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La bière sans alcool, idéale pour les athlètes

En raison de l’épuisement causé par l’effort, les athlètes, surtout les coureurs de marathon, sont plus susceptibles de contracter des infections, car leur système immunitaire en est affaibli.
 
Il serait toutefois possible de remédier à ce problème en buvant quotidiennement de la bière sans alcool.
 
Avec ou sans alcool, la bière contient des polyphénols qui améliorent l’endurance, mais l’alcool affaiblit les muscles. La bière sans alcool offre donc les bienfaits des polyphénols, sans toutefois causer d’inconvénients liés à l’alcool.
 
Les chercheurs ont mentionné dans le Medicine & Science in Sports & Exercice Journal que la bière sans alcool avait été testée sur 277 coureurs du marathon de Munich, alors que d’autres n’ont reçu qu’un placebo.
 
Ceux qui avaient consommé de la bière non alcoolisée ont vu leur incidence d’infection respiratoire être réduite de 3,25 fois.
 
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L’alcool peut protéger de la démence

Une nouvelle étude révèle que de boire de l’alcool de façon modérée protègerait contre la démence, surtout pour les personnes âgées.
 
Les buveurs sociaux auraient jusqu’à 23 % moins de risques de développer la maladie d’Alzheimer et d’autres formes de démence, rapporte le Neuropsychiatric Disease and Treatment.
 
Boire modérément équivaudrait à un ou deux verres par jour, alors que de 3 à 5 verres seraient considérés comme un abus. Selon les recherches menées sur 365 000 personnes, l’abus accroit les risques de démence.
 
Le vin serait aussi plus bénéfique que la bière, et ce, peu importe que vous soyez une femme ou un homme. Les résultats sont les mêmes.
 
On recommande même aux personnes qui ne boivent pas du tout de commencer à le faire un peu afin de réduire les risques de maladies plus tard.
 
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L’alcool perturbe le sommeil

Si vous croyez que boire de l’alcool avant de vous coucher vous aidera à avoir une bonne qualité de sommeil, vous avez tort.
 
Une étude dévoilée par le journal Alcoholism: Clinical and Experimental Research affirme que l’alcool vous permettra effectivement de vous endormir plus rapidement et peut-être de bien dormir durant la moitié de la nuit, mais vous pouvez ensuite souffrir d’insomnie, avoir un sommeil agité et vous réveiller beaucoup plus tôt que prévu.
 
Selon l’équipe de l’Université d’Akita au Japon, l’alcool avant d’aller dormir peut également causer des effets nocifs sur le système digestif et entraîner des maladies.
 
Donc, pour mieux dormir, mangez bien, faites de l’exercice et établissez une routine qui prépare votre corps à la détente et au sommeil qui suivra.

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Les lits de bronzage provoquent une dépendance

Malgré les nombreux avertissements d’un risque accru de cancer de la peau, des millions de personnes dans le monde continuent de fréquenter les salons de bronzage et les chercheurs viennent de découvrir pourquoi. 

Une équipe du UT Southwestern Medical Center a suivi un groupe de personnes durant deux séances sur des lits de bronzage. Chaque participant avait reçu un composé qui permettait de déterminer le débit sanguin cérébral.
 
Lorsque les personnes étaient exposées aux rayons UV, l’activité cérébrale et le flux sanguin était similaires à ce qui est observé chez les accros à la drogue et à l’alcool.
 
Ainsi, ceux qui utilisent fréquemment les lits de bronzage seraient stimulés par une dépendance neurologique, mentionne le Daily Mail.
 
Ces séances de bronzage provoquent donc des changements au cerveau qui sont similaires à l’usage de drogue et d’alcool.
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Les jeunes filles plus affectées par les beuveries

Une étude effectuée par l’Université de la Californie à San Diego et l’Université de Stanford démontre que les beuveries sont plus dommageables pour le cerveau des jeunes filles.
 
Et les effets vont bien au-delà de la simple gueule de bois du lendemain. L’étude rapporte que leurs neurones sont plus affectés.
 
On a examiné le cerveau de 95 jeunes femmes. 40 d’entre elles avaient participé à une beuverie (au moins quatre verres d’alcool de suite pour une femme et cinq pour un homme).
 
L’activité cérébrale de plusieurs zones du cerveau, dont celles de la mémoire et de la capacité d’attention, était considérablement réduite avec une grande consommation d’alcool. Les effets pouvaient se ressentir à long terme également.
 
« Cela suggère que les adolescentes pourraient être particulièrement vulnérables aux effets négatifs d’une consommation excessive d’alcool », mentionne la professeure en psychiatrie et coauteure de l’étude, Susan Tapert.
 
On croit que l’alcool affecte plus le cerveau des filles, car le développement de ce dernier est en général jusqu’à deux ans en avance comparativement à celui des garçons, donc les dommages sont plus grands. Aussi, les filles ont un métabolisme plus lent, un indice de masse graisseuse plus important et un poids moyen inférieur.
 
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L’alcool pendant la grossesse serait bénéfique pour l’enfant

Il s’agit, selon reporternews.com, d’une première étude menée par des chercheurs australiens, puis d’une seconde recherche publiée dans le journal de l’Académie américaine de psychiatrie pour enfants et adolescents.

Les spécialistes australiens ont fourni les renseignements à la suite de l’étude de cas de 2 300 enfants âgés de 2 à 14 ans dont la mère buvait modérément pendant la grossesse (2 à 6 consommations par semaine). Il semble que ces enfants étaient plus équilibrés émotionnellement que ceux nés d’une mère qui s’était abstenue de tout alcool pendant la grossesse.
 
La seconde étude a été menée auprès de 11 500 enfants nés de mères qui consommaient légèrement pendant leur grossesse, soit de 1 à 2 consommations par semaine. Ces enfants ont obtenu des scores plus élevés aux tests cognitifs soumis.
 
La publication de ces données offense plusieurs corps médicaux. « On dirait plutôt une étude psychologique, et non une étude médicale », rapporte Edward Holt, obstétricien à Abilene. Un pédiatre du même institut, Justin Smith, se range du même côté, comme plusieurs autres collègues.
 
« Il n’y a aucune étude définitive et concluante à propos de la consommation d’alcool chez les femmes enceintes. Celle-ci ne fait pas exception », affirme Smith. « Le mot d’ordre demeurera le même, c’est-à-dire de conseiller l’abstinence de consommation, plutôt que de risquer la santé de la patiente et de l’enfant », poursuit le pédiatre.
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Aucun niveau d’alcool n’est sécuritaire contre le cancer

Des chercheurs français affirment qu’il n’existe aucun niveau d’alcool pour lequel le risque de cancer est nul.
 
Selon le Canadian Medical Association Journal, l’alcool est cancérigène pour les animaux et les humains, et ce, peu importe la quantité consommée.
 
Mauvaise nouvelle donc pour ceux qui aiment prendre un petit verre quotidiennement.
 
Nous savions déjà que l’alcool est lié aux cancers de la bouche, de la gorge, de l’œsophage, du foie, au cancer colorectal et du sein.
 
Les chercheurs mentionnent qu’il serait maintenant bon de revoir les recommandations sur la consommation d’alcool, mais surtout de mieux informer les consommateurs des risques encourus avec les boissons alcoolisées.
 
Dans la majorité des pays, on préconise une consommation modérée pour la sécurité et la santé. Même que depuis longtemps, un verre de vin rouge quotidien est reconnu pour avoir des effets bénéfiques sur la santé cardiaque. Toutefois, cela pourrait avoir une incidence sur le développement du cancer.

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De l’alcool servi dans les fast-foods

La chaîne de restauration rapide américaine Sonic a choisi de faire concurrence à d’autres restaurants et sert maintenant de l’alcool dans ses établissements de Miami et Fort Lauderdale en Floride, rapporte le USA Today.
 
Sonic se fait donc révolutionnaire en Amérique, car la pratique est courante en Europe, où les fast-foods servent de l’alcool depuis les années 1970. Par exemple, le premier à le faire a été un McDonald’s de Munich en Allemagne qui, dès son ouverture en 1971, a servi de la bière.
 
La chaîne Sonic offre ainsi de la bière pression et en bouteille, en plus d’une dizaine de sortes de vins.
 
En février dernier, Burger King ouvrait un Whopper Bar à South Beach, à Miami, portant le total à trois établissements en sol américain, en plus d’en avoir à Singapour, au Venezuela et en Espagne.
 
Même les Starbucks, reconnus pour leurs cafés, servent de la bière et du vin dans quatre succursales de Seattle.

Serait-ce une nouvelle tendance qui se dessine?

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Les boissons énergisantes : un danger pour les musiciens?

Les musiciens sont souvent des amateurs de boissons énergisantes en raison de leurs heures de travail tardives et de leur manque de sommeil notamment.
 
Une étude menée par l’Université de Buffalo établit ainsi un lien entre la consommation de ce type de boissons et une consommation excessive de médicaments, de drogues et d’alcool chez les musiciens.
 
Selon le Journal of Caffeine Research, on a examiné des musiciens professionnels et amateurs de New York âgés de 18 à 45 ans.
 
57 % étaient des amateurs de boissons énergisantes. Parmi ceux-ci, 31 % faisaient un usage récréatif de médicaments, comparativement à seulement 13 % chez ceux qui ne prenaient pas les boissons énergisantes. 76 % des accros aux boissons énergisantes, disaient consommer beaucoup d’alcool, alors qu’ils étaient 59 % chez ceux qui n’en buvaient pas.
 
De plus, plusieurs ont affirmé consommer de la drogue. Il s’agissait de marijuana pour 52 %, de psychotropes pour 25 %, de médicaments pour 23 % et de cocaïne pour 21 % de ces musiciens.

Soulignons qu’au printemps dernier, 15 États américains ont interdit la vente de la boisson Blast by Colt 45 du rappeur Snoop Dogg. Une canette de 700 ml contient 12 % d’alcool, soit l’équivalent de six canettes de bière. On accusait donc le chanteur d’encourager la consommation excessive d’alcool chez les jeunes.

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Même un demi-verre d’alcool augmente les risques de cancer du sein

Il est reconnu que l’abus d’alcool accroit les risques de développer un cancer. Une étude britannique de l’Université Oxford, effectuée auprès d’un million de femmes, démontre que même en respectant les limites de consommation recommandées, les risques de maladie demeurent présents.
 
En fait, même avec un seul demi-verre de vin par jour, on augmente les risques de cancer du sein de 10 %. Il n’y aurait donc pas de limite sécuritaire.
 
Toutefois, on admet que les risques sont tout de même minimes et que les femmes devraient se fier à leur jugement.

Selon le Daily Mail, celles avec de forts antécédents familiaux de cancer du sein devraient peut-être tourner le dos à l’alcool afin de réduire le plus possible leurs chances de développer la maladie.