Les amateurs de cocktails devraient tous savoir que le sirop simple est une excellente façon de sucrer et d’adoucir leur mélange alcoolisé (ou pas) préféré. Plusieurs compagnies québécoises font des sirops artisanaux qui valent vraiment la peine d’être découverts!
Voici donc nos produits préférés pour agrémenter vos cocktails et mocktails!
Anchor : les sirops de Gourmet Sauvage
Les sirops et les essences Gourmet Sauvage sont faits à partir d’ingrédients cueillis à la main en milieu forestier. À travers leurs différentes saveurs, on découvre des régions différentes. Votre drink deviendra une expérience en soi! Notre coup de coeur va au sirop de fleur de sureau qui a un goût délicat qui se démarque.
View this post on Instagram
Les Charlatans
Il y a une quantité vraiment impressionnante de sirops différents chez Les Charlatans, peu importe vos préférences et vos goûts, vous trouverez certainement quelque chose qui vous plaira! Pour vos cocktails tropicaux, le sirop chile et tonka est votre prochain indispensable!
View this post on Instagram
Monsieur Cocktail
Parmi les plus populaires sirops simples, il y a bien sur Monsieur Cocktail! Ces derniers se démarque avec leur créativité et leur saveur un peu loufoque telle que le sirop de licorne ou encore le sirop à bonhomme qui rend hommage au fameux bonhomme carnaval.
View this post on Instagram
La Distillerie de Montréal vient d’ajouter une nouvelle offre à son déjà généreux et intéressant portefeuille : le Whisky Rosemont!
Ce nouvel alcool pourrait être l’un des premiers whiskys à être fait à Montréal – si on oublie les piquettes faites à l’époque de la prohibition.
La Distillerie de Montréal, situé dans le quartier Rosemont – La-Petite-Patrie, offre donc en petite quantité ce whisky qui fera plusieurs curieux parmi les amateurs d’alcool et de whisky.
Encore un peu jeune selon plusieurs amateurs, il mériterait d’être vieille encore quelques années. On conseille également de le faire respirer une quinzaine de minutes une fois versée avant de boire «parce que sinon au nez on ne sent que l’alcool et ça prend trop de place dans les saveurs».
Le spécialiste québécois en cocktail et en alcool Étienne Bay a quand même de bons mots pour ce whisky. «L’expérience du distillateur paraît quand tu goûtes quelque chose de si jeune qui présente une douceur qui s’apparente à des whiskies beaucoup plus âgés. L’alambic charantais apporte quelque chose d’unique aussi. À ma connaissance, c’est le seul à utiliser ce type d’alambic pour produire un whisky de maïs.»
Bref, Rosemont Whisky de Montréal est définitivement une bouteille à se procurer au prix de 47,25$ à la SAQ, quitte à le laisser vieillir plusieurs années.
Mon frère a une dépendance à l’alcool depuis plusieurs années. Ça fait longtemps qu’on essaie de l’aider, mais l’affaire avec les compulsions, pour être passée par là, c’est que tant que le move ne vient pas de soi, y’a pas grand-chose qui se passe.
Récemment, il a pris la décision d’aller en désintox, et ça a été un grand soulagement pour tout le monde. Il voulait faire ce premier pas vers la guérison et reprendre sa vie en main.
Il est entré en désintox vers la fin décembre. D’une certaine manière, je pense que ça a été le meilleur momentum, parce que ça lui a évité plusieurs soirées difficiles et tentantes, mais c’est sûr qu’il nous a beaucoup manqué pendant les Fêtes. Il est resté une semaine en retraite fermée, et tient le coup depuis. Je suis vraiment fière de lui.
Le week-end dernier, on célébrait son anniversaire et en guise de solidarité, on a décidé de ne pas boire non plus. Comme il ne boit plus depuis peu, on sait que la corde sur laquelle il marche est encore très fragile et on voulait l’aider le plus possible dans son cheminement. À un certain moment dans la soirée, il m’a confié que ça le faisait chier de voir qu’on s’empêchait de boire pour lui et qu’il ne voulait pas nous limiter dans notre fun.
Ouf.
Sur le coup, je lui ai répondu qu’on ne s’empêchait de rien et qu’au contraire, sa situation nous était bénéfique à tous.tes puisqu’elle nous permettait de réduire notre consommation d’alcool. Ce qui, on s’entend, n’est jamais une mauvaise chose. Je crois que ma réponse l’a rassuré, mais disons que son commentaire m’est rentré dedans et m’a fait réfléchir à la place que l’alcool prend dans ma vie et dans la société en général.
Je n’ai pas besoin d’alcool en fait. J’ai réalisé que, n’eût été la situation de mon frère, j’aurais 100% acheté une bouteille de vin cheap que j’aurais siroté tout le long de la soirée et qui ne m’aurait absolument rien apporté à part un quinze dollars de moins dans mon compte en banque.
À quoi bon?
Comprenez que je ne démonise pas l’alcool.
J’aime l’alcool, j’apprécie découvrir des drinks ou des bouteilles de vin.
Sauf qu’être confrontée au combat d’un membre de ma famille m’a fait réaliser que l’alcool est trop simple, trop accessible.
La ligne entre un comportement sain face à l’alcool et un comportement problématique est très mince et la place que l’alcool occupe dans la société est grande.
Si on ne boit pas, on se fait systématiquement questionner et c’est fatigant.
Après ce week-end, je sais que je ne verrai plus ma consommation d’alcool de la même manière et je n’hésiterai plus à dire « non merci », sans avoir l’impression de m’empêcher de faire quelque chose.
Un fait indéniable, c’est que l’alcool fait partie intégrante de ma vie. Je ne suis pas une grande consommatrice, mais dans mon entourage, tout le monde en prend: ma famille, mes amis et même mes collègues presque chaque vendredi en fin d’après-midi.
L’année dernière, j’ai vécu une expérience personnelle qui a remis en question mon besoin de prendre un verre. J’ai mis fin à une relation où l’alcool prenait trop de place et où, sous son influence, certains gestes ont été posés et m’ont blessée. En choisissant de couper les ponts avec cette personne, j’ai aussi réfléchi sur mes motivations pour boire. Je me suis aperçue que, au-delà de l’appréciation que j’ai de l’alcool, je le faisais surtout pour accompagner, pour me sentir « dans la gang ». Trois fois sur quatre, mon verre en main n’était justifié que parce que j’aurais été la seule à ne pas en avoir un, justement.
Ai-je vraiment besoin d’un verre pour me détendre? Me sentir à l’aise? Me donner du courage? La réponse à toutes ces questions, c’est non.
Je suis capable de trouver l’équilibre sans boire. Je suis aussi capable d’apprécier le goût de certains alcools, mais ma gourmandise ne passe pas par ce type de boissons.
Quand on vit le deuil d’une relation, quand on se questionne sur ce qui n’a pas marché, on finit par dresser la liste des points qu’on veut voir changer pour la suite. Le besoin de boire, chaque fois qu’on se voyait, venait en tête de ma liste. Cette réflexion a modifié mon comportement: j’ai alors commencé à dire « non » aux verres offerts lorsque je n’en avais pas envie. Je n’ai pas complètement arrêté de boire de l’alcool, mais maintenant, je le fais vraiment pour moi, pour mon plaisir. Et les réactions que j’ai eues m’ont grandement surprise.
Je vous jure, les gens insistent. Les gens demandent pourquoi. Les gens me servent quand même. Si je leur dis que je n’en veux pas, c’est comme si je disais que je venais d’une autre planète. On me trouve des excuses, comme quoi c’est juste un verre, il faut bien que j’accompagne, que je goûte, que je fête, moi aussi. Les premières fois, je finissais par dire que j’avais mal à la tête, ou que j’étais sous médication? et encore, on trouvait le moyen de me juger ou d’insister.
J’ai arrêté de donner des excuses bidon, voyant que cela servait à peu de choses. Maintenant, je dis seulement que je n’en ai pas envie. Mon entourage commence à comprendre, mais encore, je sens que c’est trop souvent mal perçu. J’ai encore une ou deux connaissances, des gens que je vois rarement sans une bière ou un verre de vin, qui ne veulent juste pas lâcher prise. Chacun de mes refus se voit accompagné soit d’une remarque insistante, soit d’un questionnement inapproprié.
Sérieux, est-ce trop demander que de respecter mon désir de ne pas boire? Je suis tannée d’aborder cette conversation et d’avoir l’air d’une puritaine, ou d’une coincée, ou d’une frustrée? Voire tout cela à la fois! L’image trop rependue de la maman moderne qui s’accroche à son verre de vino pour noyer sa charge mentale, je ne me reconnais pas là-dedans. Je ne suis pas en guerre contre l’alcool, j’ai seulement vécu des choses que je ne veux plus vivre, qui me rappellent que je n’en ai pas besoin aussi souvent que le monde entier voudrait que j’en consomme.
Et si le c?ur y est, je vais me faire plaisir à boire un petit verre avec eux. Seulement, je peux très bien accompagner, célébrer et me sentir bien sans lui. C’est un choix que j’ai fait et j’aimerais bien qu’il soit respecté, tout le temps et sans argumentation.
Amen
Chez NIGHTLIFE.CA, on est de véritables fans de gin.
Ça tombe assez bien puisque les distilleries québécoises en produisent des pas pires pentoute. La Distillerie St. Laurent fait partie de ces établissements dont les produits se démarquent et que nous avons achetés plus d’une fois à la SAQ.
Bonne nouvelle pour nos papilles, la distillerie lance très bientôt une toute nouvelle bouteille, le St. Laurent Gin Citrus. (Et on a teeeeeellement hâte d’y goûter!)
View this post on InstagramL’Asie s’invite à Rimouski dans cette recette, plus zestée que les précédentes. Les agrumes sont infusés à froid dans un alambic expérimental. Parmi la liste d’ingrédients, on retrouve le kumquat, le yuzu, la lime de Perse, le citron et la main de Bouddha (un agrume qui ressemble à ça!)
View this post on InstagramÀ ceux-ci s’ajoutent quelques épices dont des baies de genièvre (évidemment!) du poivre sansh?, des graines de coriandre, de la menthe verte et du basilic.
La distillerie nous propose un voyage inusité sur les côtes du Vietnam et du Japon. On devine des saveurs vives, fraîches et herbacées.
Le lancement du produit aura lieu le 31 août à la distillerie située à Rimouski et sera disponible en quantité limitée. Ne vous inquiétez pas, ce ne sera pas bien long avant qu’on puisse retrouver le gin sur les tablettes de la SAQ. La mise en marché est prévue pour la fin septembre!
On vous en reparle, c’est assuré!
Photo de couverture : Distillerie du St. Laurent/Facebook
Aux prises avec des problèmes d’alcool pendant des années, Simon Pegg s’était finalement décidé à chercher de l’aide au tournant de la dernière décennie.
Une décision qu’il ne regrette visiblement pas aujourd’hui, qualifiant les neuf dernières années, soit celles depuis son entrée en cure en 2010, de « récompense ».
L’acteur estime lors d’un entretien avec GQ que l’univers lui a redonné de belles choses depuis qu’il a retrouvé le chemin de la sobriété.
« C’est une chose étrange de laquelle je discute avec d’autres personnes, à propos de comment quand tu arrêtes de boire, l’univers te redonne un peu. Peut-être que c’est parce que j’ai compris pourquoi je buvais (…) en le confrontant, ma récompense a été ces dix dernières années », explique l’acteur britannique de 49 ans lors d’une entrevue candide accordée à GQ.
La star est d’ailleurs en vedette de la plus récente édition du magazine, et y va de quelques révélations intéressantes concernant sa transformation (ainsi que sur le surnom que lui a affublé Tom Cruise), un produit qu’il est possible de découvrir juste ici.
Crédit photo : Capture GQ
Le milieu de la gastronomie peut être difficile à séparer de l’alcool et le chef Danny St-Pierre, sobre depuis quelques années, en connaît un rayon sur la question. Dans un texte publié par le magazine Caribou, il revient sur ce qui l’a motivé à cesser sa consommation, qui s’élevait à son pic à une vingtaine de verres au courant d’une journée.
Écrivant que « les restaurants sont un monde d’abondance et d’excès », il avoue que ce mode de vie est devenu difficile. On le comprend bien avec l’horaire, particulièrement éloquent, qu’il dresse pour détailler une journée typique dans la peau d’un chef : Gatorade et espresso pour déjeuner à 9h avant de commencer une journée de travail qui se terminera vers 23h et sera suivie d’une visite au bar jusqu’à la fermeture. « Rince and repeat » dès le lendemain.
« Après 20 ans, l’hygiène de vie en prend un coup, ma vie tournait autour de mes passions pour les restos et les grands vins, à grand volume et sans fin! » admet celui qui coanimait Meilleur que le chef en ajoutant qu’il commençait à picoler de plus en plus tôt.
Mais le cycle a fini par prendre fin : « J’avais commencé à avoir des petites crises d’angoisse les lendemains de cuite, des trous de mémoire, la honte et je pensais souvent à arrêter. Le déclencheur a été une petite intervention de mon amoureuse (qui n’est pas du métier) à l’aube de l’ouverture de mon restaurant de l’époque : »Peux-tu essayer de ne pas rentrer chaud à tous les soirs s’il vous plait? Je ne veux pas m’inquiéter? » Je l’ai prise au mot et comme un défi, j’ai arrêté cold turkey. »
Cette décision n’a pas été sans conséquence; Danny St-Pierre écrit avoir été triste pendant environ deux ans et avoir perdu de vue plusieurs personnes avec qui il avait l’habitude de prendre des cuites. Mais au final, le changement est positif pour celui qui a également commencé à prendre de la médication pour son TDAH, qui a été diagnostiqué quand il avait 35 ans.
« J’ai introduit à ma vie le gym, des loisirs et une routine, j’ai appris à ralentir et à dire non, à être là, en ce moment, et ça marche pour moi », précise-t-il.
« Je me permets aujourd’hui de raconter cette histoire parce que longtemps, l’image du chef-rockstar créatif et complètement explosé a pris beaucoup de place dans les médias. Je crois qu’un contrepoids est nécessaire, pour donner un autre exemple et surtout démontrer les conséquences d’aller un peu trop loin sans faire la morale, juste dire que ça se peut! », conclut le chef.
Pour lire son texte intégralement, c’est ici.
Jada Pinkett Smith, l’actrice bien connue et femme de Will Smith, semble dans une période de bilan dans sa vie. À tout le moins, la star de 46 ans effectue un regard en arrière et n’hésite pas à proposer des révélations intimes sur sa vie personnelle depuis quelque temps.
Après avoir partagé ses états d’âme concernant son mariage avec Will Smith, Jada Pinkett revient maintenant sur certaines dépendances, dont à la sexualité et à l’alcool.
« Mon type de dépendances change. Plus jeune, je pense définitivement que j’avais une dépendance au sexe, oui, que tout pouvait être réglé par le sexe (…) Je me souviens avoir touché le fond du baril quand j’étais à la maison toute seule et qu’après deux bouteilles de vin j’y allais pour la troisième. J’étais genre : Attends un peu. Tu es dans cette maison par toi-même avec ta troisième bouteille de vin? Tu as sûrement un problème », explique notamment Jada Pinkett lors d’un passage à Red Table Talk, sur Facebook.
Celle qui partage deux enfants avec Will Smith exprimait par ailleurs récemment sa conviction que son mariage avec ce dernier était désormais devenu indestructible, une analyse qu’a partagé et corroboré le principal intéressé quelques semaines plus tard.
Crédit photo : BANG/BIG
Jada Pinkett Smith, l’actrice bien connue et femme de Will Smith, semble dans une période de bilan dans sa vie. À tout le moins, la star de 46 ans effectue un regard en arrière et n’hésite pas à proposer des révélations intimes sur sa vie personnelle depuis quelque temps.
Après avoir partagé ses états d’âme concernant son mariage avec Will Smith, Jada Pinkett revient maintenant sur certaines dépendances, dont à la sexualité et à l’alcool.
« Mon type de dépendances change. Plus jeune, je pense définitivement que j’avais une dépendance au sexe, oui, que tout pouvait être réglé par le sexe (…) Je me souviens avoir touché le fond du baril quand j’étais à la maison toute seule et qu’après deux bouteilles de vin j’y allais pour la troisième. J’étais genre : Attends un peu. Tu es dans cette maison par toi-même avec ta troisième bouteille de vin? Tu as sûrement un problème », explique notamment Jada Pinkett lors d’un passage à Red Table Talk, sur Facebook.
Celle qui partage deux enfants avec Will Smith exprimait par ailleurs récemment sa conviction que son mariage avec ce dernier était désormais devenu indestructible, une analyse qu’a partagé et corroboré le principal intéressé quelques semaines plus tard.
Crédit photo : BANG/BIG
CatégoriesRenaud rechute dans l’alcool
Selon le magazine français VSD, Renaud doit encore se battre contre son alcoolisme.
Le chanteur français de 65 ans serait d’ailleurs à bout de souffle. Les fans du poète seraient même très inquiets pour sa santé, lui qui a toujours livré une dure bataille contre l’alcool.
Le 17 septembre dernier, Renaud donnait le dernier concert de sa tournée Phénix Tour, une tournée qui marquait sa résurrection après un long passage à vide. Dans le public, c’est la désolation, affirme le magazine. Il est évident que le chanteur s’est remis à boire. Il doit même s’assoir afin de reprendre la chanson Mistral Gagnant.
Les fans n’ont pas manqué de souligner le piteux état dans lequel se trouve la star de la musique française : « Que c’est triste de voir Renaud dans cet état […] Quelle tristesse, j’ai envie de pleurer […] La décrépitude… Ça fait mal au cœur… », écrivent certains sur les réseaux sociaux.
p.p1 {margin: 0.0px 0.0px 11.0px 0.0px; line-height: 13.0px; font: 11.0px Verdana; color: #000000; -webkit-text-stroke: #000000}
span.s1 {font-kerning: none}
span.s2 {font: 11.0px ‘Lucida Grande’; font-kerning: none}Citant un proche du chanteur, VSD affirme : « il s’emmerde comme un rat mort ». Du coup, le chanteur a replongé, et cette fois, son univers semble s’écrouler. Les projets qu’il devait réaliser sont tous abandonnés, comme ce disque de chansons pour enfants qu’il avait annoncé en 2016.
Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com