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L’alcool exacerbe le risque de dépression

Une recherche, menée auprès de 1 055 personnes nées en 1977, a permis au Dr M. Ferguson et ses collègues, du Christchurch School of Medicine & Health Sciences de Nouvelle-Zélande, de conclure que la surconsommation et la dépendance d’alcool pourraient augmenter le risque de dépression de 1,9 fois.

« Les mécanismes derrière cette association demeurent mystérieux. Plusieurs recherches proposaient que ce risque pouvait augmenter à cause des facteurs héréditaires, alors que l’alcool agit sur les marqueurs génétiques qui haussent l’incidence de dépression majeure », a souligné M. Ferguson, qui recommande que d’autres recherches soient menées afin d’en avoir le coeur net.

Les détails de cette recherche se retrouvent dans l’édition de mars du Archives of General Psychiatry.

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Les bienfaits de l’alcool sur l’autonomie

Une étude menée par le Dr Arun S. Karlamangla, de l’école de médecine David Geffen de l’Université de la Californie à Los Angeles, nous apprend tous les bienfaits d’une consommation modérée d’alcool chez les personnes âgées de 50 ans et plus.

Selon lui, les participants à sa recherche sont 25 % moins à risque de perdre leur autonomie et peuvent ainsi vaquer à leurs activités quotidiennes comme la marche, s’habiller, manger et faire les courses.

Toutefois, les buveurs notoires et ceux qui s’abstiennent de consommer de l’alcool ne présentent pas les mêmes effets bénéfiques au niveau du maintien à domicile des personnes âgées.

Tous les détails de cette étude sont publiés sur le site Internet de l’American Journal of Epidemiology.

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Les coûts de l’insomnie

Une recherche, publiée dans la revue médicale Sleep, nous apprend que les problèmes causés par l’insomnie des Québécois, comme le manque de productivité et l’absentéisme au travail, coûtent 6,5 milliards de dollars chaque année.

À elle seule, la consommation d’alcool en vue de trouver le sommeil se chiffre à 340 millions $. « Les coûts liés à l’alcool constituent un peu une surprise à nos yeux, de même que la fréquence de sa consommation en vue de provoquer le sommeil », a noté Meagan Daley, coauteure de l’étude et professeure au cégep Champlain-St. Lawrence, à Québec.

Mme Daley soutient toutefois que l’alcool diminue la qualité du sommeil en réduisant la durée du stade de sommeil profond.

948 sujets ont participé à cette recherche et 15 % d’entre eux souffraient d’insomnie.

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L’alcool, bon pour le cerveau

Une étude, que l’on retrouve dans le Journal of the American Geriatrics Society, affirme qu’une consommation modérée d’alcool peut être bénéfique pour le cerveau des femmes.

3 000 participantes, âgées de 70 à 82 ans, ont collaboré à cette recherche menée par le Dr David J. Stott et ses collègues de l’Université de Glasgow. Parmi les sujets, celles qui buvaient de 1 à 7 verres d’alcool par semaine avaient de meilleurs résultats aux tests cognitifs que les participantes qui ne buvaient pas du tout.

Le Dr Stott, qui insiste sur la consommation modérée, croit que l’alcool peut préserver le cerveau du déclin pendant quelques années. « Si vous buvez trop d’alcool, il est évident que cela affecte la mémoire et le cerveau », a-t-il conclu.

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La résistance à l’alcool, une question de gènes

Une récente étude, effectuée par des chercheurs du Centre de recherche de la clinique Ernest Gallo, nous apprend que les gènes auraient peut-être quelque chose à voir dans la tolérance à l’alcool.

Les personnes qui possèdent le marqueur génétique chromosomique 15q25.1 ont démontré une plus grande tolérance à l’alcool, selon le Dr Geoff Joslyn, auteur principal de cette recherche.

« Cette découverte confirme que le degré de réponse à l’alcool […], associé à la dépendance et à l’abus d’alcool, est influencé par une composante génétique », a-t-il écrit.

De plus, cette découverte confirme l’hypothèse qu’une tolérance à l’alcool peut possiblement mener à la dépendance à cette substance.

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Le cannabis, moins néfaste que l’alcool et la cigarette

Un récent rapport commandé par la Fondation Beckley, une organisation britannique spécialisée dans la santé, affirme que fumer du cannabis est moins dangereux que boire de l’alcool ou fumer du tabac.

« Même si le cannabis peut avoir un impact négatif sur la santé, notamment sur la santé mentale, en termes de nuisance relative, il est considérablement moins nocif que l’alcool ou le tabac », peut-on lire dans ce rapport.

À titre d’exemple, l’organisme répertorie seulement deux décès dans le monde liés à la consommation de marijuana, comparativement à 150 000 morts annuellement associés à l’alcool et la cigarette, uniquement en Grande-Bretagne.

« La plupart des dommages attribués au cannabis découlent de l’interdiction elle-même, en particulier les problèmes sociaux qui surgissent après une arrestation et un emprisonnement », soutient le rapport.

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Les fumeurs occasionnels boivent davantage

Des chercheurs de l’Université Yale ont observé 6 000 jeunes adultes pour en arriver à la conclusion que ceux qui ne fumaient que de temps en temps avaient tendance à abuser davantage de l’alcool que les non-fumeurs.

Ces résultats viennent confirmer d’autres études qui prétendaient que la cigarette et la consommation d’alcool allaient de pair.

L’auteure principale de cette recherche, la Dre Sherry A. McKee, suggère même aux différents paliers de gouvernement d’intervenir et d’interdire la cigarette dans les bars, pour ainsi réduire la consommation d’alcool.

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Quand les fausses croyances nuisent à la prévention du cancer

Une recherche publiée par l’Union Internationale Contre le Cancer (UICC) démontre que les croyances erronées en matière de prévention du cancer persistent encore auprès de la population.

À titre d’exemple, les chercheurs citent que les participants préfèrent manger des fruits et des légumes pour mieux se protéger contre la maladie, mais ne cessent pas de consommer de l’alcool.

« Beaucoup ont des croyances erronées sur ce qui cause le cancer, et ont tendance à surestimer la menace venant de facteurs environnementaux, qui ont relativement peu d’impact, tout en minimisant les dangers de leur propre comportement », estiment les chercheurs qui ont sondé les perceptions de 30 000 sujets venant de 29 pays pour arriver à ces conclusions.

Pour 59 % des répondants, bouder les fruits et légumes équivaut à augmenter l’incidence de cancer, alors que 51 % d’entre eux ne croient pas que la consommation d’alcool est un facteur de risque.

« Les preuves scientifiques d’un éventuel effet protecteur des fruits et légumes sont beaucoup plus faibles que celles établissant le caractère nocif de la consommation d’alcool. En général, les gens ont tendance à croire que les facteurs qui ne sont pas sous leur contrôle (comme la pollution de l’air) sont plus importants que les facteurs qui dépendent de leur comportement (comme l’obésité et le tabac) », a souligné l’UICC.

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L’alcool favoriserait l’obésité et l’hypertension

Telles sont les conclusions d’une étude américaine publiée sur le site du Journal of Endocrinology & Metabolism.

L’enquête, réalisée auprès de 1 529 personnes, démontre les dangers d’une consommation d’alcool régulière, même modérée.

L’étude démontre une corrélation entre la consommation d’alcool excessive, les risques cardiovasculaires et l’obésité.

Pour les chercheurs, une consommation excessive d’alcool représente, chez l’homme, plus de deux verres par jour et, chez la femme, plus d’un verre par jour.

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L’alcool augmente les risques de rhinite allergique

Selon une étude danoise publiée dans le journal Clinical & Experimental Allergy, le risque de développer une rhinite allergique non saisonnière augmente de 3 % par verre d’alcool consommé chaque semaine.

La rhinite allergique se caractérise par des éternuements à répétition, des chatouillements dans le nez, des larmoiements et une irritation des yeux. En été, elle est souvent causée par le pollen. On l’appelle alors rhinite saisonnière. 

Dans le cas de la rhinite persistante (ou apériodique), il s’agit d’une rhinite entretenue par des allergènes constamment présents dans l’environnement de la personne.

L’étude danoise a été réalisée auprès de 5 870 femmes, âgées de 20 à 29 ans, qui n’avaient jamais eu de rhinite allergique. Après sept à neuf ans de consommation d’alcool à chaque semaine, 14 % d’entre elles souffraient de rhinites allergiques saisonnières et 9 % de rhinites non saisonnières.

Les auteurs ont observé que les femmes qui buvaient le plus avaient un risque plus important de développer des rhinites allergiques non saisonnières.

La rhinite allergique touche entre 10 % à 18 % de la population nord-américaine.