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Nouvelles quotidiennes

Maldives : Spas et alcool bientôt interdits?

En effet, certaines recommandations suggèrent de supprimer ce qui plaît à la majorité des touristes en vacances aux Maldives.

Un cocktail alcoolisé après un bon massage, voilà ce qui pourrait être de l’histoire ancienne dans cet archipel à 500 km au sud-ouest de l’Inde et du Sri Lanka.

Les récentes décisions du gouvernement pour « moraliser » l’hôtellerie ont provoqué la colère des professionnels du tourisme, explique Tourmag.

Certaines agences de voyages comme Kuoni ne sont pas étonnées d’une telle tendance qui résulte de la pression d’un parti d’opposition islamiste.

Si une telle décision était appliquée, les Maldives sombreraient dans le chômage puisque le tourisme fait vivre l’archipel. Les 850 000 touristes internationaux iraient donc chercher un autre paradis.

Par ailleurs, ces îles sont également menacées par d’autres dangers : le réchauffement climatique et la probable montée des eaux.

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Problème d’alcool en croissance chez les aînés

Que ce soit par ennui ou pour contrer la solitude, les personnes âgées sont de plus en plus nombreuses à boire trop d’alcool.
 
Selon une étude rapportée par le Telegraph, chez les gens âgés de plus de 65 ans, un homme sur cinq et 10 % des femmes boivent trop d’alcool.
 
Avec l’arrivée des baby-boomers dans le troisième âge, on s’attend à ce que le problème devienne plus important, car ces derniers sont déjà de plus grands consommateurs d’alcool que les générations précédentes.
 
Les personnes âgées sont plus à risque de succomber à l’attrait de l’alcool, car elles ont majoritairement plus de temps libre, sont souvent plus seules et ont parfois des revenus plus élevés.
 
Par contre, elles souffrent souvent de diabète, d’hypertension artérielle et prennent des médicaments qui ne doivent pas être mélangés à l’alcool.
 
De plus, les aînés sont souvent moins enclins à demander de l’aide, surtout par honte, et les problèmes d’alcool sont donc moins faciles à déceler chez eux.
 
Il ne faut pas oublier également qu’à 75 ans, le corps à beaucoup plus de mal à métaboliser l’alcool, ce qui expose à plus de risques de santé également.
 
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Un nouveau système de santé qui sauve des vies et de l’argent

On apprend dans le journal Obstetrics & Gynecology que ce programme — qui vise à améliorer la santé maternelle et réduire les dépenses de soins de santé — a une façon d’approcher directement et de façon préventive les femmes qui consomment drogues, cigarettes et alcool.

L’analyse coûts-avantages du programme Early Start Kaiser Permanente a été réalisée en 2008 auprès de 49 261 femmes enceintes. Cette étude a démontré que les femmes toxicomanes et les bébés à risque pouvaient améliorer leur sort et arriver à des résultats de santé similaires à ceux et celles qui ne consomment pas.

« Ce programme, qui consiste au dépistage des femmes enceintes par des tests toxicologiques dans l’urine et des questionnaires de dépistage d’abus de substances, a su prouver la diminution de la morbidité maternelle et néonatale », a déclaré l’auteure de l’étude, Nancy C. Goler.

Les experts croient que sur 4 millions de naissances, près de 2 milliards de dollars pourraient être épargnés chaque année. Pour arriver à ces résultats, le programme de santé devrait être implanté à l’échelle nationale.

Le tout peut être réaliste si le programme est accessible aux patientes. Les chercheurs suggèrent que ce dernier se retrouve facilement et rapidement dans les cliniques prénatales que fréquentent les femmes durant la grossesse.

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La musique pourrait influencer le goût de l’alcool

Une équipe de l’Université de Portsmouth au Royaume-Uni a constaté que la musique forte pouvait altérer le goût de l’alcool et même influencer sa consommation.
 
Les chercheurs ont observé 80 personnes qui devaient classer à l’aveugle des boissons selon la teneur en alcool, la douceur et l’amertume, tout en étant en présence de différentes musiques, d’informations à la télévision, des deux ou encore dans le silence.
 
Avec de la musique, les boissons devenaient plus sucrées. « Comme les humains ont une préférence innée pour le sucré, ces résultats pourraient expliquer pourquoi on a tendance à consommer plus d’alcool dans un environnement bruyant », indique le chercheur Lorenzo Stafford dans un communiqué.
 
« C’est une étude menée à petite échelle, mais elle présente de nombreuses implications pour les personnes qui boivent de l’alcool dans des environnements bruyants, mais aussi pour les bars, l’industrie des boissons alcoolisées et les autorités locales. »
 
L’automne dernier, le British Journal of Psychology publiait également une étude du même genre disant que le goût du vin était amélioré en présence de musique.

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Les Québécois consomment beaucoup d’alcool

Il semblerait que nous soyons de bons fêtards dans la province. L’Institut de la statistique du Québec a publié une étude dévoilant que les Québécois sont de grands consommateurs d’alcool.
 
En fait, entre 2000 et 2010, la consommation excessive d’alcool a grimpé de 3 %, passant à 18 % chez les personnes de plus de 12 ans.
 
Par consommation excessive, on mentionne cinq verres d’alcool ou plus dans une même occasion, douze fois par année.
 
Comme consommateur régulier, on parle d’une consommation d’alcool une fois par mois. 76 % des hommes et 62 % des femmes sont des buveurs réguliers.
 
Ce sont toutefois les 18 à 24 ans qui sont les plus grands consommateurs d’alcool, et la consommation excessive tend à diminuer avec l’âge.
 
C’est dans la région de Québec que l’on retrouve le plus de buveurs d’alcool, soit 77 %, et le Saguenay-Lac-Saint-Jean suit avec 75 %.
 
L’alcool demeure le 5e facteur de décès et d’invalidité dans le monde, selon l’Organisation mondiale de la santé.
 
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Parents alcooliques : la santé mentale des enfants atteinte

L’étude Bottling It Up: The Next Generation, réalisée en Ukraine au cours de la dernière année, a démontré que dans ce pays, plus de 12 000 personnes avaient joint des groupes d’aide et que 2,6 millions d’enfants vivaient avec au moins un parent alcoolique.

La santé mentale de ces jeunes peut être affectée par l’alcoolisme parental, se traduisant par des désordres alimentaires, la dépression et même le développement d’une psychose à l’âge adulte.

Ces enfants seraient également portés à expérimenter les mondes de l’alcool et des drogues plus tôt que les autres.

En effet, sur 1000 parents alcooliques, 52 % autorisent leurs enfants à consommer. Soixante-dix-sept pour cent d’entre eux donnent le feu vert avant que l’adolescent ait 16 ans, et 6 % ne disent rien lorsque leurs enfants boivent avant l’âge de 10 ans.

Seuls 28 % de ces adultes sont conscients que leur problème d’alcool fait manquer des cours ou nuit à la concentration de leurs bambins en classe.

La moyenne de consommation quotidienne était de 10 fois la limite permise, soit l’équivalent de trois bouteilles de vin ou 15 chopines de bière.

Près de la moitié des gens qui ont rejoint des groupes d’aide sont des mères qui ont trois enfants ou plus et qui craquent à l’idée d’être des « supermamans ».

Pour déconnecter, sauver les apparences et tenter d’être toujours à la hauteur, la plupart des femmes boivent en cachette, le soir, lorsque les enfants sont au lit. Certaines vont même jusqu’à prendre de la vodka pour éviter l’odeur trop forte d’autres boissons.

Certaines disent que le manque de soutien de leur conjoint les pousse à sombrer dans l’alcool.

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Les antécédents familiaux de cancer du sein et l’alcool ne font pas bon ménage

Il y a quelques jours, on apprenait que même une consommation modérée d’alcool favorisait le développement du cancer du sein.
 
Cette fois, le Daily Mail rapporte que les risques sont encore plus importants chez les femmes ayant des antécédents familiaux.
 
Les femmes dont certains membres de leur famille ont eu un cancer du sein sont deux fois plus susceptibles de développer une tumeur bénigne si elles consomment de l’alcool.
 
En réduisant leur consommation, elles réduisent du même coup les risques d’être malades.
 
L’équipe de la Harvard Medical School a suivi 7000 jeunes filles âgées de 9 à 15 ans, de 1996 à 2007. Dix-sept pour cent d’entre elles avaient une mère, une tante ou une grand-mère ayant un cancer du sein, et un peu plus avaient une mère ayant eu une tumeur bénigne.
 
Parmi les femmes qui buvaient le plus, soit environ un verre par jour à 22 ans, 3,1 % avaient développé une tumeur bénigne, alors qu’elles n’étaient que 1,3 % chez celles qui ne consommaient pas d’alcool.
 
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Devenir père transforme les hommes

Une récente recherche de l’Oregan State University présente la paternité comme une expérience transformatrice, lit-on dans le Journal of Marriage and Family. S’étant étalée sur 19 ans, elle a suivi plus de 200 hommes, depuis l’âge de 12 ans jusqu’à 31 ans.

Il en est ressorti qu’un homme pourrait voir sa vie complètement transformée par la venue d’un enfant. En vivant l’expérience de la paternité, il aurait même tendance à abandonner le tabac, l’alcool, voire le crime.

C’est la première fois que l’on s’attarde à cet effet transformateur dû à la naissance d’un enfant. Auparavant, on avait plutôt étudié ce qui se passait à la suite du mariage.

Il semble finalement qu’avoir un enfant à la fin de la vingtaine ou dans la trentaine fait en sorte qu’un homme sera plus enclin à vivre pleinement sa paternité et à changer ses choix de vie.

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Les buveurs à risque plus enclins à développer le cancer

Depuis longtemps, l’alcool est associé à des problèmes de santé. Et nul besoin d’être alcoolique pour subir les effets néfastes de la boisson.
 
Bien qu’une consommation modérée peut être bienfaitrice pour la santé, il vous suffit de dépasser, même légèrement, la limite recommandée pour voir apparaître les problèmes.
 
En fait, les buveurs à risque (qui dépassent la limite sans nécessairement en subir les effets physiques) sont plus susceptibles de développer le cancer.
 
Cette menace est surtout présente chez les hommes, rapporte le Telegraph. 26 % disent boire plus de deux chopines de bières au moins cinq soirs par semaine. Chez les femmes, elles sont 18 % à dépasser la limite.
 
De plus, la nouvelle étude dévoile qu’au lieu de freiner leur comportement en vieillissant, les buveurs à risque consomment davantage, rendant le problème plus grand.
 
Les buveurs à risque sont surtout des professionnels avec des revenus de ménage élevés.
Les couples mariés sont mois enclins à dépasser la limite que les célibataires, les gens séparés ou ceux qui vivent en concubinage.
 
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L’alcool augmente les chances de survie après une crise cardiaque

Une nouvelle étude britannique confirme les bienfaits de l’alcool pour la santé cardiaque, mais cette fois, les chercheurs affirment n’avoir constaté aucune différence selon les types d’alcool. Au départ, l’alcool lui-même serait bénéfique, à condition bien sûr de modérer sa consommation.
 
Selon l’American Journal of Cardiology, sur plus de 1000 femmes suivies pour l’étude, un plus grand nombre d’entre elles a survécu plus longtemps après une crise cardiaque si elles avaient consommé de l’alcool.
 
Après 10 ans, 44 femmes sur 100 étaient décédées chez celles qui n’avaient jamais bu d’alcool, comparativement à 25 sur 100 chez les consommatrices légères et 18 sur 100 chez les buveuses régulières.
 
Auparavant, une étude menée sur des hommes et des femmes avait démontré que les personnes qui avaient continué à boire modérément après une crise cardiaque étaient en meilleure santé que celles qui s’étaient abstenues de le faire.
 
L’alcool peut toutefois être un terrain glissant et les effets bénéfiques peuvent devenir grandement nuisibles, voire dangereux, si les gens consomment trop d’alcool. La clé est de demeurer discipliné.