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De nouvelles données sur l’alcool durant la grossesse

Même si l’on entend beaucoup parler de l’importance de ne pas consommer d’alcool durant la grossesse, cette habitude fait encore partie des mœurs, apprend-on dans Le Parisien.

Selon une récente étude, pas moins de 17 à 25 % des femmes enceintes continuent de boire de l’alcool malgré leur grossesse.

Ce qui est étonnant, c’est que six pour cent d’entre elles boivent même deux verres ou plus dans une même journée.

Même si les avis sont partagés quant aux répercussions sur le bébé, les spécialistes considèrent ces derniers chiffres comme alarmants.

C’est que certains risques pour l’enfant à venir demeurent associés à l’alcool, par exemple des malformations rénales ou cardiaques.

Le plus grand dangereux est encore le syndrome d’alcoolisme fœtal, qui peut entraîner un retard mental. Mentionnons qu’il touche les bébés dont la mère souffre d’alcoolisme.

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Boire beaucoup d’alcool en peu de temps est plus dommageable pour le coeur

Si vous avez tendance à boire beaucoup d’alcool le week-end, sachez que cela vous expose à beaucoup plus de dommages sur votre cœur que si vous répartissez votre consommation sur la semaine.
 
Pendant 10 ans, des chercheurs ont suivi 1000 hommes de 50 à 59 ans habitant trois villes françaises (Lille, Toulouse et Strasbourg) et une ville irlandaise (Belfast).
 
Tous ces hommes n’avaient aucun problème cardiaque au début de l’étude et consommaient la même quantité d’alcool chaque semaine. Toutefois, on a remarqué qu’à Belfast, il y avait deux fois plus d’infarctus du myocarde qu’en France.
 
« À Belfast, la consommation d’alcool était davantage concentrée sur un jour du week-end [le samedi], alors que dans les trois centres français, la consommation était répartie de façon plus égale sur l’ensemble de la semaine », explique Jean Ferrières de l’Université de Toulouse qui a dirigé l’étude.
 
Aussi, il faut savoir qu’en Irlande la bière est l’alcool le plus populaire, alors qu’en France, c’est le vin. Les chercheurs en ont donc aussi tenu compte. « On a tenu compte des facteurs de risque classiques qui expliquent une part de la variabilité d’un à deux entre la France et l’Irlande du Nord, puis on a introduit le mode de consommation et ensuite la consommation de vin », ajoute M. Ferrières.
 
Peu importe le moment où vous buvez, le Bristish Medical Journal rappelle qu’une trop grande consommation d’alcool a un impact négatif sur votre santé, que ce soit en augmentant les risques de cirrhose du foie, de pancréatite ou de cancer.
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Des boissons énergisantes interdites aux États-Unis

L’agence américaine de régulation des aliments et des médicaments (FDA) vient d’interdire la vente de boissons énergisantes contenant de l’alcool et de la caféine.
 
Des lettres ont été envoyées aux compagnies qui fabriquent les boissons Core High Gravity, Moonshot, Four Loko, Joose et Max afin qu’elles renoncent à l’ajout d’alcool et de caféine dans leurs produits sous peine de saisie des stocks.
 
Les compagnies ont donc 15 jours pour cesser la vente de ces boissons, grandement populaires auprès des jeunes, qui peuvent contenir jusqu’à 12 % d’alcool.
 
Après avoir analysé leurs effets pendant un an, la FDA considère que ces boissons représentent un danger pour la santé publique.
 
« La FDA ne peut pas affirmer que l’ajout de caféine à l’alcool est généralement sans danger. Au contraire, on a des preuves que cette combinaison de caféine et d’alcool pose un danger pour la santé publique », mentionne le commissaire de l’agence, Joshua Sharfstein.
 
Selon l’agence américaine, la caféine masque les effets de l’alcool. Ainsi, le consommateur ne croit pas qu’il est en état d’ébriété, alors qu’il l’est en réalité. Cela le pousse donc à avoir des comportements à risque.
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Les beuveries peuvent causer des dommages permanents au cerveau

Les adolescents se lancent souvent ce genre de défi : caler une grande quantité d’alcool en peu de temps. Ce type d’expérience peut toutefois s’avérer extrêmement dangereuse, causant des dommages permanents au cerveau.
 
Ces adolescents sont plus à risques de souffrir d’anxiété et même de dépression à l’âge adulte, mentionne une équipe de chercheurs de l’Université Loyola de Chicago.
 
Après avoir effectué des tests sur des rats, on a constaté que ceux exposés à de fortes doses d’alcool avaient une moins bonne réponse au stress. L’alcool diminue la sécrétion de l’hormone qui nous aide à faire face aux situations stressantes.
 
« L’alcool peut perturber en permanence les connexions normales dans le cerveau qui sont pourtant nécessaires pour assurer un fonctionnement normal du cerveau », mentionne le Dr Toni Pak.
 
Les beuveries peuvent aussi causer une intoxication, une perte de jugement, des blessures et même la mort dans certains cas. On estime qu’au Canada, les deux tiers des jeunes adultes s’y adonnent.
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Boire avec modération est bénéfique après un pontage coronarien

Une nouvelle étude d’une équipe de l’Université de Rome révèle qu’il serait bénéfique de boire modérément de l’alcool après un pontage coronarien.
 
Les hommes qui boivent deux verres d’alcool par jour auraient moins besoin de nouvelles procédures après l’intervention que ceux qui ne boivent pas.
 
Une consommation légère d’alcool réduirait de 25 % les procédures supplémentaires, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux.
 
Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs ont questionné plus de 1 000 hommes ayant subi un pontage coronarien. Ils ont fait leur suivi médical pendant trois ans et demi.
 
On n’a trouvé aucun effet négatif d’une consommation modérée d’alcool après un pontage coronarien.
 
Toutefois, le Daily Mail rappelle qu’on recommande aux hommes de se limiter à deux consommations par jour et à une consommation quotidienne pour les femmes. Trop d’alcool augmente la pression artérielle et d’autres effets négatifs pour le cœur.
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L’alcool serait plus dangereux que les drogues

Des chercheurs britanniques ont comparé différentes substances, comme l’héroïne, la cocaïne, le crack, la marijuana et l’ecstasy, avec l’alcool.
 
Selon leurs résultats publiés dans la revue The Lancet, l’alcool serait le plus nocif de tous si l’on considère tous ses impacts, autant chez les individus que la société.
 
L’alcool affecte tous les organes du corps humain. Il cause le plus haut taux de mortalité sur les routes, il cause l’éclatement des familles et finit par être extrêmement dispendieux pour les systèmes de santé et services sociaux, ainsi que pour le milieu judiciaire et carcéral.
 
Par contre, au niveau de la santé d’une personne, ce sont l’héroïne, le crack et les méthamphétamines qui sont les plus dommageables. Ces trois drogues sont les plus mortelles de toutes.
 
Toutefois, si l’on tient compte de tous les impacts individuels et collectifs, l’alcool les surpasse, mentionne le professeur David Nutt de l’Imperial College London.
 
Parmi les drogues les moins nocives, on retrouve la marijuana, le LSD et l’ecstasy.
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Boire avec modération est sans danger pour le bébé

En fait, une étude britannique viendrait de prouver le contraire, comme il est présenté dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

Yvonne Kelly, de l’University College London en Angleterre, a dirigé une étude portant sur 11 000 enfants. Ceux-ci étaient nés entre 2000 et 2002.

Les chercheurs ont découvert que les enfants avaient justement moins de risque d’avoir des problèmes cognitifs et des troubles du comportement lorsqu’ils avaient été exposés à une consommation légère d’alcool lors de la grossesse.

À quelques degrés de pourcentage, les enfants réussissaient même mieux les tests d’aptitudes cognitives.

Toutefois, cette étude a des limites évidentes. En effet, les résultats obtenus reposent au départ sur la réponse des parents, qui devaient quantifier eux-mêmes leur consommation d’alcool.

Madame Kelly note cependant que ces différences pourraient être dues à des données sociodémographiques.

Elle et son équipe font par ailleurs remarquer que boire immodérément demeure un danger pour le bébé à naître.

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La polyarthrite rhumatoïde serait moins sévère avec une consommation d’alcool

Sans remettre en cause les effets néfastes d’une consommation excessive d’alcool, des chercheurs ont découvert qu’une consommation régulière pouvait non seulement réduire les effets de la polyarthrite rhumatoïde, mais aussi protéger contre la maladie.
 
Dans cette étude, c’est la fréquence des consommations qui a été étudiée et non la quantité. La revue Rheumatology rapporte que l’alcool pourrait prévenir la polyarthrite rhumatoïde. Cette maladie chronique se caractérise par une inflammation des articulations et des gonflements. C’est la plus fréquente des maladies articulaires inflammatoires.
 
Pour cette nouvelle recherche, une équipe de l’Université Sheffield, en Grande-Bretagne, a comparé les habitudes de consommation ainsi que les articulations de 873 personnes atteintes de la maladie et de 1 004 autres en bonne santé.
 
« Les patients qui avaient bu de l’alcool le plus fréquemment montraient des symptômes moins sévères que ceux qui n’en avaient jamais bu ou qui en buvaient rarement. Les radios ont montré moins de dommages aux articulations, les tests sanguins ont montré des niveaux plus bas d’inflammation et ils présentaient moins de douleurs articulaires, de gonflements et de handicap », a expliqué le rhumatologue James Maxwell.
 
Le soulagement pourrait s’expliquer notamment par le fait que l’alcool offre des effets anti-inflammatoires et analgésiques.
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L’alcool durant la grossesse est plus dangereux pour les femmes plus âgées

Une étude révèle que les femmes qui boivent durant leur grossesse exposent leur futur enfant à plus de dangers si elles sont dans la trentaine ou au début de la quarantaine.
 
Selon le journal Alcoholism: Clinical and Experimental Research, les femmes plus âgées ont tendance à boire plus souvent comparativement aux plus jeunes, exposant ainsi le fœtus à plus de risques d’avoir des déficits cognitifs ou des anomalies physiques.
 
Après avoir examiné les habitudes de consommation d’alcool, de tabac et de drogue chez les mères de 231 garçons et 231 filles, on constate que les enfants de mères alcooliques qui avaient plus de 29 ans présentaient plus de problèmes que ceux nés de jeunes mères alcooliques.
 
« L’effet modérateur de l’âge de la mère sur les dégâts de l’alcool peut clairement être observé chez les enfants nés d’une même mère qui a continué à boire, surtout si elle avait une consommation excessive. Dans ces familles, les enfants les plus jeunes ont tendance à avoir plus d’anomalies physiques et de déficits cognitifs que les aînés », explique le Dr Piyadasa Kodituwakku de l’Université du Nouveau-Mexique.
 
On conseille toujours aux futures mamans d’éviter l’alcool durant les trois premiers mois de leur grossesse. En plus, l’alcool est également associé à un risque accru de fausse couche, de naissance prématurée et de bébé de faible poids ou avec des malformations congénitales.
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L’alcool durant la grossesse affecte la fertilité de l’enfant plus tard

Le Daily Mail rapporte que l’alcool durant la grossesse affecte la fertilité de l’enfant à naître.
 
Selon des médecins spécialistes, quatre des cinq petits verres de vin hebdomadaires peuvent endommager la fertilité du futur enfant.
 
C’est la première fois qu’une étude de ce genre est faite sur les effets de l’alcool durant la grossesse. Les chercheurs ont analysé le sperme de 350 jeunes hommes et ont fait une comparaison avec les habitudes de consommation d’alcool de leur mère notées vingt ans plus tôt, alors qu’elles étaient enceintes.
 
Celles ayant pris 6,75 unités d’alcool (1 petit verre de vin = 1 unité et demie) avaient des garçons avec une concentration de sperme de 32 % inférieure à ceux issus de mères qui n’avaient jamais consommé d’alcool ou très peu.
 
On croit que l’alcool nuit au développement des tissus délicats dans les testicules et les cellules spécialisées du sperme.
 
Par contre, deux unités d’alcool par semaine amélioreraient la qualité du sperme. Toutefois, ce dernier résultat est peut-être faussé, car il pourrait s’expliquer simplement parce que ces femmes enceintes étaient en meilleure santé.
 
Quoi qu’il en soit, il est toujours préférable de s’abstenir de boire de l’alcool durant la grossesse, tout comme il est fortement recommandé de ne pas fumer et d’avoir une alimentation saine.