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Abstenez-vous de boire trois jours par semaine

Une consommation quotidienne d’alcool ne serait pas idéale, et ce, même en quantité modérée.
 
Une récente étude dévoilée par le Daily Mail mentionne que les gens devraient s’abstenir de boire tout alcool trois jours par semaine s’ils souhaitent éviter les maladies du foie.
 
Les médecins britanniques ajoutent même qu’il faudrait nettement revoir les quantités recommandées selon les groupes d’âge.
 
En ce moment, les personnes âgées ont les mêmes recommandations que les jeunes adultes. Pourtant, leurs organes sont plus affectés par l’alcool, les exposant donc à un risque accru de démence, de chute et de dépression.
 
On mentionne que les femmes devraient se limiter à une consommation de 7 unités d’alcool par semaine, et les hommes à 11 unités. Une unité correspond à un verre de vin de 125 ml.
 
Les médecins avancent qu’il y a plus de risques de souffrir d’une cirrhose si l’on boit vraiment tous les jours, sans « congé » d’alcool.
 
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Sauter un repas pour pouvoir boire : une pratique dangereuse

Il semblerait que des jeunes, surtout des filles, sautent des repas pour couper les calories afin de pouvoir boire de l’alcool en soirée.
 
L’étude américaine dévoilée par le Daily Mail est des plus inquiétante. 16 % des jeunes interrogés, en majorité des filles, disaient s’adonner à cette pratique. Cette mode est de plus en plus courante chez les étudiants universitaires qui souhaitent rester minces tout en faisant la fête.
 
Ainsi, ce phénomène appelé drunkorexia consiste à couper les calories de la journée en sautant un repas afin de pouvoir boire durant la soirée tout en ne consommant pas de calories supplémentaires.
 
Ceci prouve encore une fois à quel point la pression est grande auprès des jeunes filles au sujet de leur poids et de leur image corporelle. En fait, trois fois plus de filles sont touchées par la drunkorexia.
 
Cette pratique expose à l’alcoolisme, mais aussi à des troubles alimentaires et d’autres problèmes de santé physique et mentale.
 
Le cerveau se trouvant privé d’une alimentation adéquate, les jeunes auront notamment plus de problèmes de concentration dans leurs études. Cela pourrait même causer de graves troubles cognitifs à court et long terme.
 
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Alcool : les jeunes influencés par leur amoureux

Nous savions déjà que les adolescents sont très influencés par leurs amis et leurs pairs, mais en matière de consommation d’alcool, c’est surtout le copain ou la copine qui incite à boire ou non.
 
Selon une étude parue dans l’American Sociological Review,l’alcool modifie le comportement d’un individu en fonction de son environnement.
 
Après avoir observé de jeunes célibataires, et ces mêmes jeunes deux ans plus tard alors qu’ils étaient dans une relation amoureuse, on constate que l’amoureux ou l’amoureuse a une grande influence sur le comportement d’un adolescent quant à l’alcool.
 
Ainsi, si votre copain ou votre copine a une tendance à boire beaucoup, vous aurez bien des chances de consommer davantage d’alcool vous aussi. En fait, les chances sont multipliées par deux.
 
Que ce soit pour des beuveries ou une consommation chronique, les adolescents ont tendance à imiter le comportement de leur compagnon ou compagne.
 
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Trop d’alcool rend vulnérable aux infections

Une équipe de la Massachusetts Medical School de Worcester, aux États-Unis, a découvert que boire de trop grandes quantités d’alcool affecte le système immunitaire, rendant donc la personne plus vulnérable aux infections virales, comme le VIH.
 
Les chercheurs ont exposé des globules blancs à des substances chimiques qui imitent les virus et bactéries. 50 % de ces globules avaient été fortement exposés à l’alcool, soit l’équivalent d’une consommation de quatre ou cinq verres par jour.
 
Les globules « alcooliques » avaient moins de force pour lutter contre les virus, et face aux bactéries, les résultats étaient encore plus catastrophiques.
 
Par conséquent, cela confirme également que boire trop rend l’organisme plus vulnérable au cancer, alors que l’alcool est reconnu comme étant un facteur de risque important dans le développement de différentes formes de cancer.
 
Une fois de plus, on apporte la preuve que la modération est le meilleur choix qui s’impose.

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La consommation modérée d’alcool bonne pour l’asthme

Des chercheurs danois du Bispebjerg Hospital ont rendu public hier (25 septembre) le fruit de leur recherche lors de l’European Respiratory Society’s Annual Congress qui se tient à Amsterdam.

Les scientifiques ont comparé la consommation d’alcool de 19 000 patients. Ils concluent que la consommation modérée d’alcool peut réduire le risque d’asthme, mais l’abus d’alcool augmente les chances d’en souffrir.

Les patients ayant bu d’une à six unités d’alcool par semaine ont moins de chance de développer l’asthme que ceux qui n’ont rien consommé durant la même période.

En revanche, ceux qui ont consommé plus de quatre unités d’alcool par jour ont plus de chance de devenir asthmatiques.

Parmi les types d’alcool qui semblent favoriser l’asthme, la bière fait piètre figure. C’est la boisson qui obtient les plus mauvais résultats.

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Vivre seul augmente les risques d’alcoolisme

Une étude finlandaise mentionne que les personnes qui vivent seules ont plus de chances de consommer beaucoup d’alcool, et même de mourir d’une maladie ou d’un accident lié à l’alcool.
 
En étudiant les cas de 18 200 personnes dont le décès était lié à l’alcool, on constate que les deux tiers vivaient seuls. Les causes des décès pouvaient être une intoxication alcoolique du foie, une maladie, un accident ou à la suite d’une violence où l’alcool était impliqué.
 
Entre 2000 et 2003, les hommes seuls avaient 3,7 % plus de risques de mourir d’une maladie du foie, comparativement à ceux en couple ou mariés. Entre 2004 et 2007, ce risque a grimpé à cinq fois. Même chez les femmes, il y a un risque accru si elles vivent seules, mais il est moins important que chez les hommes.
 
Selon l’étude rapportée dans le PLoS Medicine, le manque de relations sociales devrait être considéré comme un facteur de risque potentiel pour les décès reliés à l’alcool.
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L’alcool affecte la coordination pendant des années

Une recherche dévoilée dans Alcoholism: Clinical and Experimental Research nous apprend que même des années après avoir cessé de boire, les alcooliques doivent lutter pour retrouver leur coordination et leur équilibre.

Cela démontre que l’abus d’alcool a un impact sur la coordination, et ce, pendant des années, même après l’abandon de la boisson.

L’étude, faite sur des gens sobres depuis quelque temps, a démontré qu’ils avaient du mal à marcher sur une ligne droite et à demeurer en équilibre les bras croisés et les yeux fermés.

Les chercheurs croyaient pourtant que l’équilibre était rapidement retrouvé après l’abandon de l’alcool.

Il y aurait même des risques permanents dans certains cas. Les recherches doivent donc se poursuivre, mais les premiers résultats démontrent clairement que la coordination et l’équilibre sont affectés à long terme.

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Trop de futures mamans boivent de l’alcool

Bien que l’on parle ouvertement des effets possibles de l’alcool sur le bébé à naître, il semble que plusieurs futures mamans continuent d’en boire. Des chercheurs allemands ont fait ce constat après avoir mené une étude sur le sujet, lit-on sur Infobébés.

De plus, il semble que cette réalité soit plus souvent celle des femmes provenant de milieux aisés, ajoutent les chercheurs. Chez celles qui boivent de l’alcool durant leur grossesse, on a effet remarqué que 20 % appartenaient à un milieu aisé, contre 8 % d’un environnement plus modeste.

On rappelle donc que si l’on parle souvent d’un seuil de dangerosité quant à la consommation d’alcool durant la grossesse, il s’agirait plutôt d’une croyance. Chaque verre d’alcool comporterait un danger pour l’enfant à naître.

Les risques sont par ailleurs nombreux. Certains poupons peuvent entre autres naître avec un handicap mental. Dans les cas plus avancés, on pense au syndrome de l’alcoolisme fœtal.

On apprend d’ailleurs qu’en Allemagne, où cette étude s’est déroulée, on compte 10 000 cas de ce syndrome annuellement.

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Un enzyme pour vaincre la dépendance à la cigarette et l’alcool

Des chercheurs américains ont découvert que l’enzyme kinase C (PKC) epsilon pouvait contrôler la réponse du cerveau à la nicotine et l’alcool.
 
On croit que les inhibiteurs de cette enzyme pourraient éventuellement aider à créer un traitement afin de libérer les personnes aux prises avec ce type d’accoutumances.
 
Pour le moment, les recherches effectuées pendant quatre semaines sur des souris semblent prometteuses, rapporte le Proceedings of the National Academy of Sciences.
Les souris qui avaient été génétiquement modifiées pour avoir moins de cette enzyme consommaient moins d’eau contenant de la nicotine.
 
D’autres études avaient démontré des résultats similaires avec l’alcool.
 
Cette découverte permettrait donc d’aider éventuellement les fumeurs et alcooliques avec un médicament contenant une molécule pouvant inhiber cette enzyme.

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L’alcool, un atout pour les femmes dans la cinquantaine?

Un verre d’alcool ou deux par jour permettraient aux femmes de jouir d’une belle retraite et d’éloigner plusieurs problèmes de santé liés à l’âge, le cancer et les maladies cardiaques.
                         
Selon le journal PLoS Medicine, les femmes dans la cinquantaine qui consomment un verre de vin avec leur repas sont moins susceptibles de souffrir de ces maux que celles qui ne boivent pas du tout ou qui boivent trop.
 
Cette consommation modérée garderait un esprit vif, une meilleure santé mentale et un corps plus en forme.
 
Plusieurs experts demeurent toutefois prudents devant de tels résultats, en raison du fait que l’état de santé peut dépendre d’autres facteurs. Les personnes qui consomment modérément de l’alcool peuvent aussi avoir une meilleure alimentation et faire plus d’exercices.
 
En vieillissant, l’alcool peut aussi causer des chutes. Il faut donc être prudent.