Al Pacino en dévoile davantage sur ses vieux démons. Il se considère « chanceux » et privilégié d’avoir été épargné par la dépression, au contraire d’un grand nombre de ses homologues comme Robin Williams ou Philip Seymour Hoffman, rapporte BANG Media International.
Pourtant, l’acteur de maintenant 74 ans reconnaît avoir vécu des bas dans sa vie personnelle, notamment lors de son combat contre l’alcoolisme, et s’être senti bien bas à plusieurs reprises.
« Je suis peut-être dépressif, mais je ne le sais pas. Les gens entrent en dépression et c’est très, très triste. Ça peut durer longtemps et c’est terrifiant. Je sais que j’ai eu des combats avec des trucs qui se sont rapprochés de ça, mais pas de cette intensité. Je me sens épargné, je me sens chanceux », lance Al Pacino en entrevue avec le magazine Loaded.
L’acteur se trouve également chanceux d’avoir vécu le plus clair de sa carrière et de ses déboires avec l’alcool à une époque où les téléphones intelligents n’existaient pas, car plusieurs clichés douteux de lui auraient certainement fait leur apparition sur le web.
Al Pacino poursuit donc dans la sérénité son illustre carrière, et se retrouve en vedette dans Manglehorn et Danny Collins en 2014.