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Un traitement prometteur contre l’alcoolisme

Selon une étude publiée dans le Journal of Clinical Psychiatry, la nouvelle version du médicament Naltrexone, qui est maintenant injecté, réduit la consommation d’alcool deux jours après le traitement.

Le Naltrexone empêche l’action des opiacés sur leurs récepteurs du système nerveux central.

L’équipe du Dr Domenic A. Ciraulo, du département de médecine de l’Université de Boston, a testé le médicament auprès de 600 alcooliques. Les patients ont reçu deux doses mensuelles de Naltrexone XR pendant 24 semaines. Une thérapie a également été suivie par les participants.

Les chercheurs ont observé une baisse significative de la consommation d’alcool chez les sujets à qui l’on avait administré le Naltrexone XR, contrairement à ceux qui prenaient le placebo.

Le Dr Ciraulo se réjouit de tels résultats : « Les effets rapides et efficaces de la médication sur le système nerveux des patients facilitent grandement le traitement de l’alcoolisme et les motivent tout au long de ce processus à atteindre leurs objectifs de sobriété. »

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Une journée sans alcool selon Educ’alcool

Une nouvelle publication de l’organisme gouvernemental, Les niveaux de consommation d’alcool à faible risque, recommande aux adultes de ne pas consommer d’alcool au moins une journée par semaine afin de ne pas créer d’accoutumance à l’alcool.

Educ’alcool précise également les quantités recommandées qui diffèrent selon le sexe. Celles-ci varient entre deux et trois verres par jour ou entre quatre et cinq lors d’un même évènement.

Les femmes enceintes, ou sur le point de le devenir, devraient aussi se tenir loin de l’alcool puisque plusieurs études en démontrent les effets néfastes sur le foetus lors de la gestation.
 
Hubert Sacy, le directeur général d’Educ’alcool, tient toutefois à préciser que ces recommandations ne sont qu’à titre indicatif et peuvent varier en fonction de chaque individu.
 
Le site Internet d’Educ’alcool permet de télécharger Les niveaux de consommation d’alcool à faible risque. Les personnes peuvent aussi se le procurer dans les centres hospitaliers, les CLSC et les succursales de la Société des alcools du Québec.
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Les 4 secrets pour gagner 14 ans

Une recherche menée à l’Université de Cambridge sur 20 000 sujets, âgés de 45 à 79 ans et en bonne santé, a permis de démontrer qu’une personne qui suit quatre règles de vie bien simples peut voir son espérance de vie augmenter de 14 années.

Ces règles sont :

  • ne pas fumer,
  • faire de l’exercice physique quotidiennement,
  • manger cinq fruits ou légumes par jour,
  • consommer de l’alcool avec modération.

Les participants qui ne suivaient aucune d’entre elles ont quatre fois plus de risques de décès que ceux qui en respectaient quatre.

C’est le tabagisme qui est le facteur le plus nocif pour la santé puisqu’il augmente de 77 % le risque de décès.

Les chercheurs concluent que l’état de santé des personnes âgées de 50 ans et plus serait grandement amélioré si elles suivaient à la lettre ces nouvelles résolutions.

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Un mélange dangereux

D’après les résultats d’une étude menée à l’Université Wake Forest de la Caroline du Nord, le mélange de boisson énergisante avec de l’alcool augmenterait le risque de d’avoir un comportement dangereux.

Selon la docteure Mary Claire, environ 25 % des jeunes, principalement des hommes, consommeraient de façon régulière le cocktail composé d’alcool et de boissons énergisantes.

Certaines composantes stimulantes comme la taurine, la caféine et le ginseng, ainsi que l’énorme quantité de sucre contenues dans les boissons énergisantes pourraient donner une fausse impression de sobriété lorsque consommés avec de l’alcool, et entraîner un comportement agressif et dangereux.

D’après les travaux, la consommation du cocktail pourrait aussi entraîner des comportements sexuels et problématiques. L’effet stimulant de la boisson énergisante rendrait l’individu inconscient de son état d’ébriété, le faisant poser des gestes inadéquats.

Santé Canada avertit les consommateurs des graves conséquences possibles de la consommation du mélange, tandis qu’une campagne de sensibilisation d’Éduc’alcool sur le mélange est sur le point de voir le jour, afin de mettre en garde la population.

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Réduire la dépendance à l’alcool

Selon une étude parue dans le Journal of the American Medical Association (JAMA), les alcooliques pourraient réduire leur dépendance en prenant un médicament dont la fonction première est de traiter les épileptiques.

Les chercheurs ont observé que le Topamax, lorsque pris par un alcoolique, permet d’espacer la consommation d’alcool ainsi que de réduire la quantité qu’il prend.

Selon Bankole Johnson, professeur à l’Université de Virginie, cette découverte pourrait permettre à un alcoolique de se sevrer lui-même chez lui au lieu de devoir se rendre dans un centre de désintoxication.

Les individus de l’étude ont augmenter le nombre de jours par mois où ils étaient sobres, sans alcool, en prenant le Topamax. Ils sont passés de trois jours par mois à plus de 16 jours par mois sans boire du tout.