuraient craintives en entendant le son, alors que celles qui n’avaient pas eu de consommation excessive d’alcool finissaient par avoir de moins en moins peur.
 
De plus, en comparant leur cerveau, on observe que sous une exposition chronique à l’alcool, les neurones du cortex préfrontal changent de forme et le récepteur clé NMDA est désactivé.
 
« La prochaine étape sera de tester si nos résultats précliniques se vérifient sur les patients avec abus d’alcool atteints du SSPT. Si c’est le cas, c’est le début du développement de médicaments pour traiter les patients souffrant de troubles anxieux qui ont aussi une histoire de consommation excessive d’alcool. Nous sommes aujourd’hui en mesure d’offrir un aperçu de la façon dont l’alcool peut perturber le fonctionnement de certains circuits cérébraux très spécifiques », explique le Pr Andrew Holmes, auteur principal de la recherche.
 
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Le mariage aiderait à stabiliser la consommation d’alcool

Durant le mariage, les femmes consommeraient un peu plus d’alcool, et les hommes un peu moins, selon une étude dévoilée lors de la réunion annuelle de l’American Sociological Association.
 
En fait, la consommation d’alcool est plus élevée chez les célibataires, les gens divorcés et les veufs.
 
Les femmes consommeraient un peu plus d’alcool durant le mariage, sans doute en raison du fait que leur mari consomme plus d’alcool. À l’inverse, comme les femmes consomment moins de boissons alcoolisées dans leur vie, les hommes mariés auraient tendance à boire moins d’alcool.
 
Une fois divorcés, les hommes sont beaucoup plus susceptibles de se mettre à boire.
 
En résumé, cette nouvelle étude démontre que chaque partenaire aurait donc une influence sur la consommation d’alcool de l’autre durant le mariage.