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Les cocktails de boisson énergétique et alcool sont dangereux pour la santé

Bien que l’habitude de mélanger la caféine à l’alcool ne date pas d’hier, mélanger l’alcool à des boissons hautement caféinées comme Red Bull, Rock Star ou autres boissons énergisantes est plutôt une nouvelle méthode à la mode pour s’enivrer.
 
Cependant, ce cocktail est dangereux, selon une étude publiée dans le Alcoholism: Clinical & Experimental Research. Mêler l’alcool aux boissons énergisantes augmente l’impulsivité, l’excitation et pousse à prendre plus de risques, augmentant donc les dangers potentiels de blessures et d’accidents.
 
Ce cocktail peut même inciter à boire plus, car la caféine peut atténuer les effets sédatifs de l’alcool. Donc, les personnes croient à tort qu’elles ne sont pas aussi saoules qu’elles le sont en réalité et boivent davantage.
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Effet inattendu de l’alcool sur la mémoire

Alors que l’on attribue habituellement la consommation d’alcool à une perte de mémoire, voici qu’une nouvelle étude, dirigée par le chercheur Hitoshi Morikawa de l’Université du Texas, affirme plutôt le contraire.
 
Selon le site slate.fr, la consommation d’alcool permettrait d’accroître la mémoire subconsciente, mais affecterait négativement la mémoire consciente.
 
« Notre inconscient apprend et se souvient également, et l’alcool peut en fait augmenter notre capacité à apprendre à ce niveau. Lorsque nous consommons de l’alcool (ou des drogues), notre “subconscient” apprend à consommer plus. Mais il ne s’arrête pas là. Nous devenons plus réceptifs à la formation de souvenirs et d’habitudes par rapport à la nourriture, la musique, les personnes et les situations sociales », explique M. Moritawa.
 
Donc, les alcooliques seraient plus accrocs à cet effet de l’alcool qu’à la notion de plaisir ressenti. « Les gens voient le plus souvent la dopamine comme un neurotransmetteur de plaisir, mais c’est plus précisément un neurotransmetteur d’apprentissage. Il renforce les synapses qui sont activées lorsque la dopamine est libérée », ajoute le chercheur.
 
Cette découverte pourrait donc ouvrir la voie à de nouvelles thérapies pour vaincre l’alcoolisme.
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La véritable raison des dangers de l’alcool pour les femmes

C’est connu depuis longtemps, les femmes sont affectées plus rapidement que les hommes par la consommation d’alcool. Les médecins mettent en garde les jeunes femmes contre un risque accru des maladies du foie notamment.
 
Contrairement à ce que l’on croyait, l’alcool est métabolisé à la même vitesse chez les deux sexes, mais à poids égal, les femmes seront toujours ivres plus rapidement que les hommes.
 
Selon le Daily Mail, cela s’explique par le fait que les femmes ont moins d’eau dans leur corps que les hommes. Ces derniers ont 65 % d’eau, alors que les femmes en ont 55 %.
 
« L’alcool est absorbé dans le sang et transporté ensuite par l’eau dans les cellules. Parce que les femmes ont moins d’eau que les hommes, elles sont plus susceptibles d’avoir une concentration sanguine d’alcool plus élevée après avoir consommé une même quantité de boisson », explique la Dre Marsha Morgan de l’École de médecine de l’University College London.
 
Le foie des femmes n’est donc pas plus sensible que celui des hommes, mais une plus grande concentration d’alcool y est transportée, donc les dommages sont plus rapides.
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L’alcool cause des accouchements prématurés

Une étude parue dans le BMC Pregnancy and Childbirth confirme une fois de plus les risques entraînés par la consommation d’alcool durant la grossesse.

Après avoir suivi 60 000 femmes enceintes, des chercheurs de Dublin, en Irlande, ont conclu que boire de l’alcool en début de grossesse pouvait causer des naissances prématurées, des fausses couches et un faible poids de naissance.
 
Les participantes de l’étude ont été questionnées sur leurs habitudes de vie entre la dixième et la douzième semaine de leur grossesse. Ces données ont par la suite été comparées à celles prises lors de la naissance de leur enfant.
 
Dans le cadre de cette étude, 71 % des femmes enceintes ont dit consommer de l’alcool sur une base occasionnelle.
 
La forte consommation d’alcool était aussi associée à des problèmes de santé, une fois l’enfant ayant atteint l’âge adulte.

Les chercheurs recommandent toutefois que d’autres études soient faites avant qu’une faible consommation d’alcool durant la grossesse soit considérée sans danger pour le fœtus.

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Les buveuses de bière plus atteintes de psoriasis

Une étude américaine parue dans Archives of Dermatology nous apprend que la bière peut entraîner le développement du psoriasis chez les femmes.

Ayant porté sur 82 000 femmes âgées de 27 à 44 ans, elle a démontré que la consommation régulière de bière doublait les risques de psoriasis, alors que celle de la bière légère et d’autres sortes d’alcool n’avait pas cet effet.

On a statué à cinq bières par semaine la quantité pouvant augmenter les risques. Différents éléments entreraient en ligne de compte, mais l’orge est pointée du doigt. Cette céréale utilisée pour faire fermenter la bière contient du gluten.

Pour les femmes qui sont déjà à risque de maladie de peau, on recommande donc de boire de la bière de façon modérée.

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De nombreux cancers pourraient être facilement évités

Une étude allemande effectuée dans huit pays d’Europe auprès de 364 000 personnes démontre que 10 % des cancers chez les hommes et 3 % chez les femmes sont directement liés à la consommation régulière d’alcool
 
Selon les données recueillies, seulement en 2008, 44 % des cancers des voies aérodigestives supérieures (bouche, larynx, pharynx, sinus) chez les hommes et 25 % de ces cancers chez les femmes étaient attribuables à une consommation d’alcool, soit plus de deux verres par jour pour la gent masculine et plus d’un verre pour le sexe opposé.
 
L’étude publiée dans le British Medical Journal démontre que l’alcool serait aussi lié au cancer du foie à 33 % pour les hommes et 18 % pour les femmes. 17 % des cancers colorectaux pour les hommes et 4 % pour les femmes sont aussi liés à la boisson et 5 % des cancers du sein également.
 
« Nos résultats montrent que de nombreux cas de cancer auraient pu être évités en limitant la consommation quotidienne d’alcool à deux verres pour les hommes et à un verre pour les femmes, comme le recommandent de nombreux organismes de santé », explique le Dr Madlen Schütze.
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Une femme sur cinq boit trop

De récentes données de l’Office national de la statistique au Royaume-Uni nous indiquent que 18 % des femmes boivent de l’alcool avec excès, selon The Telegraph.

Ainsi, près du cinquième des femmes boit plus de 14 consommations d’alcool par semaine, ce qui correspond à plus de 7 verres de vin moyens.
 
Le taux a augmenté depuis 1998, où il se situait à 15 %. De plus, il semble que les femmes plus âgées boivent plus que les autres.
 
Quant aux hommes, si 28 % dépassaient la limite de 21 consommations par semaine en 1998, ce taux s’est retrouvé à 26 % en 2009.

Selon certains experts, les fortes consommations d’alcool chez les femmes pourraient en partie expliquer la hausse des interventions médicales. L’alcoolisme est très lié à certains problèmes de santé comme les maladies cardiaques et la cirrhose du foie.

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L’exposition foetale à l’alcool, pire chez les garçons?

Une récente étude de l’École de médecine de l’Université Northwestern a fait la lumière sur les raisons pour lesquelles les fœtus ne réagissent pas tous également à une exposition à l’alcool.

Si certains bébés ne connaissent aucun problème de santé lorsque leur mère consomme de l’alcool durant sa grossesse, d’autres souffriront pourtant du syndrome d’alcoolisme fœtal. Il semble d’ailleurs que les garçons y seraient plus vulnérables.
 
Selon les résultats de l’étude parue dans le FASEB Journal, la raison se cacherait dans les gènes. Une variation génétique donnée par la mère à son fils rendrait celui-ci plus fragile quant à la consommation d’alcool, même si elle est minime. La variation ébranlerait l’équilibre des hormones thyroïdes dans le cerveau.
 
On pourrait donc envisager, à la lumière de ces résultats, de créer un supplément alimentaire pouvant réguler lesdites hormones et ainsi corriger les problèmes liés à l’exposition à l’alcool durant la grossesse.

Rappelons finalement que le syndrome d’alcoolisme fœtal se décrit principalement par des problèmes de comportement, d’apprentissage et des troubles physiques.

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Le sucre, le sel et l’alcool causent des dommages au corps en quelques minutes

Des scientifiques australiens ont mesuré le temps que plusieurs aliments nocifs pour la santé mettent avant de causer des dommages à notre organisme. Par exemple, il faudrait moins de 30 minutes pour que la capacité des artères à pomper le sang soit considérablement diminuée après un repas salé.
 
Selon ce que rapporte le Daily Mail, il ne suffit que de 3 secondes à une cigarette pour causer les premiers dommages obligeant le cœur à travailler plus fort. La tension artérielle augmente également et la fumée cause de l’irritation et de l’inflammation aux voies respiratoires. En 15 minutes, il commence à y avoir des dommages génétiques.
 
En ce qui concerne le sucre, les dommages se font en moins de 2 minutes, car dès qu’il est en contact avec les dents, les bactéries le transforment en acide qui attaque l’émail. Le taux de glycémie augmente ensuite presque instantanément, ce qui est un facteur de risque pour le diabète de type 2. Le taux d’insuline grimpe également.
 
Pour l’alcool, cela ne prend que 6 minutes. Plus le taux d’alcool augmente dans le sang et plus les composés qui protègent le cerveau diminuent. Bien qu’une consommation modérée provoque des effets réversibles, les alcooliques peuvent se retrouver avec des dommages permanents.
 
Le sel cause des dommages en 30 minutes, tout comme la caféine qui ralentit le flux sanguin. Quant à lui, le gras perturbe le système de coagulation du sang en 45 minutes.
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Des alcooliques de plus en plus jeunes

Bien que la prévention sur l’excès d’alcool soit très présente, notamment dans les médias, il semble que cela n’empêche pas les jeunes d’en consommer, et ce, à un âge de plus en plus jeune.

Nous pouvons en effet nous questionner sur l’alcoolisme dans nos sociétés après avoir pris connaissance de récentes données recueillies par la Santé publique britannique.
 
Selon les derniers chiffres, 13 enfants âgés de moins de 13 ans ont reçu des soins pour alcoolisme, de 2009 à 2010, au Royaume-Uni.
 
De plus, pour cette même période, 70 adolescents de 13 à 16 ans ont eux aussi reçu le même type de soins, tandis que 106 ont été déclarés alcooliques.
 
Mentionnons au passage qu’à la suite d’une enquête datant de 2009, les jeunes Britanniques ont été reconnus comme les plus grands consommateurs d’alcool de l’Union européenne.

Malgré tout, ces récentes statistiques nous font voir que l’alcool est encore aujourd’hui très accessible aux moins de 18 ans et que les problèmes de santé y étant reliés semblent de plus en plus importants.