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Les risques de sclérose latérale amyotrophique sont réduits par la consommation d’alcool

L’American Journal of Epidemiology révèle une étude pour le moins étonnante concernant la sclérose latérale amyotrophique (SLA).

Apparemment, la consommation d’alcool permettrait de réduire les risques de développer la maladie de près de moitié. Les chercheurs s’attendaient pourtant au contraire. Mais attention ici, on ne souhaite pas inciter les gens à consommer de l’alcool pour éviter la maladie. Mais ces résultats apportent un nouvel éclairage.

Chez les fumeurs, toutefois, on a constaté que les risques d’avoir la SLA sont accrus.

Déjà nous savions que le tabagisme était un facteur de risques, mais il faut encore découvrir d’autres facteurs de risque possible.

La SLA est une maladie neurodégénérative rare, mais dévastatrice. Elle se caractérise d’abord par un affaiblissement et ensuite une paralysie des muscles des jambes et des bras, des muscles respiratoires ainsi que ceux de la déglutition et de la parole.

Il n’existe aucun traitement contre cette pathologie. Les très rares qui existent, d’ailleurs, ne sont pas très efficaces.

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Mélanger boissons énergisantes et alcool favoriserait les relations sexuelles libres

(Relaxnews) – Une étude américaine menée auprès de jeunes étudiants universitaires montre que ceux qui mélangent boissons énergisantes et alcool sont plus susceptibles de se laisser aller à des relations sexuelles sans lendemain.

« Le fait de mélanger boissons énergisantes et alcool peut entraîner une suralcoolisation involontaire, car la caféine minimise l’ivresse ressentie », a confié la semaine dernière Kathleen E. Miller, en charge de l’étude auprès du Research Institute on Addictions de l’Université de Buffalo à New York.

Les cocktails caféinés « ont des effets plus forts que l’alcool seul », a ajouté la chercheuse, « en d’autres termes, ils accroissent l’envie de consommer d’autres boissons, et au final on se retrouve à boire beaucoup plus ».

L’étude a pris en compte 648 étudiants, pour la plupart âgés de moins de 21 ans, en première ou deuxième année d’université.

Cette étude a montré que 29,3 % des étudiants actifs sexuellement avaient consommé des cocktails caféinés au cours du mois précédant l’étude. Par ailleurs, 45,1 % des sondés ont reconnu que leur dernière relation sexuelle avait été sans lendemain; 24,8 % étaient sous l’emprise d’alcool et de boissons énergisantes. Enfin, 43,6 % ont reconnu ne pas avoir utilisé de préservatif.

Ces résultats seront publiés dans la revue Journal of Caffeine Research.

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24 heures après une beuverie vous ne devriez pas conduire

L’organisme Educ’alcool dévoile une étude qui démontre que même lorsque le niveau d’alcool dans le sang est retombé à zéro après avoir été ivre, il demeure dangereux de conduire ou de manipuler des outils.

Pour l’étude, une consommation excessive d’alcool représentait 5 verres ou plus en un seul événement. 26 % des hommes et 11 % des femmes de 12 ans et plus disent en consommer plus de cinq et ce nombre grimpe à 40 % chez les 18 à 24 ans.

Même si vos cinq verres ont été pris sur une longue période, cela représente un danger après 24 heures. Et encore, si le niveau d’alcool est revenu à zéro, les malaises quant à eux sont à leur apogée, selon l’étude.

Educ’alcool rappelle qu’il est préférable de consommer un ou deux verres d’alcool régulièrement plutôt que d’en consommer excessivement durant un même événement, et ce, même si ce n’est qu’occasionnel.

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L’alcool durant la grossesse responsable des changements cognitifs

C’est ce que prétendent les experts des National Institutes of Health et des chercheurs chiliens.

Ces anormalités impliquent des délais au niveau du langage et des capacités cognitives, de l’hyperactivité ainsi que des déficits d’attention.

Les chercheurs ont décelé ces problèmes chez 44 % des enfants dont les mères buvaient quatre verres ou plus de boissons alcoolisées durant la grossesse.

Le syndrome d’alcoolisation foetale peut aussi se traduire par des anormalités faciales. Toutefois, ces malformations faciales ne sont pas toujours présentes.

« Notre inquiétude est qu’en l’absence de traits faciaux distinctifs, les prestataires des soins de santé qui évaluent les enfants avec ce type de troubles neurologiques pourraient ne pas voir leurs antécédents d’exposition à l’alcool dans le ventre de leur mère. […] Ce faisant, les enfants pourraient ne pas recevoir les bons traitements et services », explique le Dr Devon Kuehn de l’Eunice Kennedy Shriver National Institute of Child Health and Human Development.

Rappelons qu’une femme sur 13 dit consommer de l’alcool durant la grossesse. C’est ce qu’a permis de conclure un sondage des Centers for Disease Control effectué auprès de 14 000 femmes enceintes des États-Unis plus tôt ce mois-ci.

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Une femme sur 13 dit consommer de l’alcool durant la grossesse

Ce sont 14 000 femmes enceintes qui ont participé à l’enquête téléphonique nationale des Centers for Disease Control aux États-Unis.

À la question demandant si elles avaient bu au cours du mois dernier, parmi celles qui ont répondu positivement, une sur 5 a avoué avoir le coude léger et avoir consommé quatre verres ou plus dans les 30 derniers jours.

Bien que ces résultats soient basés sur une étude qui s’est déroulée entre 2006 et 2010,  mais dont les conclusions ont été publiées hier (19 juillet), et soient plus encourageants et moins élevés qu’au début des années 2000, l’organisation des centres de prévention tient à rappeler que l’alcool, et en particulier la consommation excessive durant la grossesse, peut endommager le développement du cerveau du fœtus.

Également, parmi les femmes enceintes qui ont répondu au sondage, la consommation d’alcool serait davantage vécue par celles qui ont de 35 à 44 ans, contrairement à ce que pourrait penser la population en pointant des femmes enceintes au début dans la vingtaine.

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Des mises en garde contre l’alcool sur des bouteilles en Corée du Sud

(SÉOUL-AFP) – Le premier fabricant de boissons alcoolisées de Corée du Sud a annoncé jeudi (12 juillet) qu’il apposait désormais sur ses bouteilles une mise en garde contre la violence provoquée par l’alcool, dans ce pays qui est un fort consommateur de spiritueux.

Les bouteilles de bière et de soju (un alcool fort coréen à base d’alcool de riz) vendues à Séoul par le groupe Hite-Jinro portent dorénavant l’avertissement « Cessons la violence causée par l’alcool. Améliorons notre culture de la boisson! ».

Hite-Jinro est le premier fabricant de soju et le deuxième de bières en Corée du Sud.

Cette campagne, menée en coordination avec la police, vise à freiner les actes de violence découlant d’une trop forte consommation d’alcool et autres comportements délictueux, a indiqué un porte-parole.

La consommation annuelle par adulte sud-coréen de spiritueux (whisky, vodka, etc.) est de 9,57 litres, soit la plus élevée au monde, selon des chiffres de 2005 de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publiés en 2011.

Les comportements délictueux imputés à l’alcool sont nombreux, mais la justice se montre souvent indulgente dans ces cas-là.

En 2009, l’auteur d’un viol sur un enfant avait écopé de 12 ans de prison, alors que l’accusation réclamait beaucoup plus, le juge ayant estimé que le coupable avait agi sous l’emprise de l’alcool. Le verdict avait déclenché un mouvement d’indignation dans le pays.

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L’alcool serait bénéfique pour les os des femmes

Deux nouvelles études démontrent d’autres effets bénéfiques d’une consommation modérée d’alcool chez les femmes.
 
Selon le Bristih Medical Journal, une première étude s’est penchée sur les effets de l’alcool sur la polyarthrite rhumatoïde auprès de 34 000 femmes âgées de 54 à 89 ans.
 
Les femmes qui consommaient de l’alcool modérément, en moyenne un demi-verre par jour, avaient 52 % moins de risques de développer de la polyarthrite rhumatoïde que les femmes qui ne consommaient pas du tout d’alcool.
 
Les effets bénéfiques chez les femmes ménopausées seraient donc notables, car la deuxième étude dévoile des résultats similaires en ce qui concerne l’ostéoporose.
 
Attention toutefois, les bienfaits ne sont pratiquement pas présents chez les fumeuses, car le tabagisme est un facteur de risque pour ces deux maladies des os.
 
Avec l’alcool, la clé demeure toujours la modération, pour en retirer tous les bienfaits.
 
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Ozzy Osbourne compare les stars du rock aux schizophrènes

Ozzy Osbourne, 63 ans et légende vivante de la musique, roule sa bosse dans l’industrie depuis plus de 40 ans. Il clame que les gens de la scène musicale, surtout lorsqu’ils endossent un personnage, deviennent fous s’ils n’arrivent pas à séparer la vie réelle de leur personnage de scène.

C’est en toute connaissance de cause qu’Osbourne, figure principale de Black Sabbath, s’est confié au magazine Kerrang!. « Les artistes interprètes sont comme les schizophrènes. Quand tu montes sur scène, tu te donnes en spectacle. Mais derrière la scène, il faut vivre différemment. »

On sait à quel point l’artiste a eu de la difficulté lorsqu’il était question de jongler entre la carrière et la vie personnelle. « Ça m’a mené dans toutes sortes de foutus troubles », a-t-il confessé.

Osbourne croit cependant que les autres personnes impliquées dans l’industrie du divertissement agissent de la même façon, c’est simplement moins documenté, moins médiatisé.

« C’est vrai, le rock’n’roll est mauvais comme environnement. Mais si vous croyez que nous sommes de mauvais garçons, allez plutôt voir du côté des acteurs. Ces gens sont complètement dingues! »

Malgré son passé parsemé d’embûches et ses dépendances à l’alcool et aux drogues, Ozzy Osbourne dit qu’il y a une bonne raison pour laquelle il est encore respecté dans l’industrie. « Je n’ai jamais traîné cette merde avec moi sur la scène ».

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Une consommation modérée d’alcool améliore la qualité de vie

Les personnes qui consomment modérément et régulièrement de l’alcool auraient une meilleure qualité de vie que les personnes qui ne boivent pas du tout, révèle une étude publiée dans le Journal of Study on Alcohol and Drugs.
 
5404 personnes de 50 ans et plus au début de l’étude ont été suivies par une équipe de chercheurs de l’Université de Boston. On constate que pour la majorité des gens, la consommation d’alcool demeure stable pendant environ six ans.
 
Les consommateurs modérés prenaient en moyenne 1 à 3 boissons alcoolisées par semaine, mais pas plus de trois par jour pour les femmes et quatre par jour pour les hommes.
 
31,4 % des gens ont réduit leur consommation au cours de l’étude pour des raisons qui demeurent floues. On croit toutefois qu’avec l’âge, l’interaction sociale devient moins grande, ce qui peut également réduire la consommation d’alcool.
 
Comparativement aux abstinents, l’étude révèle que les buveurs modérés ont une meilleure qualité de vie, et ce, dès le début de l’étude. Cela a perduré tout au long de la recherche.
 
Par contre, ceux qui ont réduit leur consommation ont aussi vu leur qualité de vie être réduite.
 
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La chirurgie bariatrique peut augmenter les abus d’alcool

Le Journal of American Medical Association dévoile une étude un peu surprenante concernant la chirurgie de l’obésité ou bariatrique.
 
Apparemment, elle augmente le risque d’abus d’alcool chez les patients dans les deux ans qui suivent l’intervention.
 
L’étude a suivi près de 2000 personnes ayant subi ce type de chirurgie. 70 % avaient eu un pontage gastrique, qui consiste à réduire la taille de l’estomac et raccourcir l’intestin, 25 % avaient un anneau gastrique, et 5 % avaient eu un autre type d’intervention.
 
On a suivi ces patients un mois avant la chirurgie, puis on les a revus un an et deux ans après.
 
Ils ont été considérés comme ayant des troubles liés à l’alcool s’ils étaient incapables de cesser de boire une fois qu’ils avaient commencé ou encore s’ils avaient des pertes de mémoire liées à leur consommation. Les hommes et les jeunes adultes étaient les plus vulnérables.
 
Comparativement à leur consommation avant l’intervention chirurgicale, on a noté une augmentation de 50 % de la prévalence des troubles liés à l’alcool. Une personne sur huit prenait en moyenne 3 verres d’alcool par jour après deux ans.
 
Cette constatation met en évidence qu’il faut également un suivi concernant la consommation d’alcool des patients qui ont subi ce type d’intervention pour perdre du poids.