Catégories
Uncategorized

Une nouvelle boisson pour réduire le taux d’alcool

Les responsables français de la lutte contre l’alcoolisme sont septiques et inquiets quant à l’arrivée imminente d’une boisson qui aurait la faculté de réduire le taux d’alcool dans le sang.
 
La boisson gazeuse Outbox, présentée dans une canette métallique orange, promet d’accélérer de façon importante la réduction du taux d’alcool dans le sang, permettant ainsi à la personne qui la boit de retrouver son état normal.
 
Selon la compagnie Outbox, les tests ont été concluants et on souhaite maintenant vendre la boisson dans les magasins à grande surface, les bars et les restaurants.
 
Les spécialistes craignent toutefois que ce type de boisson incite les gens, surtout les jeunes, à boire davantage et à conduire sans avoir mesuré leur taux d’alcool.
 
Selon le Dr Alain Rigaud, président de l’Association nationale de prévention en alcoologie et addictologie, la personne qui arriverait à créer une telle boisson mériterait un prix Nobel.
 
En 2006, une boisson similaire, la Security Feel Better, a été interdite pendant quelques mois en France. Depuis, on parle plutôt d’une boisson contre la gueule de bois et non d’une boisson qui réduit le taux d’alcoolémie.
Catégories
Uncategorized

Vers une augmentation du prix de l’alcool?

Lors de la 63e assemblée annuelle de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui s’est tenue cette semaine en Suisse, l’OMS a suggéré à ses 193 pays membres de revoir à la hausse le prix de l’alcool.
 
Cette proposition a d’ailleurs été approuvée par une grande partie des membres.
 
C’est que, selon l’organisme, l’alcool a tué 2,5 millions de personnes dans le monde, dont 320 000 jeunes de 15 à 29 ans. On souhaite donc qu’une hausse des prix puisse diminuer l’usage abusif de l’alcool.
 
De plus, l’OMS demande aux pays de mieux contrôler les publicités des boissons alcoolisées, surtout avec les messages textes et les réseaux sociaux qui, selon lui, propagent des messages trop invitants.
 
« Le marketing publicitaire fait appel à des techniques publicitaires et promotionnelles de plus en plus élaborées, notamment à des stratégies qui associent les marques d’alcool à des activités sportives ou culturelles », explique l’organisme dans un communiqué.
 
Lors de l’assemblée de l’OMS, on a également fortement critiqué le manque de transparence et la mauvaise gestion de l’organisation dans la lutte contre la grippe A (H1N1) l’hiver dernier.
Catégories
Uncategorized

Études inquiétantes sur les dépendances envers l’alcool et les drogues

Lors du Congrès sur les dépendances Rond-Point 2010 qui s’est tenu à Montréal, quelques études sur les consommations de drogues et d’alcool ont été dévoilées.
 
D’abord, Santé Canada et le Centre canadien de lutte contre l’alcoolisme et les toxicomanies (CCLAT) révèlent que 3,9 % des personnes âgées de 65 à 74 ans ont une consommation à risque.
 
Cette consommation atteint 4,5 % pour les personnes de 75 ans et plus. Donc, l’alcoolisme et les drogues deviennent très présents chez les personnes du troisième âge. 2,8 % des plus de 65 ans sont considérés comme des buveurs excessifs.
 
De plus, on note que la consommation de médicaments pour les personnes âgées a grimpé en flèche. 45 % des prescriptions faites au pays sont pour les 65 et plus.
 
L’Institut de la statistique du Québec a aussi fait des révélations-chocs disant que 8 % des enfants de moins de 17 ans vivaient avec un parent alcoolique et 4 % avec un parent toxicomane.
Heureusement, certaines mesures sont prises maintenant, mais il reste du chemin à parcourir. Les mères toxicomanes, par exemple, sont repérées dès l’annonce de leur grossesse au Centre hospitalier de l’Université de Montréal et plusieurs centres de réadaptations offrent des programmes spéciaux pour les parents.
Catégories
Uncategorized

Risque de cancer accru pour l’enfant si la mère consomme de l’alcool durant sa grossesse

Bien que l’on recommande depuis toujours à toutes les femmes enceintes de s’abstenir de boire de l’alcool durant leur grossesse, cette recommandation n’est pas toujours suivie à la lettre.
 
Une étude dirigée par Paule Latino-Martel, de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) et coordonnatrice du réseau NACRE (réseau national alimentation cancer recherche) en France, montre que les femmes enceintes qui consomment de l’alcool augmentent les risques de leucémie myéloïde aiguë pour leur enfant.
 
Ce type de cancer qui est plutôt rare s’attaque aux globes blancs de la moelle osseuse.
 
Après avoir interrogé 21 femmes sur leurs habitudes de consommation d’alcool alors qu’elles attendaient un enfant, les chercheurs établissent un risque accru de 56 % pour les enfants dont la mère a bu.
 
« Malgré les recommandations actuelles auprès des femmes enceintes, à qui l’on rappelle qu’elles ne doivent pas boire pendant leur grossesse, le taux de consommation d’alcool pendant la grossesse est de 12 % aux États-Unis, 30 % en Suède, 52 % en France, 59 % en Australie et 60 % en Russie », affirme Paule Latino-Martel.
Catégories
Uncategorized

De mauvaises habitudes qui réduisent l’espérance de vie

Les Archives of Internal Medicine ont établi une liste de quatre mauvaises habitudes qui réduisent de douze ans l’espérance de vie.
 
Le tabagisme, souvent lié au cancer, se situe dans cette liste avec également moins de deux heures d’activités physiques par semaine, ce qui peut entraîner des maladies cardiovasculaires à long terme, manger moins de trois portions de fruits et légumes par jour et boire plus de 8 à 10 verres d’alcool par semaine.
 
Chacune de ces mauvaises habitudes double les risques de mort prématurée. Lorsqu’elles sont combinées, les risques sont de trois à quatre fois plus grands que pour les personnes qui n’ont pas adopté ces habitudes et qui ont un mode de vie sain.
 
Cette étude norvégienne a été réalisée avec l’aide de 4 866 participants qui se sont soumis à un questionnaire sur leurs habitudes de vie, ainsi qu’à un suivi médical pendant vingt ans.
Catégories
Uncategorized

Les films classés R (restreint) incitent à boire à un âge précoce

Selon une nouvelle étude rapportée par le Journal of Studies on Alcohol and Drugs, les enfants qui regardent des films classés R (restreint), plus destinés aux adultes, ont tendance à commencer à boire beaucoup plus jeunes.
 
Malheureusement, les parents négligeraient trop souvent la classification des films choisis, R n’étant vraiment pas destiné aux enfants.
 
Les enfants qui regardent ce genre de films sont plus susceptibles de commencer à boire à l’adolescence.
 
3 600 jeunes ont été interrogés sur les films que leurs parents leur permettaient de regarder. Deux ans plus tard, 25 % de ceux qui pouvaient toujours regarder des films classés R ont commencé à boire. Ce taux passe à 19 % pour ceux qui avaient parfois la permission de tels visionnements, alors que seulement 3 % de ceux qui n’avaient jamais eu le droit de regarder de tels films se sont mis à boire deux ans plus tard.
 
Ceci concorde avec une précédente étude qui disait que les contenus adultes incitaient à boire, fumer et avoir une vie sexuelle à un âge plus précoce. Ces jeunes recherchent davantage les sensations fortes.
 
« Nous pensons que de voir un contenu pour adultes change effectivement leur personnalité », mentionne le Dr James Sargent.
Catégories
Uncategorized

Une consommation modérée d’alcool est bénéfique aussi pour les jeunes

Une étude publiée dans le journal Circulation démontre qu’une consommation modérée d’alcool peut également être bénéfique pour la santé cardiaque des jeunes adultes.
 
Toutefois, comme les risques de maladies cardiaques chez les plus jeunes sont faibles, les effets bénéfiques de l’alcool sont en réalité négligeables, surtout comparés aux risques croissants d’accidents de la route ou encore de cancer.
 
Chez les hommes et les femmes plus âgés, un verre ou deux d’alcool par jour a des effets protecteurs sur le cœur, mais l’abus d’alcool pose toutefois de nombreux problèmes de santé
 
Les maladies cardiaques sont plutôt rares chez les hommes de moins de 40 ans et les femmes de moins de 50 ans. Par contre, les chercheurs notent qu’une consommation quotidienne de 30 grammes d’alcool (environ 2 à 3 verres standards) diminue les risques de problèmes cardiaques de 42 % chez la femme et de 31 % chez l’homme.
Catégories
Uncategorized

L’alcool pour réduire l’arthrite

Certaines études démontrent qu’une consommation légère et modérée d’alcool diminue les risques de souffrir d’arthrite rhumatoïde. De plus, l’alcool ralentirait la progression de la maladie.
 
Selon la revue Arthritis & Rhumatism, 2 900 adultes atteints de polyarthrite ont participé à une étude suisse. Les chercheurs ont suivi les personnes pendant quatre ans et ont effectué de nombreuses radiographies.
 
Ils ont constaté que les participants qui buvaient peu ou modérément de l’alcool voyaient leur maladie être ralentie, comparativement aux personnes qui ne consommaient pas du tout d’alcool. Par contre, les gros buveurs d’alcool voyaient la progression de leur arthrite s’accélérer.
 
Ces résultats ont été mesurés avec les radiographies uniquement, car la différence entre les buveurs modérés et les non-buveurs n’était pas assez importante pour être vérifiée au quotidien, par exemple pour l’aggravation ou l’invalidité qui sont associées à la maladie.
 
Selon le Dr Axel Finckh du CHU de Genève, l’un des auteurs de l’étude, si ce ralentissement de la maladie se maintient au fil des années, les effets pourront alors être mesurés dans la vie des patients.
 
Toujours selon certaines études, la consommation d’alcool diminuerait également l’inflammation reliée à la pathologie.
Catégories
Uncategorized

Deux verres d’alcool pour rester mince

Les femmes d’âge moyen qui consomment deux verres d’alcool par jour prennent moins de poids que celles qui se tiennent loin de l’alcool.
 
Selon les Archives of Internal Medicine, une équipe de l’hôpital Brigham and Women’s de Boston a suivi un groupe de 19 220 femmes américaines pendant 13 ans. On a étudié leur consommation d’alcool durant tout ce temps.
 
Les femmes qui buvaient deux verres d’alcool quotidiennement avaient pris moins de poids que celles qui n’avaient rien consommé.
 
Les participantes avaient consommé de la bière, du vin blanc, du vin rouge et des spiritueux.
 
Par contre, les chercheurs ne recommandent pas l’alcool pour lutter contre le fléau de l’obésité, car sa consommation est aussi liée à des effets psychosociologiques.
 
Au cours de l’étude, il semble que ce soit le vin rouge qui était le plus efficace. Tout comme nous savions déjà que ce dernier avait des effets bénéfiques sur les maladies cardiaques.
Catégories
Uncategorized

Les courbes féminines agiraient comme de la drogue pour les hommes

Une étude révèle que les hommes qui regardent une femme séduisante, tout en courbes, comme Kate Winslet ou Scarlett Johansson, ressentiraient les mêmes effets que procurent habituellement la drogue et l’alcool.
 
Selon le New York Daily News, 14 hommes âgés en moyenne de 25 ans ont participé à l’étude. Ils ont été invités à identifier ce qu’ils trouvaient le plus attrayant sur des photos de derrières nus de femmes avant et après des chirurgies pour accentuer les courbes de leurs hanches.
 
Résultat? Lors de scanneurs du cerveau des hommes, on a constaté que les photos après les chirurgies pour accentuer les hanches activaient une région du cerveau reliée à l’euphorie, la même qui est activée par l’alcool et la drogue.
 
Ce qui expliquerait aussi, selon les chercheurs, certaines dépendances et pourquoi certains hommes sont obsédés par la pornographie.
 
Des chercheurs mentionnent qu’une femme tout en courbes serait synonyme de fécondité. Donc inconsciemment, les hommes seraient plus attirés en réalité par les femmes dont ils reçoivent le message que la procréation avec elles serait possible.