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La bière à proscrire durant un régime

En fait, les gens habitués de boire une bière par jour, qui décident de suivre un régime, devraient simplement cibler des produits moins caloriques.

Selon le cofondateur du blogue Beer and Whiskey Brothers, Jim Galligan, le fait de « s’empêcher de vivre » au profit d’un régime risque de faire échouer le processus de remise en forme.

En ciblant un nombre de calories à soustraire à son régime, l’individu pourra trouver une bière moins calorique qui ne nuit pas, ou moins, à son objectif.

Bien que cela semble difficile à trouver, plusieurs bières ont un faible apport calorique. Il y a notamment la Beck’s Light ainsi que la Miller Genuine Draft 64, qui ne contiennent que 64 calories la bouteille. Mieux encore pour votre régime, la Bud Select n’en contient que 55.

Cependant, plusieurs n’aiment pas le goût de la bière moins calorique.

« Je préfère boire de l’eau et économiser des calories pour les bières que j’aime. Et c’est le plan. J’ai décidé de ne pas boire de bière la semaine et de garder mes calories destinées à la bière pour les weekends », explique Galligan, concernant ses habitudes lors de son régime.

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La bière à proscrire durant un régime

En fait, les gens habitués de boire une bière par jour, qui décident de suivre un régime, devraient simplement cibler des produits moins caloriques.

Selon le cofondateur du blogue Beer and Whiskey Brothers, Jim Galligan, le fait de « s’empêcher de vivre » au profit d’un régime risque de faire échouer le processus de remise en forme.

En ciblant un nombre de calories à soustraire à son régime, l’individu pourra trouver une bière moins calorique qui ne nuit pas, ou moins, à son objectif.

Bien que cela semble difficile à trouver, plusieurs bières ont un faible apport calorique. Il y a notamment la Beck’s Light ainsi que la Miller Genuine Draft 64, qui ne contiennent que 64 calories la bouteille. Mieux encore pour votre régime, la Bud Select n’en contient que 55.

Cependant, plusieurs n’aiment pas le goût de la bière moins calorique.

« Je préfère boire de l’eau et économiser des calories pour les bières que j’aime. Et c’est le plan. J’ai décidé de ne pas boire de bière la semaine et de garder mes calories destinées à la bière pour les weekends », explique Galligan, concernant ses habitudes lors de son régime.

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La dépendance aux opioïdes serait la pire

C’est ce que révèle une étude réalisée par le Centre de la toxicomanie et de la santé mentale du Canada, publiée dans la revue Drug and Alcohol Dependance. Il s’agit de la plus grande et longue étude menée sur la longévité des consommateurs de drogues en Amérique du Nord.

Lors de cette étude, plus de 800 000 participants hospitalisés ont été suivis de 1990 à 2005, dont 188 000 sont morts avant la fin.

Par rapport à un individu du même âge, en bonne santé, du même sexe et de même race, le consommateur d’opioïde a 5,71 fois plus de risque de mourir.

Les consommateurs de méthamphétamine réguliers sont les plus exposés à ce risque. Viennent ensuite les fumeurs de cannabis, les alcooliques puis les cocaïnomanes.

En fait, lorsque 10 personnes meurent dans la population générale, 57 meurent parmi les consommateurs d’opioïdes.

Rappelons que la cocaïne entraîne des changements permanents au niveau du fonctionnement des gènes dans le cerveau.

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L’alcool raviverait l’esprit?

Les hommes qui consomment de l’alcool, soit l’équivalent de deux verres de vin moyens, auraient plus d’esprit que ceux qui s’abstiennent de boire, selon le journal Consciousness and Cognition.
 
Apparemment, l’alcool aiderait à trouver plus facilement des solutions à des problèmes.
 
Des tests menés sur 40 jeunes hommes en santé à l’Université de l’Illinois démontrent que ceux qui avaient consommé de l’alcool, juste pour être un peu joyeux, avaient résolu 40 % plus de problèmes et de casse-têtes que ceux qui n’avaient pas bu.
 
En moyenne, ils avaient aussi répondu correctement à des questions en 12 secondes, comparativement à 15,5 secondes chez le groupe sobre.
 
On rappelle cependant que ce n’est qu’une consommation modérée qui pourrait avoir ces effets. Une consommation excessive aura plutôt l’effet inverse d’affecter votre jugement et votre vitesse de réflexion.
 
Finalement, une bonne nuit de sommeil aura un effet aussi bénéfique que l’alcool et sera meilleure pour votre santé.
 
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Un outil pour évaluer l’exposition des jeunes aux publicités sur l’alcool

Créée par le Center on Alcohol Marketing and Youth (CAMY) de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, cette invention est accessible gratuitement aux parents et aux départements de santé.

Les utilisateurs de différentes villes aux États-Unis peuvent détecter la fréquence à laquelle les jeunes sont exposés à l’alcool.

« Malgré la prolifération d’outils comme les téléphones intelligents et les tablettes, la radio continue d’être un média populaire auprès des jeunes », explique le directeur du CAMY, David Jernigan.

Une étude précédente du CAMY avait révélé que plus du tiers des placements de produits de boissons alcoolisées se faisait lorsque davantage de mineurs que d’adultes étaient à l’écoute.

De plus, aux États-Unis, plus de 14 études sérieuses ont démontré que plus les jeunes sont exposés aux publicités sur l’alcool, plus ils sont susceptibles de commencer à boire avant l’âge légal, ou s’ils boivent déjà, de boire plus.

« L’alcool est la substance à laquelle le plus de jeunes développent une dépendance aux États-Unis, et nous savons que la publicité sur l’alcool a un impact significatif sur la décision de boire des jeunes », déplore le directeur du programme sur l’alcool des Centers for Disease Control and Prevention, Robert Brewer.

Rappelons que l’alcool est responsable de plus de 4700 décès de jeunes âgés de 21 et moins aux États-Unis.

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Nouvelles quotidiennes

Une fontaine d’alcool pour attirer des touristes

La ville de Batoumi, en Géorgie, dans le Caucase, a eu une idée surprenante. Pour attirer davantage de touristes, le maire de cette ville a annoncé la création d’une fontaine qui laissera couler à flots un alcool traditionnel reconnu localement.

C’est donc durant un quart d’heure par semaine que l’eau se transformera en boisson. Les gens pourront y plonger leur verre pour recueillir la tchatcha, une eau-de-vie à base de raisin dont le goût s’approche de celui de la grappa italienne, a expliqué le maire, Robert Tchkaïdze, à la télévision géorgienne.

Mentionnons que Batoumi est considérée comme une ville-clé pour attirer le tourisme et être une source de revenus annuels pour ce pays pauvre de l’ancienne république soviétique, indique le journal Libération.

Avec sa force première, la viticulture, ainsi que ses paysages pittoresques et son accès aux plages de la mer Noire, Batoumi espère que de plus en plus de touristes décideront de la visiter.

Au cours de l’été, une nouvelle tour d’une hauteur de 25 mètres sera construite, et c’est à son sommet que sera installée la fontaine d’alcool.

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L’abus d’alcool et de drogue peut se développer dès l’adolescence

Une étude française soulève l’inquiétude quant à la consommation d’alcool et de drogue chez les adolescents.
 
En moyenne, c’est à 14 ans que les jeunes commencent à consommer, selon les Archives of General Psychiatry.
 
Le professeur Joel Swendsen et ses collègues de l’Université de Bordeaux ont examiné la prévalence, l’âge auquel les jeunes ont commencé à consommer ainsi que le facteur sociodémographique de 10 123 jeunes âgés de 13 à 18 ans.
 
78,2 % des adolescents disent avoir consommé de l’alcool, 47,1 % d’entre eux en consomment régulièrement, soit au moins 12 verres par année, et 15,1 % dépassent les critères d’abus.
 
Chez les adolescents un peu plus âgés, 81,4 % ont déjà pris de la drogue, alors que 16,4 % disent en consommer régulièrement.
 
On constate aussi que les adolescents blancs ou hispaniques sont les plus grands consommateurs.
 
L’étude révèle aussi qu’une consommation à l’adolescence est de plus en plus considérée comme un indicateur d’abus de substances plus tard.
 
Il est donc important de commencer la prévention très tôt afin d’informer les jeunes des dangers de l’alcool et des drogues.
 

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Le lien entre l’alcool et le cancer du sein se confirme

Après avoir analysé 113 études précédentes sur le sujet, des chercheurs confirment, dans le journal Alcohol and Alcoholism, qu’une consommation quotidienne d’alcool accroît les risques de cancer du sein chez les femmes.
 
Bien qu’une consommation modérée de vin rouge ait été liée à un bénéfice pour la santé cardiovasculaire, l’alcool présente aussi un côté qui peut ruiner la santé.
 
Selon l’étude, on confirme qu’une consommation quotidienne d’un verre de vin rouge augmente de 5 % les risques de cancer du sein.
 
Si les femmes consomment de grandes quantités, soit environ trois verres par jour, le risque de développer un cancer peut grimper de 50 %.
 
Bien que certains facteurs comme l’hérédité puissent favoriser l’apparition de la maladie, on rappelle que dans 85 % des cas de cancer du sein, les femmes n’avaient pas d’antécédents familiaux.
 
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Simplement croire que l’on boit de l’alcool nous fait sentir plus séduisant

Selon une étude, plus on boit de l’alcool et plus on se trouve séduisant. Cependant, ce phénomène ne serait qu’un effet placebo.
 
Selon le British Journal of Psychology, le simple fait de croire que l’on boit de l’alcool change la perception de soi.
 
Un premier test effectué avec 19 personnes dans un bar de Grenoble démontre en effet que plus on boit de l’alcool et plus on se sent séduisant.
 
En laboratoire, 94 hommes ont aussi testé des boissons alcoolisées et non alcoolisées.
Tout comme dans le bar, ils devaient évaluer, sur une échelle de 1 à 7, à quel point ils s’estimaient séduisants, intelligents, originaux et drôles.
 
Ceux qui croyaient avoir bu de l’alcool, qu’il en ait bu réellement ou non, se sentaient plus beaux que les autres.
 
Les personnes qui avaient consommé de l’alcool sans le savoir ne se trouvaient pas plus séduisantes.
 
Ainsi, c’est un effet placebo qui nous fait croire que l’on est plus séduisant. Peut-être simplement par le fait qu’au cinéma ou à la télévision, les gens qui boivent sont souvent dépeints comme des gens beaux et riches.
 
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Deux boissons alcoolisées par jour améliorent la survie à une crise cardiaque

Des études précédentes avaient démontré qu’une consommation modérée d’alcool réduisait les risques de troubles cardiaques.

Cette fois, la nouvelle étude, parue dans l’European Heart Journal,a suivi pendant 20 ans 1800 hommes, professionnels de la santé, qui avaient déjà eu une crise cardiaque.
 
En tenant compte de différents facteurs, comme l’âge, l’indice de masse corporelle, l’état matrimonial, le tabagisme, l’activité physique, le nombre de calories consommées, la médication et les antécédents de diabète, d’hypertension ou familiaux, on constate que les hommes qui consommaient environ deux unités d’alcool avant et après leur crise cardiaque avaient un taux de survie plus élevé après l’événement que les non-buveurs.
 
Ceux qui consommaient plus d’alcool avaient toutefois un risque plus élevé de mortalité.
 
L’idéal est de consommer de 10 à 29,9 g d’alcool par jour, un verre de vin représentant environ 11,0 g.