Une recherche, menée auprès de 1 055 personnes nées en 1977, a permis au Dr M. Ferguson et ses collègues, du Christchurch School of Medicine & Health Sciences de Nouvelle-Zélande, de conclure que la surconsommation et la dépendance d’alcool pourraient augmenter le risque de dépression de 1,9 fois.
« Les mécanismes derrière cette association demeurent mystérieux. Plusieurs recherches proposaient que ce risque pouvait augmenter à cause des facteurs héréditaires, alors que l’alcool agit sur les marqueurs génétiques qui haussent l’incidence de dépression majeure », a souligné M. Ferguson, qui recommande que d’autres recherches soient menées afin d’en avoir le coeur net.
Les détails de cette recherche se retrouvent dans l’édition de mars du Archives of General Psychiatry.